PUNISHER #1-12 (Jason Aaron / Jesus Saiz, Paul Azaceta)

Comme Tsouin pas fan, je reconnais le travail, mais j’aime pas.

J’apprécie beaucoup tradd Moore, mais lui j’ai vraiment du mal

Comme Kab en ce qui me concerne : c’est un dessinateur qui ne me plaît pas, mais je ne dirais pas que c’en est un mauvais pour autant (je trouve ça moche, mais pas maladroit ou raté).

Tori.

(W) Jason Aaron (A) Paul Azaceta (A/CA) Jesus Saiz, Dave Stewart
Is the Punisher truly the Fist of the Beast and the predestined High Slayer of the Hand? Or is he nothing more than a prisoner of their lies? And if there’s one thing Frank Castle has never been particularly good at being…it’s a prisoner.
PARENTAL ADVISORY
In Shops: Aug 10, 2022
SRP: $4.99

Solide, même si prévisible.
Au-delà d’un long flashback bien dessiné par Paul Azaceta (même si les effets de style commencent à me lasser, sur la longueur), où l’on voit comment Frank et Maria se sont mis ensemble, Jason Aaron montre que Frank a bien tué la prêtresse de la Main qui a fait assassiner les familles de cinq agents ayant échoué, pour qu’ils deviennent comme lui. Mais alors que Frank amène Maria en dehors de la citadelle, pour s’enfuir, celle-ci défaille ; et, au retour, la prêtresse, bien vivante (car « créature surnaturelle » avant tout), lui dit que la sortie est impossible. Frank cède, puis va affronter seul Arès.
C’est bien fait, très sombre, très dur, très froid ; surtout dans le flashback, en fait. Mais… ça reste prévisible, quand même, en tout cas sur l’issue de la fuite de Frank et Maria. Pas désagréable, d’autant que Jesus Saiz livre de très jolies planches ; mais sans surprise.

Une saga toujours solide, même si les effets scénaristiques sont ici connus.

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(W) Jason Aaron (A) Paul Azaceta (A/CA) Jesus Saiz, Dave Stewart
Frank Castle wants to end his war once and for all. But standing in his way is none other than the God of War himself, Ares, who sees the Punisher as his greatest disciple. A disciple who has forgotten his true self and must be reminded of the ways of war.
In Shops: Sep 07, 2022
SRP: $4.99

Jason Aaron avance sa saga, lentement mais sûrement. Il coche les cases, livre quelques informations, et prépare le drame.
C’est fort, intense, rude et violent ; désespéré. Efficace. Mais il faudra voir la fin.
Ici, la bagarre contre Arès mène à la défaite du Punisher, récupéré ensuite par la Main, qui le « tient » avec Maria. En flashback, on voit que Frank a mal vécu la grossesse de sa femme, et a eu des émotions contrariées sur ses enfants. Des enfants que la Main n’arrive pas à ramener, provoquant des résurrections horribles. Frank tente de s’en remettre, mais Daredevil finit par le rejoindre.
C’est efficace. Mais dur, triste, prenant ; étouffant. Jesus Saiz et Paul Azaceta continuent d’assurer aux dessins dans leurs styles personnels, et l’ensemble reste réussi. Mais il faudra attendre la fin, pour voir jusqu’où Aaron voudra et pourra aller.

En attendant, c’est une oeuvre noire et âpre, mais dont la qualité va dépendre de la chute.

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Je viens de les lire.

Très intriguant.

GUEST-STARRING DAREDEVIL! As Frank wrestles with devils within and without, Maria Castle finds more and more of her memories returning, including ones of those fateful days when her husband first returned from war. Or did he?

LEGACY #251

Written by: Jason Aaron
Art by: Paul Azaceta, Jesus Saiz, Dave Stewart
Cover by: Sunny Gho, Jesus Saiz
Page Count: 36 Pages
Release Date: November 2, 2022

Pas mal, pas mal.
Ici, l’intérêt de l’épisode est moins dans les passages au présent, avec un « bête » mais incontournable affrontement physique entre un Frank de plus en plus possédé par la Bête et un Daredevil moralisateur, que dans les segments du passé. Où l’on suit l’avis, la pensée de Maria au retour de la guerre d’un Frank traumatisé, mutique, froid, distant. On voit comment ils parviennent à se retrouver, avec un Frank qui s’humanise en faisant de sa famille sa nouvelle « unité », à protéger contre l’extérieur.
Jason Aaron est très bon et très fin sur ces passages au passé, pour former la psyché d’un Castle anéanti depuis toujours, qui cherche à protéger pour se protéger lui-même. Au présent, c’est un passage obligé un peu lourd, mais efficace. En tout cas, c’est passé, c’est bien, alors que, à la fin, Arès arrive avec ses troupes.
Graphiquement, Paul Azaceta est particulièrement bon dans le passé, pour montrer l’atmosphère troublante et dangereuse du quotidien. Jesus Saiz est un peu trop froid avec Daredevil, mais ça fait bien le job.

Toujours surprenant, troublant… et réussi.

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j ens uis au 5 et j aime beaucoup (ca surprendra peu de monde) même si je suis pas a l aise avec un Castle meurtrier de nature… en même temps c est mieux amené que dans born de ennis où là c etait juste la nature…

J’y vois surtout un Frank complètement paumé, qui navigue à vue avec la « carotte » Maria utilisée par l’Archiprêtresse.

Moins qu’une redéfinition du Punisher, j’y verrais presque le récit qui mènerait à la mise à mort définitive du personnage.

Tu as été embauché chez un des big two au service marketting?
En plus maintenant avec les 5…

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(W) Jason Aaron (A) Paul Azaceta, Jesus Saiz, Dave Stewart (CA) Jesus Saiz, Joshua Sway Swaby
Frank Castle wants to end his war once and for all. But the God of War has other ideas. And now Ares is coming for the Punisher, with an army of heavily armed Apostles at his back, looking to turn Frank back into his old self by murdering his family all over again.
Parental Advisory
In Shops: Dec 07, 2022
SRP: $4.99

C’est intense, quand même.
Je n’ai aucune idée de la fin que Jason Aaron a en tête, et c’est en soi passionnant. Mais, ici, son épisode est prenant et intense.
Au présent, Arès et ses Apôtres avancent vers la Forteresse de la Main, et Castle les laisse venir pour les confronter, en faisant sa garde personnelle des ninjas dont les familles ont été tuées par l’Archiprêtresse qui a mal compris sa démarche. Il développe de nouveaux pouvoirs de la Bête, alors que Maria commence à se souvenir et s’arme en cachette. Dans le passé, l’on voit que le couple Castle avait bien des troubles, même si tous deux luttaient pour s’en sortir, alors que la Main rôdait déjà.
C’est rude, oui. Encore une fois, l’ensemble est très brutal, très lourd, très sombre ; déprimant, hein. Mais, à la différence d’un Dark Web qui cherche le noir pour le noir, ici l’ensemble a une résonance « réelle » pour le stress post-traumatique des soldats, mais aussi le trouble constant de Frank depuis son enfance. Le tout a une approche de déterminisme terrible, terrifiant mais prenant, alors que Castle semble vouloir récupérer son autonomie… peut-être trop tard.
Graphiquement, Jesus Saiz est peut-être un rien trop lisse, plus encore que d’habitude, mais ça fonctionne bien. Paul Azaceta est lui encore plus formidable, avec des flashbacks ultra maîtrisés et touchants.

Quoi que cela devienne, cela reste un projet étonnant, original et plein de surprises. Bravo, déjà.

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J ai feuilleté sans grande conviction avant de me laisser prendre à l episode 5. Je vais donc lire depuis le début. La décompression peut sembler rebutante et les flashbacks du remplissage, mais finalement non, il y a un propos qui soustend la narration, une exploration de la violence du punisher qui excède son origine story et dont on se demande bien où cela va mener.

Faut pas que la montagne accouche d une souris après une si lente mais réelle escalade de la tension.

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Oui. Mais c’est déjà très agréable de ne pas sentir où on va.

Oui mais je me mefie.

PUNISHER #9

(W) Jason Aaron (A) Paul Azaceta (A/CA) Jesus Saiz

The epic showdown between the God of War and the Fist of the Beast. But even if the Punisher somehow survives Ares, other forces are already gathering to bring him down, once and for all.

Il a un peu changé son style, Azaceta ?