RÉÉDITIONS MARVEL : TPBs, omnibus, masterworks, Epic…

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Après la relecture de l’arc initial, j’en profite pour lire la suite tardive toujours orchestrée par Stern.

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L’histoire se situe pendant la période du « Gauntlet » mais les mentions relatives à la continuité sont tellement peu nombreuses qu’elle aurait très bien pu se dérouler à une autre époque, ce qui accentue le côté intemporel de ce fill-in de luxe, vu que la partie graphique est assurée par Lee Weeks, dont le style toujours très classe et élégant apporte une plue-value visuelle certaine, surtout que sa version de Spidey semble s’inscrire un peu dans la lignée de JRjr (sa version des années 2000 avec une musculature plus fine).

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Stern réutilise l’idée originale pour inverser la problématique (il ne s’agit plus de stopper le Fléau mais de savoir qui a bien pu y arriver et dans quel but) et changer la dynamique de l’affrontement avec l’introduction d’un nouveau Captain Universe, dont les motivations sont la conséquence directe du premier opus.

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L’arc est plutôt efficace sans arriver toutefois à se hisser au niveau de son illustre prédécesseur, contrastant par son aspect « old-school » avec les autres histoires de la période Brand New Day.