RÉÉDITIONS MARVEL : TPBs, omnibus, masterworks, Epic…

C est après dematteis.
L intégration a l univers Marvel est voulu par l’éditeur…
C est pour ça que je pense beaucoup à la période Chichester de DD.
Après faut voir que l’ Epic s arrête au 51…9 numéros plus tard la série s arrête… elle avait sûrement besoin d être liée a infinity…
Mais j aimerais bien lire ce que tu penses du tie in batmanien

Oui McKay on sent que c est la période où il a commencé ou en tout cas sa période « classique »

Je sais bien, c’est les grosses machines, les cross-overs immenses, mais ça a toujours été emmerdant, ces conneries.

Jim

Je le dis car il y a une interview de marvel age…
Mais je pense que la serie est deja en difficulté

hoo le spidergirl me fait de l’œil vu qu’on risque pas d’avoir ça en vf ou alors si ça arrive en « Marvel parpaing collection »

je me tâte ! je me tâte !

Le parpaing doit sortir en vo avant

Bon zou je note le X-men pour Paul Smith et les Avengers pour Stern. Thx Fred

C’est pas dit, avec le ralentissement des intégrales qui sont au niveau des masterwork/epic, panini nous à sorti untold tales alors pourquoi pas spider-girl

J’ai allumé un cierge !

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Cest gacher.

la semaine prochaine

DAREDEVIL EPIC COLLECT TP VOL 04 A WOMAN CALLED WIDOW

MARVEL COMICS

DAREDEVIL EPIC COLLECT TP VOL 04 A WOMAN CALLED WIDOW

NOV230728

(W) Roy Thomas, Various (A) Various, Gene Colan (CA) Gil Kane

One of Daredevil’s most iconic eras kicks off as he begins his relationship with the Black Widow!

Daredevil heads out to the Left Coast in a quest to earn back the love of Karen Page - and L.A. has never been stranger! A cast of bizarre and action-packed enemies stands between DD and the woman he loves! Then, back in the Big Apple, Daredevil teams up with the Black Panther and joins forces with Iron Man and Nick Fury. And one of the greatest eras in the history of the Man Without Fear begins when Daredevil and Black Widow become partners! Together, they face Spider-Man, the Sub-Mariner, the Man-Bull, the Owl, the Scorpion and more. But drama and tension are brewing… With the Black Widow in Daredevil’s life, what will become of Matt Murdock’s relationship with the lovely Karen Page?

COLLECTING: DAREDEVIL (1964) #64-86 and IRON MAN (1968) #35-36
Rated T

In Shops: Feb 21, 2024

SRP: $49.99

MMW INVINCIBLE IRON MAN HC VOL 17

MARVEL COMICS

MMW INVINCIBLE IRON MAN HC VOL 17

AUG230963

(W) Dennis O’Neil, Peter B. Gillis, Bob Harras (A/CA) Luke McDonnell

Tony Stark has changed the world, but those successes convinced the creator of the Iron Man armor that he himself was invincible. But no one is - and Obadiah Stane is about to exploit Stark’s every weakness, pulling apart his life piece by piece until one of Marvel’s greatest heroes is at rock bottom! Meanwhile, James Rhodes must protect them both from Stane, protect Tony from himself and protect everyone from a cadre of Atlanteans with Iron Man armor! It’s a crash course in super-heroing for Rhodey. He rises to the occasion, but battling Thunderball is one thing - facing the Mandarin is another thing altogether! The new Iron Man will be in for the fight of his life…that he may not win! Also featuring an Annual with a tragic turning point for the Eternals! Collecting IRON MAN (1968) #171-182 and ANNUAL #6.
Rated T

In Shops: Feb 21, 2024

SRP: $75.00

Quand même, les couleurs numériques flashy sur des encrages des années 1960-1970, ça pique les yeux.

Jim

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La semaine prochaine

MMW MARVEL TWO IN ONE HC VOL 07

MARVEL COMICS

MMW MARVEL TWO IN ONE HC VOL 07

AUG230961

(W) Tom DeFalco, Various (A) Ron Wilson, Various (CA) Alan Kupperberg

The ever-lovin’ blue-eyed Thing is back between hardcovers in the Marvel Masterworks! We begin with two double-sized extravaganzas - one featuring an all-out brawl between the Thing, the Hulk, the Stranger and Pluto; and another co-starring the Avengers that pulls Benjy into a Negative Zone battle against Blastaar, Annihilus and the power of the Super-Adaptoid! Then, a day at the big top leads to three rings of the Circus of Crime! Other exploits include a trip to Man-Thing’s swamp, the return of the Atlas Era monster Xemnu, a rubber-burning race with Ghost Rider, the debut of the American Eagle and the disfiguring horror of Virus X! You’ll never have more fun with a six-foot, quarter-ton walking pile of rocks as you will in this volume, brought to you by Tom DeFalco and Ron Wilson! Collecting MARVEL TWO-IN-ONE (1974) #75-82 and ANNUAL #5-6.
Rated T

In Shops: Feb 28, 2024

SRP: $75.00

STAR WARS LEGENDS EPIC COLLECT RISE OF THE SITH TP VOL 01

MARVEL COMICS

STAR WARS LEGENDS EPIC COLLECT RISE OF THE SITH TP VOL 01

NOV230725

(W) Scott Allie, Various (A) Various, Mahmud Asrar (CA) Davide Fabbri

Tales of Star Wars Legends that lead up to the events of STAR WARS EPISODE I: THE PHANTOM MENACE!

When young Jedi Master Qui-Gon Jinn is dispatched to prevent a civil war, he has a close encounter with the Dark Side! Years later, Qui-Gon and his apprentice Obi-Wan Kenobi face an out-of-control cloud cruiser and the lawless world of Ord Mantell, where everyone holds a grudge - and a blaster! And Mace Windu’s Jedi Knights face the threat of the Yinchorri - a race more deadly than they ever imagined!

COLLECTING: STAR WARS: JEDI - THE DARK SIDE 1-5, STAR WARS: QUI-GON & OBI-WAN - THE AURORIENT EXPRESS 1-2, STAR WARS: QUI-GON & OBI-WAN - LAST STAND ON ORD MANTELL 1-3, STAR WARS: JEDI COUNCIL - ACTS OF WAR 1-4, MATERIAL FROM STAR WARS (1998) 4-6; MATERIAL FROM STAR WARS TALES 1, 3-5, 7, 9-10, 13-14, 24
Rated T

In Shops: Feb 28, 2024

SRP: $44.99

Je me suis récemment plongé dans le deuxième Essential Marvel Team-Up, je ne sais plus pour quelle raison. Et c’est un plaisir.

Le tome reprend les épisodes 25 à 51. C’est la grande période Mantlo, qui reprend le scénario des mains de Len Wein et Gerry Conway (qui signe l’informelle trilogie de Jeremiah, dans Marvel Team-Up #33 à 35), et qui lance de grandes intrigues sur plusieurs numéros, là où précédemment la série privilégiait des récits en un seul tenant ou en eux parties. Au contraire, Mantlo testera les limites de la série en plaçant la barre plus haut grâce à des développements plus longs, parfois sur quatre épisodes. Il est sans doute encouragé en cela par Marv Wolfman, responsable éditorial de la série (parfois remplacé par Archie Goodwin), et la prestation de Mantlo (qui travaille aussi avec Wolfman sur Marvel Two-in-One à la même époque) montre le chemin à celui-ci : en effet, Wolfman laissera de grandes sagas enlevées sur la série consacrée à Ben Grimm, autour de Deathlok, de Spider-Woman à Londres ou, encore, du procès de Ben (la discréditation du héros, un thème très wolfmanien).

L’une des autres dimensions qui m’a frappé à la relecture (un peu en diagonale, certes), de ce recueil, c’est bien entendu la place que l’horreur prend dans les histoires. Une horreur toute mesurée, puisque nous sommes dans une parution soumise au Comics Code, mais horreur tout de même, incarnée par la présence de personnages tels que le Man-Wolf ou la Frankenstein Monster.

Nous sommes au milieu des années 1970 et l’assouplissement du Code, ainsi que le succès de revues grand format en noir & blanc ont offert une visibilité aux personnages issus du folklore horrifique, et bien entendu Mantlo s’empresse de faire vivre ces personnages aux côtés de Spidey. Rétrospectivement, à la lumière de ce qu’on sait de la carrière du scénariste, on sait que le thème de la santé est central dans son corpus. Santé du corps, santé de l’esprit. Les monstres, hybrides lupins ou corps recousus, évoquent le corps. De même que la présence du cyborg Deathlok offrira une autre facette à cette dimension. Mais la folie n’est jamais loin non plus, comme en témoigne l’arc, assez long, consacré au Wraith, le frère dément de la policière Jean DeWolfe.

En tout cas, Mantlo aligne les sagas qui ont du souffle, et la série adopte un rythme frénétique. Il est aidé en cela par Sal Buscema, souvent encré par Mike Esposito, qui livre des planches rapides, dynamiques, pleines d’action, avec des personnages héroïques, forts, fiers. Iconiques, comme disent nos amis outre-Atlantique.

Après Marvel Team-Up #36-37, qui fait intervenir le Monster of Frankenstein et le Man-Wolf, Mantlo signe un autre diptyque, dans les numéros 39 et 40, qui marquent le retour du Big Man et du Crime Master, deux figures de la mafia du temps de Ditko. Une intrigue ancrée dans la continuité (pour ma part, j’ai découvert cette version avant de lire celle de Ditko) que Mantlo résout en montrant, dans une réécriture cruelle de Roméo & Juliette, que ces nouvelles versions des méchants sont incarnées par les fils et fille des premiers tenants du titre (dont Nick Spencer se souviendra d’ailleurs).

Marvel Team-Up #41 est le début d’une saga en quatre parties où Spidey se trouve projeté dans l’Amérique des pionniers puritains et de la Chasse aux Sorcières, aux côtés de la Scarlet Witch, de Vision et de… Doctor Doom. C’est l’occasion d’une petite leçon d’histoire puisque le personnage de Cotton Mather, ici super-vilainisé, s’inspire d’un pamphlétaire de la fin du XVIIe siècle.

Pas fatigué pour autant, Mantlo ramène Spidey à son époque, mais bien entendu son voyage temporel se passe mal et le Tisseur se retrouve dans deux futurs alternatifs de l’univers Marvel, celui de Killraven (#45) puis celui de Deathlok (#46). Ici, Marvel Team-Up et la figure du héros servent d’écho promotionnel aux deux séries.

Si ces deux histoires sont sympathiques mais un peu anecdotiques (et recourent toutes deux, sous des formes différentes, au thème de l’hallucination et du contrôle mental), elles maintiennent le rythme de la série. Le Tisseur revient dans son époque à l’épisode suivant. En fait, l’épisode suivant, c’est Marvel Two-in-One #17, écrit par Mantlo, dessiné par Sal Buscema et supervisé par Wolfman, première partie d’un cross-over entre les deux anthologies. Pour des raisons qui tiennent sans doute au calendrier de publication, les deux équipes rédactionnelles sont inversées, cela se remarque aux dessinateurs : la partie dessinée par Ron Wilson, deuxième volet de cette bataille contre le Basilisk, se retrouve dans Marvel Team-Up #47, tandis que celle illustrée par Buscema paraît dans Marvel Two-in-One #17.

Huit épisodes d’affilée où les auteurs ont le pied au plancher. Mais Mantlo et Buscema ne ralentissent pas, puisqu’ils enchaînent aussitôt sur les épisodes 48 à 51, une histoire qui commence avec Iron Man et des avions explosifs télécommandés, et qui finit en drame familial chez les DeWolfe et en procès dramatique (dénotant la passion de Mantlo pour la chose juridique).

Belle envolée là encore, qui fait de Marvel Team-Up, dans ces années 1975-1976, une lecture trépidante et divertissante. Spidey y est entouré de personnages bien campés, Mantlo parvenant à installer, à l’occasion de cette saga, un casting récurrent, et les cliffhangers fonctionnent très bien. Les sagas proposées par le scénariste annoncent aussi ce que Claremont fera quand il reprendra le titre à partir du #57 (à noter que son compère Byrne signera trois épisodes, les #53 à 55, sur un scénario de Mantlo une fois encore empli de rebondissements) et donneront un élan au titre qui ne retombera que bien plus tard.

Jim

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Ça fait un bout de temps que j’ai en tête de récupérer les She-Hulk de Byrne en VO. Et là, l’occasion vient de se présenter. Sous la forme de deux recueils consacrés aux deux périodes de l’auteur sur la série.

Le premier recueil s’ouvre sur les pages extraites de Marvel Comics Presents #18 dans lesquelles Byrne fait revenir le personnage et, surtout, introduit son concept, à savoir la conscience du statut de fiction, le dialogue constant avec le lecteur, en bref, la cassure du quatrième mur.

Suivent les huit premiers numéros de la série, lancée en 1988, jusqu’au départ de l’auteur qui se fâche avec la rédaction, et notamment avec Bobbie Chase, responsable éditoriale.

Byrne s’amuse à faire revenir de vieux personnages, tels que le Circus of Crime, les Headmen, les envahisseurs Toad Men ou encore les chauffeurs routiers Razorback et US1, pour ce que je considère comme le pic de cette première prestation, une aventure cosmique déconnante avec l’ineffable Xemnu, pourtant articulée sur une continuité minutieuse, qui donne une nouvelle dimension aux protagonistes.

Mais bien sûr, l’élément fort de la série, c’est ce rapport hilarant entre fiction et réalité. Là encore, c’est par l’entremise d’un vieux personnage que tout se déroule, puisque Jennifer Walters devient amie avec Louise « Wheezie » Mason, en réalité l’ancienne Blonde Phantom des années 1940. En tant que personnage secondaire tombé dans les « limbes du comic book » pendant des années, elle n’a pas été soumise aux effets de jouvence propre à la continuité glissante des histoires de super-héros, et elle a vieilli. Elle a aussi appris à passer d’une case à l’autre pour franchir de grandes distances et à profiter des subplots pour se déplacer ou changer de vêtements.

Reparcourir ces épisodes me fait redécouvrir de nombreux détails. Par exemple, quand je les ai lus dans Nova, je n’ai pas saisi que les scènes de rêve dans lesquelles Jen se sent défaillir entre les bras d’Hercules étaient un clin d’œil, adressé aux fidèles lecteurs de Byrne, renvoyant à des scènes comparables entre Superman et Wonder Woman. Et des redécouvertes pareilles, il y en a plein.

C’est un régal à reparcourir. C’est joli, c’est sexy. C’est bien raconté, sans effets outranciers, avec une narration soignée et pas trop de grandes cases. On est encore sur le Byrne soigné de la fin des années 1980, qui s’arrange déjà pour éviter quelques décors, qui annonce l’astucieux tricheur qu’on verra s’épanouir plus tard, mais l’ensemble est très agréable à regarder. Seul petit bémol à mes yeux : le lettrage des deux premiers épisodes est réalisé par l’excellent John Workman, qui cède la place à Jim Novak dès la troisième livraison : c’est très bien, mais nettement plus discret et donc moins stylé.

Jim

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Après Ambush Bug et avant Deadpool.

Le deuxième recueil, compilant la seconde prestation de Byrne sur le personnage, s’intitule The Sensational She-Hulk - John Byrne: The Return. L’auteur devient le titre, clin d’œil évident aux mises en abyme intarissables propres à la série.

Ma première réaction à la réception de ce tome fut de m’étonner de son épaisseur. J’avais gardé en mémoire que ce retour de l’auteur avait duré un peu plus longtemps que son premier tour de piste, sans me rentre compte que l’ensemble compose une vingtaine d’épisodes, dont un numéro double, le cinquantième, le seul que j’avais en VO.

Si Byrne revient sur le titre, c’est que le paysage éditorial a changé. Désormais, c’est Renée Witterstaetter qui supervise la série. Byrne la connaît car elle a officié en tant qu’assistante éditoriale de Mike Carlin sur les titres Superman à l’époque où Byrne livrait le meilleur de sa prestation (la saga de Supergirl, par exemple). Qui plus est, le retour de l’auteur se fait avec la promesse d’une grande liberté créative, comme le suggère la couverture de The Sensational She-Hulk #31, où Byrne tente, en vain, de remplacer le numéro de l’épisode par le chiffre 9.

Ce retour se fait dans la foulée de la première prestation, l’auteur insistant d’ailleurs pour faire comme si rien ne s’était passé en son absence. Il travaille avec un encreur, Keith Williams, et un lettreur, Jim Novak. Il signe des intrigues dans la droite ligne de ce qu’il a produit précédemment (le Mole Man veut épouser Jennifer, prétexte récurrent dans la série). Et il ramène des tas de vieux personnages, notamment dans le fonds kirbyen.

En plus de ce genre de biscuits pour fans, il n’hésite pas à faire apparaître des personnages provenant d’autres univers, en guise de clins d’œil :

Redécouvrir cette série en VO, outre le plaisir de savourer les épisodes dans un jus plus proche de l’original, permet de découvrir les couvertures, qui parfois réservent des surprises, notamment d’intraduisibles jeux de mots (pourris), ou de profiter de notes de bas de cases très éclairantes.

C’est le cas par exemple de cette scène dans le numéro 35 où l’héroïne sort de sa case pour demander des informations au contrôleur de la continuité : le Keeper of the Comics Code, apprends-je grâce à la note, est en fait un personnage « réel » déjà apparu dans Not Brand Echh #5, de 1967 (à l’occasion d’une histoire signée Stan Lee et Marie Severin).

Voilà qui donne une saveur toute particulière à un gag qui m’avait un peu échappé lors de ma lecture en VF, il y a des décennies.

Graphiquement, c’est très sympathique, mais il faut signaler qu’à partir de l’épisode 38, Byrne se charge également de l’encrage (jonglant avec le duotone auquel il recourt dans Namor, par exemple) et du lettrage. Les cases sont plus grandes, plus éclatées, se superposent et laissent apparaître de larges portions de blanc : on sent effectivement qu’il bénéficie d’une grande liberté, mais les pages se lisent plus rapidement et les cadrages sont plus systématiques. Je préfère de loin les premiers épisodes du recueil, voire ceux du précédent tome.

Le recueil se conclut bien entendu sur The Sensational She-Hulk #50, qui raconte comment Byrne et Witterstaetter passent en revue les pages tests de l’éventuel successeur à l’auteur, ce qui vaut des interprétations amusantes de la verte héroïne par des auteurs aussi différents que le couple Pini, Dave Gibbons, Frank Miller ou Walt Simonson.

Le retour de John Byrne a été l’occasion pour ce dernier de laisser une belle prestation, des épisodes tels qu’il voulait les faire. Il boucle l’affaire sur un joli coup d’éclat.

Jim

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C’est vrai que le « Jenny to the center of the Earth » me paraît bien compliqué à adapter !

Bon, c’est malin, tu me donnes envie de me les procurer aussi…

Tori.

Grande periode qui n’aura pas survécu au changement de format du magazine Nova.

Ah ouais, tiens, je ne m’en souvenais pas.

Et donc, si j’en crois ComicsVF (qui rame un peu, aujourd’hui), ils se sont arrêtés au #46 (dans Nova #192), en plein suspense !

Jim

Ouais je confirme. D’où ma surprise et mon plaisir de pouvoir lire la suite quand j’ai choppé les TPB