Hmm…
Jim
Réunion téléphonique, avec évocation de quelques points (deux trois textes à changer / modifier / détailler ici et là…).
Et possibilité d’une signature en avant-première à Angers. Rien n’est décidé, si ça se fait, j’en reparle très vite.
Jim
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Hum… quand date décidée, date à donner.
Si señor.
Jim
Baroud d’honneur, vers la fin de l’album !
Et donc :
Total : 60 pages
Scénario : 60 pages
Storyboard : 60 pages
Crayonné : 60 pages
Encrage : 60 pages
Lettrage : 54 pages
Ça approche.
Jim
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Oulala …ce sera prêt pour Angers ?
(si c’est toujours d’actualité)
Normalement, oui : on a eu une réunion au téléphone et visiblement, c’est bon.
Ça part chez l’imprimeur dans une quinzaine (la semaine prochaine sera sans doute bien dense, en matière de relectures et validations).
Jim
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Le lettrage arrive à sa fin.
Le texte bonus est rédigé.
Les illustrations complémentaires ont été envoyées.
Bref, ça avance.
Jim
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La maquette avance bien : plusieurs propositions de couverture, les bonus sont quasiment terminés (plus qu’à remplacer le crayonné des illustrations par des versions finalisées), quelques retouches de dialogues ont été intégrées…
Thierry, la rédaction et moi-même nous posons plein de questions, sur la saturation des couleurs de couvertures, sur la reproduction du trait noir en intérieur, sur la nature et le contenu des bonus…
Et petit à petit, ça prend forme.
Jim
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C’est un vrai métier de faire une BD.
Un métier harassant.
Et des journées un peu éclatées : aujourd’hui, envoi d’un dossier aux éditeurs (et discussion avec le dessinateur sur différents points), corrections sur le Sapeur, corrections sur un nouveau dossier à envoyer la semaine prochaine, écriture de pages pour un nouveau projet, plus quelques babioles administratives, échanges de mails avec deux rédactions et validation de corrections pour une réimpression (pas d’un de mes titres, je précise).
Le tout, bien entendu, dans le plus foutraque des désordres, avec des allers-retours d’un dossier à l’autre. De quoi perdre le reste de ciboulot que j’ai encore…
Jim
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C’est ça d’être chef d’entreprise.
Comment dis-tu, déjà ?
Ah, oui :
Voilà…
Et encore, j’attends dans les jours qui viennent un autre dossier à relire.
Pff…
Jim
Un bourreau de travail, ton patron.
Mais au moins, il permet d’aménager les horaires…
Jim
Dernière ligne droite pour la maquette.
Ça avance bien.
Jim
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Parce que c’est ta quète !
On y est presque :
Jim
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