SHANG-CHI, MASTER OF KUNG-FU : les grands moments

Je ressors un vieux thread que j’ai fait pour divers forums… Il n’était pas ici.

Je vais essayer de rendre justice à une série qui m’a beaucoup marquée.

Nous sommes dans les 70’s et le phénomène des arts martiaux commence à prendre de l’ampleur avec Bruce Lee et David Carradine.
Marvel, alors dirigé par Roy Thomas, essaye de sortir de la crise qui frappe le marché en publiant autre chose que du super-héros pur et dur.
Ils ont déjà lancé avec succès Conan, Werewolf by Night ou Frankeinstein qui seront suivi bien plus tard par Star Wars mais surtout une série qui a de nombreux points communs avec MOFK : Tomb of Dracula !
Ils puisent donc de nouveau dans la patrimoine littéraire et trouve un nouveau « vilains » très populaire outre atlantique : Fu Manchu, crée par Sax Rohmer en 1913 (je m’arrêterai là, ma culture littéraire étant assez limitée.).

Comme pour l’adaptation précédente, Marvel reprend certains personnages (Nayland Smith et Petrie les agents secrets britanniques qui luttent contre le docteur maléfique, Fah Lo Suee, fille de Manchu…) et en inventent d’autres (Black Jack Tarr, Leiko, Reston) comme Blade et surtout un héros qui a un lien de parenté avec notre méchant, après Franck Drake, voici Shang Chi !
Autres ressemblances :
1- La série aura ce semblant de progression et de conclusion naturelle.
2- Un scénariste qui n’est pas le créateur de la série la portera au sommet et en fera son bébé : Wolfman sur Dracula et Moench sur MOKF.

Cependant, elle sera lancé par un duo Steve Englehart et Jim Starlin qui, eux, voulaient adapter la série TV Kung-Fu (mais déjà optionnée).
La série révélera deux énormes dessinateurs en leur donnant leur 1er long run sur un titre d’une grande compagnie : Gulacy et Zeck, qui donneront à la série deux runs somptueux dans des registres différents(1).
Elle sera ancré dans la Marvel Universe par le biais d’apparition de Shang dans d’autres séries (Marvel Team up, Manthing…) mais n’accueillera que Manthing ou Doom en son sein.
Elle fournira aussi des vilains (ou leurs successeurs) devenus seconds couteaux dans des titres superhéroïque mais qui avaient de l’allure et qui sur ce titre avaient une vraie légitimité et un vrai charisme (Razorfist, Shockwave, Zaran ….)

La série fut traduite dans Eclipso puis Thor (Flash nouvelle formule couleur) mais sa première apparition VF se fit dans Spécial Strange 1. Je me limiterai aux numéros sortis dans Eclipso en VF.
Si la série eut un gros succès aux usa avec 125 numéros, 4 Giant size et un annual mais aussi 33 numéros d’un magazine noir et blanc "Deadly Hands Of Kung Fu" (où apparurent Son Of Tigers, White Tiger ou Daughter Of Dragon), elle fut ici éclipsé par sa parution chez Arédit (qui pourtant compte beaucoup de séries superbes).
Ici, Ironfist est plus connu de par sa parution dans Strange puis Titans : pourtant MOKF, me semble plus réussie et plus « mature ».
Craignant de devoir payer des droits d’auteur aux ayants droits Rohmer: Arédit a changé quelques noms : Fu Manchu devient Kou Namfu et Shang Chi, Yang Shi. Dommage que ce dernier soit une création Marvel contrairement par exemple à Nayland Smith ou Fah Lo Suee dont les noms originaux furent conservés. Je ne suis pas le seul à avoir une culture littéraire limitée !

Je vais essayer de traiter les numéros que je regrouperai par arc (et oui ce n’est pas une invention de Bendis).
A noter, aussi, une quasi constante dans cette série qui est que la narration est assurée par Shang à la première personne : Miller n’est pas le premier à l’avoir fait sur une série mainsteam !


Je signalerai juste le dossier sur le personnage dans Scarce 47, qui m’a aussi aidé.

Eclipso traduira entre autre des séries DC comme Spectre, Doom Patrol, Hawkman ou Challengers of The Unknown, des séries Charlton comme Peacemaker ou d’autres comme Noman et THUNDER Agents.
Elle traduira des séries Marvel comme Journey Into Mystery (Thor), Avengers, Tales Of Suspense (Captain America et quelques Iron Man non traduit par Lug), Strange Tales (Doctor Strange), Tales To Astonish (Namor, GiantMan) puis surtout Manthing et Master Of Kung Fu mais aussi Dominic Fortune, Scarecrow (celui qui sort des tableaux) ou Black Goliath…

Le personnage apparait dans le numéro cover daté 1974 mais sûrement sorti en décembre 1973. Happy 50 year Shang!!

(1) Je ne parle pas de Gene Day car son run est inédit en VF.

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Special Marvel edition 15, traduit das Eclipso 65.
Engleheart-Starlin-Milgrom

Shang Chi doit remplir une mission qui ne lui plait guère : il doit tuer un ennemi de son père : le Dr Petrie.
Cela contredit ces cours de philosophie que son père lui a donné comme il lui a enseigné les arts martiaux avec les meilleurs professeurs possibles.
L’homme est vieux et faible mais Shang ne faiblit pas.
Il se retrouve alors nez à nez avec Nayland Smith qui lui montre qui est vraiment son père : un génie du mal entouré de sociétés secrètes, immortel grâce a un élixir Vitae et qui vise la conquête du monde.

Nayland jure de retrouver Shang et de se venger !
Après s’être renseigné auprès de sa mère, il retourne voir son père, Fu manchu qu’il jure d’arrêter. Ils seront ennemis!
Toute la dramatique de la série tourne sur le rapport père-fils, Shang étant tiraillé entre le lien familial et faire ce qui est juste (même s’il n’hésite pas à tuer.).

La mère, elle, à ma connaissance finira dans les limbes!

Cet épisode sert d’introduction à l’univers de Fu manchu…
On est loin de ce que la série deviendra.
Shang, éduqué par les meilleurs mais naïf de part son manque de connaissance du monde extérieur, est constamment déchiré entre son enseignement et la réalité.
Starlin n’est pas à l’aise sur ce genre de bandes et ça se voit.

Marvel Spécial Edition 16 traduit dans Eclipso 65.
Engleheart-Starlin-Milgrom

Shang Chi ère dans Central Park, suite à sa rencontre avec son père.
Il se fait attaquer par des voyous dont il se débarrasse facilement quand il se fait interpeller par celui qu’il considère comme son frère : Midnight !
Ce dernier disparaît pour rejoindre Fu Manchu qui lui ordonne de tuer Shang !

Midnight est défiguré depuis son enfance et ce qui un raid des services occidentaux sur un village pour anéantir une arme biologique de Fu Manchu.
Il se cache depuis sous un masque noir et a été élevé et éduqué comme Shang, avec qui une certaine empathie se crée de par leur chemin si proche et si opposé.
Shang découvre qu’il est recherché pour le meurtre de Petrie.

Le combat entre Midnight et Shang se terminera par la mort du premier dans un accès de rage solitaire.

Nous reverrons ce personnage au sein de la première légion des morts vivants lors de la saga de la Madonne Céleste dans les Avengers scénarisé par Engleheart.

Un nouveau conflit interne pour le héros qui hésite entre ses souvenirs d’un passé ignorant mais heureux et la réalité actuelle et qui le conduise à provoquer une nouvelle mort, loin de ses idéaux.

Starlin signe un numéro plus abouti et surement son meilleur de la série mais reste toujours trop loin de ses Warlock.

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Il me semble qu’il revient dans les Silver Surfer d’Englehart, non ? Je sais plus, j’irai voir…

Jim

1973, l’année du (coup du) lapin ?

Gwen-Death

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En version cosmique oui

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Et je crois que je n’avais pas fait le lien, à la lecture de l’épisode dans Nova, à l’époque. Est-ce que je connaissais la version d’origine, je ne sais plus trop…

Jim

Ben, ça aurait été mieux de créer un sujet à part dans la section V.O. (ou le club comics)
Donc pour ceux qui savent faire ça, découper, déplacer, tout ça…^^

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j ai hésité… entre ca ou un truc anniversaire…
La VO ca m ennuie car ca exclu
merci à toi Doc

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Master of Kung Fu 17, traduit dans Eclipso 65
Engleheart-Starlin-Milgrom

La série est rebaptisé Master of kung Fu, ce qui montre sa popularité relative (Ironfist ne l’aura qu’au bout de 10 numéros et pour à peine 15 de plus).

Ce numéro voit l’introduction d’un personnage important : Black Jack Tarr !

Nayland utilise un ami des services secrets, Tarr, pour attirer Shang dans un piège : la maison de Tarr à New York, qui contient tout un tas de piège mortel.
Pour l’attirer il fait paraître la nouvelle de sa venue : Shang qui tombe sur ce titre, par hasard, se sent le besoin de conseils de la part du vieil homme sur le fait de se rendre (pas forcément la meilleure chose à faire).
S’ensuit un parcours du combattant, où Shi triomphe des obstacles (Black Jack compris).


Il fait face à Smith à qui il demande de se lever (il a eu les jambes broyés par Fu Manchu)…
Il lui dit que le problème n’est pas physique mais mental avec toute l’amertume et la haine refoulée…
Sir Denis tente et réussit à se tenir debout : notre maître du kung fu le laissera seul à méditer sur ce qu’il convient de croire possible !

Un bon numéro où la pseudo philosophie asiatique fonctionne et donne un ton à la série.

Jack Tarr est pour l’instant un raciste fini : il ne cessera d’appeler Shang : chinaman (chinois chez Arédit, niacoué chez panini (mini Max)) mais au fil du temps, ce sera avec une certaine tendresse, difficile à percevoir dans cette première apparition.
Les bases de ce que sera la série pendant un moment, se mettent en place.
Dernier numéro de Starlin que l’on ne regrettera pas sur ce titre


Master of kung fu 18
Englehart-Gulacy-Milgrom

Après avoir été attaqué par un dacoit (membre d’une société secrète dirigé par son père), Shang est rejoint par Sir Denis et un Black Jack, qui se méfie toujours de lui.
Smith lui propose une alliance contre l’avis de Tarr, pour détruire Fu Manchu.
Ils ont une information sur un trafic de ce dernier en Floride.

Sur les lieux, notre héros découvre que la marchandise est du mimosa, drogue puissante de son père, mêlé à de l’essence. Ainsi vendue à bas prix à une Amérique dépendante de cette énergie, cette puissante drogue se répandra dans l’atmosphère et asservira les habitants. En effet, elle a pour effets d’annihiler la volonté.

Capturé, Chi se retrouve livré au Dacoit du début de l’histoire, boosté à une drogue qui le détruit lentement(ca rappelle Strike Force Morituri ou ce que devait être Spawn si il avait été crée par un autre artiste).

Devant tant de douleur, il se suicide.
Shang s’en sort bien et détruit le cargo de livraison, il est maintenant perdu dans les marais et poursuivi par les assassins du génie fou !

Gulacy n’est pas encore au top et même il est moins impressionnant que sur Morbius (traduit dans Dracula).
On sent l’influence de Steranko !

Master of kung fu 19
Englehart-Gulacy-Milgrom

Shang se retrouve face à Manthing, la créature du marais de Marvel.
Cet être ne parle pas, est fait de boue et sa nature empathique fait que tout ce qui ressent la peur, brûle à son contact.
Shang est sauvé par un jeune asiatique, Lu Sun, pacifiste et « philosophe ».
Les assassins le retrouve et s’ensuit un combat durant lequel le jeune homme est blessé.
Man-Thing tue les « méchants » et Chi se rend compte que malgré tout son enseignement, il n’a pour l’instant répondu que par la violence (en même temps oun comics de superhéros où on repond par la raison…).

Smith et Tarr recherche Shang !

Il est à noter que pour l’instant Fu Manchu ressemble beaucoup à son ersatz marvellien : Griffe Jaune : ça ne durera pas.

La série de Man-Thing était déjà traduite dans Eclipso (il y a un superbe run de Steve Gerber sur le personnage entre autre).

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Master of Kung Fu 20, traduit dans Eclipso 66 et Thor (flash nouvelle formule)1
Conway-Moench-Gulacy-Milgrom
Master of Kung Fu 21, traduit dans Eclipso 66
Moench-Wilson-Milgrom

Une petite frappe de Floride envoie des tueurs s’occuper de Shang dans le but de s’attirer les faveurs de Fu Manchu.
Après un échec, il engage Korain, samouraï légendaire qui doit sa longévité à l’élixir du père de notre héros.

Au cours du combat, le tueur fait une overdose du produit et tue accidentellement la fiancé, jusque là délaissée, du « gangster ».

Celui-ci jure de se venger.
Il capture Chi et se défoule à mort sur lui.
A cet instant Fu Manchu apparaît avec ses Si-fans, tuent tous les hommes et libèrent son fils, dont il sera le seul à décider de la mort.

Arrivée de Moench sur le titre, il tiendra les rênes de la série jusqu’à la fin ou presque.
Les directives de Shooter pour relancer l’intérêt su titre (qui se vendait sur la fin autour de 120000 ex) ne lui plaisant pas, il démissionne.
Ce titre sera un peu son « bébé » et ça se verra.
Il sera d’ailleurs, par la suite de tous les projets solos du personnage, les seuls à être dans le ton du personnage.
Cette histoire est très sympa, même si elle n’est pas inoubliable.
Gulacy est en net progrès et son découpage commence à se faire cinématographique.
Wilson est égal à lui-même, c’est un artiste maison comme peuvent l’être aujourd’hui des Bagley, Zircher… pas enthousiasmant surtout après du Gulacy.


Master of Kung Fu 22, traduit dans Eclipso 66
Moench-Gulacy-Adkins

Chi est victime d’un guet-apens dans un restaurant chinois par des assassins envoyés par son paternel.
Après le combat, il est rejoint par Smith et Tarr qui avaient eu vent de l’attaque et le préviennent d’un nouveau coup de Fu Manchu.
Notre héros part seul au QG New Yorkais de son père, où il était venu dans le premier numéro et découvre que ses deux nouveaux alliés se sont fait capturés.
Il les suit dans un vaisseau futuriste rempli d’explosifs.
Lorsqu’il déjoue le plan du génie machiavélique, ils se rendent compte qu’il voulait faire sauter le mont Rushmore.

Si le scénario n’est pas des plus originaux, Gulacy fait un superbe travail, inspiré toujours par Steranko mais aussi par le cinéma.
La scène du restaurant est un petit bijou de chorégraphie mais le meilleur est à venir.
Adkins lui convient déjà mieux que Milgrom (l’encreur maison) ce qui n’est pas difficile.

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Master of Kung Fu 23, traduit dans Eclipso 67.
Moench-Milgrom-Janson
Master of Kung Fu 24, traduit dans Eclipso 68
Moench-Weiss/Starlin/Simonson-Milgrom

Shang Chi est pris dans l’affrontement entre un ancien nazi, défiguré après avoir été abandonné par un officier Japonais et Fu Manchu.
Il est accompagné de Smith et de Tarr,
Chi sauvera son père de Burcher, qui mourra lors du combat.

Le racisme était très présent lors des premiers numéros de la série.
Dans tous les sens avec Fu Manchu, lui aussi nationaliste nostalgique.
Cet épisode montre aussi l’indéfectible loyauté de Tarr envers Smith.

Si Janson arrive à rendre intéressant les crayonnés de Milgrom (c’est pas facile) ; Ce dernier réussit la gageure non seulement d’uniformiser mais aussi de rendre banal les dessins successifs de Weiss, Starlin et Simonson !!
Je laisse méditer ceux qui pensent qu’un encreur n’est qu’un traceur et n’a pas de poids sur le rendu final !


Master of Kung Fu 25, traduit dans Eclipso 68
Moench-Gulacy-Trapani

Perdu dans la jungle d’Amazonie, Chi sauve un enfant d’un fauve.
Cet enfant était en fait livré à la jungle par superstition.
Emmené au village, notre héros doit passer des tests pour la vie du bébé, sous l’œil et avec les explications d’un Si-fans capturés.

Après moult péripéties, Shi sauve les vies de l’enfant et du Si-fans.
Ce dernier, fidèle à Fu Manchu, malgré le geste de Shang, lui annonce qu’il doit le tuer.
Chi revient seul vers Nayland et Black Jack.

On s’arrête sur un des assassins à la solde de Manchu et on voit la ferveur qui accompagne le génie du mal tel une superstition ou une croyance.
Le village superstitieux est sûrement maladroit mais permet à Gulacy de continuer à bosser les effets cinématographiques. Chi se rapproche de Lee.


Master of Kung Fu 26, traduit dans Eclipso 68
Moench-Pollard-Trapani

Smith se rend en Egypte pour rencontrer le fils d’un ancien ami, Greville.
Il se rend compte que ce dernier est envoûté par Fah Lo Suee, demi-sœur de Chi, qui s’oppose, elle aussi, à son père mais pour le remplacer.
Fu Manchu fait des enfants de façon scientifique en choisissant la mère attentivement et en « formant » ses enfants.

Fah Lo Suee, comme les femmes qu’emploie le génie, est une femme fatale à qui personne n résiste.
Elle est à la recherche d’un rubis qui a des pouvoirs hypnotiques.
Leur père n’est pas loin. Il s’ensuit une bataille qui finit avec la disparition des rubis, la fuite de Manchu et Suee et la mort de Greville, d’un baiser empoisonné.

Dommage que Pollard dessine ce numéro, en petite forme en plus, Gulacy montrera par la suite plus de talent à croquer des femmes fatales et sexy.


Master of Kung Fu 27, traduit dans Eclipso 69
Moench-J.Buscema-Springer

Suite à l’assassinat d’un innocent par un Si-fans (sociétés secrètes de Fu Manchu), qui a eu le tort de parler à Shang, ce dernier part voir son père.
Celui-ci lui apprend que sa sœur a survécu et qu’une guerre entre les deux camps va éclater et beaucoup risquent d’être pris au milieu.
C’est Fah Lo Suee qui contrôlait en fait le Si-fan…
Shang ne peut se résoudre à tuer son père dont il ne veut qu’éradiquer la menace.
]
Une sorte de fill-in dessiné par un John Buscema, très en dessous. Pour couronner le tout Springer est à l’encrage !
Graphiquement laid !


Master of Kung 28, traduit dans Eclipso 71
Moench/Hannigan-Wilson-Bradford/Trapani

Nayland est capturé par Fah Lo Suee qui veut parler à son frère.
Chi refuse de s’allier à elle contre leur père, les renvoyant dos à dos.
Après un combat contre les hommes de sa sœur, durant lequel le Chasseur d’ombre, fidèle à Fu Manchu, se joint à lui, Shang réussi à reprendre les rubis et à les détruire.

]

On s’ennuie ferme sur ce numéro. Hannigan ou Wilson ne sont pas ceux qui vont susciter notre intérêt !
On notera avec amusement que la première apparition du chasseur d’ombres et de Clive Reston a lieu dans le Giant Size 3, seul à être disponible en vf, traduit juste après dans ce numéro d’Eclipso !
Ces personnages seront récurrent dans la série

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Ca, c’est une période que je ne connais pas. Il y a quelques années, j’avais acheté le Epic qui débute au #29, super période…et j’ai aussi quelques Moench/Gulacy dans les rares Arédit de ma collec…

C’est là que ça décolle vraiment (avec l’aspect espionnage, l’entourage de Shang, etc).

Le 2 qui couvre une des meilleures periodes…

Le 1 existe… c est la suite qui n existe pas…

Pour ma part je m arreterai au 78 sans les GS 1, 2, 4 et l annual 1 qui sont inédits en VF
La VF court jusqu au 92 (79-92 traduits dans Thor collection Flash nouvelle formule)

sinon j ai investis dans les omnibus VO a l epoque de leur sortie (ils contiennent aussi le courrier) je les avais trouvé entre 59 et 75€ pièces (125$ prix normal)
J en suis trés content meme si j aurais aimé une VF

Ca, c’est bien dommage…

Ou n’existe plus désormais (les solicitations du volume suivant comme seul vestige).

3-7039237-04 (40, novembre)

Shang-Chi’s martial arts adventures continue with « the Saga of War-Yore! » This epic of action and intrigue pits Shang-Chi against a rogue MI6 agent driven mad by experimental treatments. Rather than becoming the ultimate secret agent, War-Yore has become the insane embodiment of history’s greatest warriors! Then, Shang-Chi is tested by the combined forces of Skull-Crusher, the Cat and Pavane in a storyline enhanced by the debut of artist Mike Zeck. In the aftermath, Shang-Chi renews his quest for justice and inner peace. Yet « games of death and deceit » offer little room for rest, and soon Shang-Chi must deal with a surprise return to Mordillo’s Island - and the mercenary/assassin weapons master known as Zaran!

COLLECTING: VOL. 3: MASTER OF KUNG FU (1974) 54-79

On ne sait toujours pas officiellement pourquoi.
Near Mint condition pose souvent la question à Marvel de ce T3… pas de reponses.
mais bon la solicit date d avant le covid…

Et le rythme de parution des omnibus était assez intensif (tels ceux de Conan: 20 omnibus VO entre 2018 & 2023), comme s’ils craignaient d’avoir une fenêtre de tir limitée par rapport aux droits des personnages « externes ».

Au départ il avait été indiqué que les omnibus seraient les seules rééditions.