Master of Kung Fu 44, traduit dans Eclipso 76.
Moench/Gulacy/Abel
Master of Kung Fu 45 à 47, traduit dans Eclipso 76.
Moench/Gulacy/Marcos
Ducharme raconte à Shang et Leiko comment elle est devenu une servante de son père et un agent double du MI6.
Puis ils sont rejoint par Reston pour rechercher celui qui a conçu les bombes et vit a Lausanne : Tarrant.
Clive annonce à notre héros qu’il est toujours amoureux de Wu.
Pendant ce temps, Leiko est capturée.
Smith interroge son neveu, Shockwave, qui semble drogué. Il lui apprend que Petrie est la taupe. Ce dernier présent dans la pièce abat Sir Dennis en faisant croire que le prisonnier lui a pris l’arme.
De leur côté, Reston et Shi tombe sur Fah Lo Sue…
Ils apprennent que cette dernière est derrière l’Oriental Expediters qu’elle utilise dans sa lutte contre Fu Manchu.
Leiko arrive à s’échapper et à aider Chi et Reston qui ont refusés de s’allier à la sœur de shang.
Ils découvrent que Tarrant est l’agent responsable du MI6 en Suisse !
Reston se fait envoûter et briser par Fah Lo Sue et doit son salut à l’arrivée de Shang et Wu qui infiltre la bande, indiquant au MI6 où se trouve le QG de Fu Manchu que Sue veut attaquer dans l’arctique.
Petrie est découvert et reconditionné.
Et le plan de Manchu est découvert : il veut ressusciter son ancêtre comme soldat indestructible et nouveau fils puis prendre le pouvoir en sortant la lune de son orbite.
Les troupes de Fah sont décimées car son père garde un atout : Ducharme est toujours sa servante et elle a infiltré le MI6.
Leiko et Shang s’avoue leur amour et les agents s’allient à la fille du diable !
Chi est perdu : il déteste ce jeu de trahison et de mort et ne sait plus a qui faire confiance.
Mais son amitié pour Clive et Tarr et son amour pour Leiko le déstabilise encore plus et le font agir de façon moins réfléchi !
Gulacy livre des planches convaincantes et le 1er épisode est très Stérankien !
Moench, sur les deux derniers épisodes rompt avec le fait que ce soit Shang, le narrateur et donne la parole à Reston puis Leiko. Cela se poursuivra jusqu’à la fin de l’intrigue.
Cette intrigue est découpée en arc mais prend sa source dés l’histoire avec le Cat pour donner une intrigue qui monte en suspense et utilise habilement tous les codes du film d’espionnage allant des gadgets, poursuites, enlèvements, plan gigantesques, manipulation mentale et génétique, femme sexy, dépaysement…
Un festival dont le bouquet final sera pour la prochaine fois….
Master of Kung Fu 48, traduit dans Eclipso 77.
Moench/Gulacy/Marcos-Abel.
Master of Kung Fu 49, traduit dans Eclipso 77.
Moench/Gulacy/Marcos.
Master of Kung Fu 50, traduit dans Eclipso 77.
Moench/Gulacy/Esposito.
Master of Kung Fu 51, traduit dans Eclipso 77.
Moench/Craig/Marcos.
Le MI6 envahit le QG de Fu Manchu au pôle nord.
Shang va gravir tous les obstacles qui le mèneront à son père (comme son ancêtre/frère ressuscité) et à la confrontation finale dans l’espace, qui voit la mort apparente de Fu.
Larner se sacrifiera pour sauver Leiko.
L’autre perte de la série sera Paul Gulacy qui signe ses adieux sur cet arc en 6 parties.
Sur les 3, que je chronique ici, le 49 est particulièrement réussi avec des visages à couper le souffle et s’achevant sur la mort héroïque de Larner.
Gulacy aura su donner une identité visuelle à MOKF avec son casting de luxe, ses plans inventifs, ses décors de Bond et un découpage haletant.
Je retiendrai personnellement par la suite ses travaux sur James Bond ou l’excellente mini série , tous deux réalisés avec Moench mais aussi son influence sur des auteurs comme Jackson Guice.
A noter que Moench continue de narrer ces épisodes comme d’habitude à la première personne du singulier mais par Tarr, Smith puis Fu Manchu, ce qui permet d’approfondir la personnalité des uns et des autres.
Le numéro 51 nous montre l’enterrement de Larner, puis une réunion du groupe survivant.
Shang trouve que Smith n’est pas mieux que son père suivant une quête (la destruction de Manchu) pour laquelle il est prêt à tout sacrifier.
Il s’ensuit que Shi démissionne suivi par Leiko et imité par Reston et … Tarr ( ?) !
Ne vous inquiétez pas, il y a une scène de combat comme dans tout numéro de MOKF où l’acheteur de passage ne pourra pas avoir l’impression de se faire berner sur la marchandise, en découvrant 22 pages de gars discutant dans un bureau…
Craig a un trait rappelant Rick Buckler (rien de bien excitant) mais avec des visages pas toujours réussi ou ressemblant d’une page à l’autre ; c’est vraiment un épisode de transition ….
Tout est ouvert !