Hahahaha.
Ouais.
Jim
Hahahaha.
Ouais.
Jim
Sortie repoussée à mars 2023.
on avance, on recule, comment veut tu, comment veut tu que…
La fin est classée avec les x non utilisés.
Tu fais vraiment un parallèle entre ces deux compos ?
Vu que le dernier message date du 26 janvier, j’imagine que personne n’a été le voir au cinéma.
J’essaie ptet Jeudi
Depêche toi, je crois qu’il ne reste plus trop de séances en salles.
je l’ai vu. Comme le premier c’est pas un désastre, mais c’est pas top non plus.
Le méchant est pas vraiment méchant, la menace se comprend que moyennement, mais ça se laisse regarder. Les personnages restent bien campés, la plus jeune vole la vedette aux autres à l’exception de Marvel et Marvel Jr, il y a quelque clin d’oeil sympa pour les néophytes (mais très peu) et un caméo qui fait toujours plaisir.
Je te rejoins globalement.
Ca manque de saveurs et de magie quand même.
J’avoue que Zachary Levi me gonfle au fur et à mesure du film. Trop de grimaces, trop de poses, etc… trop d’un côté pour peu de bons moments en retour.
Lors de la bataille finale contre le Dragon, Shazam avait des allures de Black Adam (costume noir, les dents serrées, etc…). Je ne sais pas si c’était fait exprès pour taquiner le Rocher.
C’est pas jojo quand même sans être mauvais… mouais…Que fallait il en espérer?
D’après ce que j’ai compris, les premiers comic-books Shazam publiés par Fawcett dans les années 40 mêlaient comédie et fantasy sur un ton très léger. C’est ce qu’on retrouve dans les deux adaptations cinématographiques et encore plus dans ce deuxième volet. Le problème, c’est que le scénario dose très mal ces éléments et la famille Shazam se réduit à une bande d’ados têtes à claques, leur leader peu inspiré et inspirant en tête. Zachary Levi a beau déborder d’énergie, il est juste fatigant…et pas drôle. Je retiens juste la horde de créatures mythologiques du dynamique final, dont certaines rendent hommage à Ray Harryhausen (ce qui est toujours appréciable)…même si certaines scènes ressemblent un peu trop à un gros placement de produit pour Skittles (et ça, c’est moins bien)…
La marque favorite d’E.T. ?
C’était pas des Skittles…
Sans surprise, le film a davantage suscité notre rage que notre plaisir.
Nom d’un chihuahua, cette suite n’est pas désagréable non plus.
Y a plein de marrade, des moments de super-héroïsme classique mais efficace (le pont), des moments de pure magie (la bibliothèque avec les livres volants), une caractérisation sympa, des surprises prévisibles, des méchantes cools qui perdent de vue à un moment leurs plans d’origine (mais comme elles sont plusieurs, ça permet des retournements d’alliance) et bien sûr un combat final à teintes bleutées assez illisible. Mais même là, le film ne se laisse pas envahir par l’esthétique snyderienne, et si c’est froid (et un peu sombre), ce n’est ni gris ni terne.
Et si j’ai songé aux deux films Fantastic Four de Tim Story pour le côté léger et familial, le film parvient justement à se montrer plus supermanien que le Superman de Snyder. Plus de lumière, plus de sourire, plus d’héroïsme, plus de rapport au monde extérieur, plus de civils en danger : même si le danger n’est pas bien inquiétant, il est là, parce que les passants, eux, sont là.
Alors oui, les créatures mythologiques ne sont pas terribles, toute cette dernière partie est un brin expédiée, la charge des licornes est un brin too much dans le délire familial, mais on rigole bien, les bastons restent sympa.
Seul petit regret pour ma part, c’est que le chaton rouquin n’a pas eu droit à sa ration de pouvoir pour devenir une version super-héroïsée de Tawky Tawny. Mais autrement, je me suis bien poilé (et la première scène post-générique est hilarante).
Jim