SPIDER-MAN : BLEU (Jeph Loeb / Tim Sale)

LE PRINTEMPS DES COMICS : SPIDER-MAN – BLEU (1/10)

Jeph Loeb, Tim Sale I 152 pages, 5,99 €

C’est la Saint-Valentin et Spider-Man est d’humeur maussade (« he’s feeling blue », dit-on en anglais). Même s’il est heureux aux côtés de Mary Jane , le souvenir de la mort de Gwen Stacy continue de le hanter. Il s’enregistre alors, faisant le récit de la rencontre entre Peter Parker et Gwen. Il raconte leur amour naissant, les vilains affrontés durant cette période et le jour de la mort de l’être aimé. Contient les épisodes US Spider-Man: Blue (2002) 1-6 , précédemment publiés dans MARVEL ICONS : DAREDEVIL / SPIDER-MAN / HULK.

SOTIE LE 5 MAI

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Must read pour ma part.

La lecture se fait clairement la gorge nouée, et l’on ressort du recueil avec un coup de blues à l’ame.

Perso, je l’ai dévoré !

Tu parles du Gex, des Causses, ou d’Auvergne ?

D’Auvergne bien sur !

Du Stilton, du Gorgonzola, du Roquefort, du bleu du Vercors…

Miam.

Tori.

Sauf que tu ne dis « bleu de Stilton » (avec ou sans Porto) ou « Bleu de Roquefort ». ça marche moins bien, du coup.

Je n’avais pas compris qu’il fallait que ce soit du « bleu de » : j’ai cité des bleus que j’aime…
Tu préfère que je parle du « bleu de travail » ou du « bleu de Prusse », alors ?

Tori.

C’est moins drôle.

Ouais, je te rejoins. Globalement, je préfère les brebis. Je ne suis pas très fans des bleus de vache.

Allez les Bleus ! On est tous avec vous !

oooops, on ne doit pas parler de la même chose…

(et puis je ne suis pas les matches de foot, d’ailleurs…)

Pourrait-on censuré les fans de foot svp, ils font déjà assez chié comme ça. De tous les sports, c’est les seuls à faire chier le monde.

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Ou les entoiler.

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Ah le mépris envers les footeux…

Il n’est pas le seul, même si j’ai écrit une mauvaise blague…

Envers les joueurs de foot ? Non aucun, une indifférence tout au plus.

Les supporter, par contre, une haine féroce.

Ah d’accord, je savais pour les supporters, mais je pensais aussi pour les joueurs…

C’est le cas pour moi, je préfère supporter les joueuses de foot, elles sont moins médiatisées et gagnent largement moins que ces pourris de joueurs de foot…

Je dirais que c’est pas nécessairement la faute aux joueurs plus qu’au système.

C’est vrai… :wink:

Ah mais j’avais bien compris. Par footeux j’entends les amateurs de foot, pratiquants ou non.
De la gaine, carrément ? Hé bé.

Effectivement, c’est lié au système qui génèrent un fric monstre. Mais je me questionne toujours quand j’entends ou lis ce genre de remarque sur les joueurs de foot pro (que la remarque soit légitime ou non) alors que finalement, certains tennismen, acteurs de cinéma ou musiciens ne récoltent pas le même mépris, loin s’en faut, alors qu’ils gagnent amplement les mêmes sommes.

Mais oui, je supporte pas les mecs qui vont klaxonner ou hurler dans les rues pour leur équipe de foot. Je suis fan de plusieurs sports et je regarde le rugby en suivant le stade français et je vais pas courir dans la rue la nuit en hurlant à tout va. Sans parler que souvent c’est comme une religion et la religion est la pire chose qui soit arriver à l’espèce humaine.

Pour moi le sport aurait du rester semi-amateur et ne jamais passer professionnel.

Quand au musiciens ou aux acteurs les meilleurs nous offrent des choses qui resteront bien plus longtemps dans l’histoire que M’Bapé.

Alors que je le vois comme une fête. Une fête gratuite où tout le monde est invité. Y compris les adversaires. A titre personnel, je trouve ça fou. Le simple fait que ça existe me rend heureux. Que des milliers de personnes se réunissent pour une fête gratuite et ouverte à tous, c’est incroyable. Et pas grand chose à part le foot peut générer ça sur cette planète.
Et puis le foot, c’est le sport populaire par excellence, il ne suffit de rien pour que foot existe (une canette vide, un marron tombé d’un arbre, une boule de papier scotchée dans la cour d’école et c’est parti.

Par contre, oui, que le foot pro soit géré par des mafias, et le pire de ce que peut être le capitalisme, c’est indéniable. Et que dans les rangs des supporters se trouvent de dangereux fanatiques, idem. Mais c’est une dérive et non la nature de ce sport. La distinction a son importance.