SPIDER-MAN : HOMECOMING (Jon Watts)

Retcon !
Ce qui n’était jusqu’alors qu’une théorie de fan a été confirmé par Tom Holland et Kevin Feige : Peter Parker avait déjà fait une apparition dans le MCU…dans Iron Man 2 !

youtube.com/watch?v=RzySJL81CSE

https://www.youtube.com/watch?v=z8Ot5zNhoCw

Rigolo !

Spider-Man, I’m cumming?

1 « J'aime »

Un des aspects que j’aime véritablement dans les comics de super-héros c’est cette longévité permettant (ou étant la conséquence d’) un renouvellement régulier et une approche différente selon les auteurs. J’aime le Spider-Man de Lee et Ditko, j’aime le soap-opera de Romita, les versions plus noire de Gerry Conway (que ce soit dans The Amazing Spider-Man puis Spectacular Spider-Man), les grandes saga de Roger Stern et Romita Jr avec ce Peter entrant dans la vie adulte, j’ai plongé « vraiment » dans les comics avec le tandem Michelinie/Bagley, j’ai adoré le début du cycle de Straczynski et trouvait intéressant l’approche totémique du personnage et j’adore véritablement le cycle de Dan Slott et son actuel Peter Parker en chef d’entreprise.

J’aime tout cela, j’aime ces approches tout en gardant des fondamentaux solides. Après bien sur tout dépend du traitement. Du coup, retrouver cette approche au cinéma et éviter d’enfermer dans une boite ce type de personnage me plait sur le principe. Dans la réalité, cela a donné deux The Amazing Spider-Man globalement raté à l’exception de quelques rares points. Connecté à l’univers cinématographique Marvel, le Spider-Man de Watts m’a, par contre, beaucoup plut. Cela tient d’une part à une utilisation intelligente de l’univers partagé qui, si elle n’empêche pas les cabotinages (peu nombreux heureusement) de Robert Downey Jr, va servir de fil rouge au fil en posant Spider-Man dans ce qu’il a de particulier et de singulier face aux Avengers.

Et voila une des choses que j’aime profondément chez les super-héros et que je retrouvais peu dans les films. Spider-Man est un super-héros du quotidien et qui aide les gens. Les scènes le montrant patrouiller, arrêter des voleurs, aider une vieille dame etc c’est juste parfait. Ça pose totalement le friendly neighborhood Spider-Man (ingénieuse utilisation du générique télé dans la BO d’ailleurs) sans pour autant oublier le coté poissard (la scène du vol de voiture). Ça renvoi au Superman de Donner qui récupère le chat d’une petite fille et ça j’aime. Cela donne donc un fil rouge qui permet au personnage de s’affranchir des grands héros cosmiques tout du long du film et de le faire grandir en tant que personne.

Et cette connexion permet aussi d’offrir une nouvelle version du Vautour (ainsi que du Shocker, du Bricoleur etc, excellente gestion du bestiaire de l’univers du tisseur sans en faire des caisses) que j’ai adoré. Ça apporte une profondeur au personnage sans pour autant excuser celui-ci¹ (ce qui est une des forces des meilleurs méchants de Spider-Man). Keaton est génial notamment dans la scène dans la voiture. Ça appuie bien le truc sans forcer. C’est d’ailleurs quelque chose qu’on retrouve tout du long du film notamment dans le dilemme classique de Parker devant jongler entre sa vie de super-héros et sa vie de lycéen. Cette dernière est très bonne, j’ai adoré les nouvelles versions des personnages et le rapport entre eux et Peter sont dans le ton des premiers épisodes de Lee et Ditko (un personnage qui se met volontairement à part d’un groupe qui ne le rejette pas sur le principe). Tom Holland est parfait (bon je me suis tapé la VF, pas affreuse au demeurant). Il arrive à trouver naturellement le ton juste entre le héros qui veut bien faire, qui veut aussi montrer ce dont il est capable tout en étant pétri de doute et de peur.

Une des scènes que j’ai trouvé les plus remarquables à ce niveau, c’est celle de l’ascenseur. Non seulement j’avais peur pour les amis de Peter mais aussi pour lui-même. Malgré le fait qu’il soit Spider-Man le danger que représentait sa position est bien mise en valeur. Dommage, malheureusement, qu’en terme d’action pure le film ne soit pas sur le même ton que cette scène. A ce niveau, il est clair qu’on atteint pas la cheville du grandiose Spider-Man 2 de Sam Raimi. Des scènes renvoyant à des grands moments du comics (le fameux The Amazing Spider-Man #33) n’arrive pas à reproduire l’ampleur épique et dramatique de la chose par exemple. Bon ca fait quand même son effet (sur moi ça a marché) mais ça reste quand même très plat.

A coté de cela ça gère très bien l’aspect soap comme le faisait Romita, ça pioche dans la version Ultimate de Brian Bendis (période Parker et Morales) et ça exploite encore plus l’immense bestiaire de Marvel. Allez chercher Damage Control est une idée que j’ai adoré notamment parce qu’on dépasse la simple référence pour faire plaisir aux fans (et faire incarner Anne Marie Hoag par Tyne Daly :heart_eyes: ). Bref ça connais et aime son sujet c’est évident et ça fait plaisir. Le film n’est pas un chef d’œuvre du septième art, il n’égale pas ceux de Raimi sur bien des aspects mais il dégage quelque chose de particulier, une sorte de joie communicative qui se ressent chez les acteurs et une alchimie dans le groupe de lycéen qu’on se dit que l’essai est réussi. Le film est surement celui qui exploite aux mieux l’univers partagé afin d’offrir une nouvelle version du personnage qu’on aime tant.

Dwayne McDuffie aurait adoré/6


¹ accessoirement ça permet aussi de sortir de la logique des ennemis « devenu fou » présent dans tous les autres films et ça c’est très bien

3 « J'aime »

Le MCU tient maintenant sa franchise pour faire du teenage movie et c’est plutôt bien fait.

Ce Peter est très attachant et le style fait mouche avec quelques moments de rigolade bien sentis. Le seul problème, c’est que ça reste un film classique de super héros sans vraiment de surprises.
Pour le reste, ce « Spider-man » est bien installé dans l’univers et en prime reste le héros du peuple, c’est donc assez solide pour une 1er film.

J’en sors et j’ai passé un excellent moment. Spider-Man : Homecoming remet du fun, du sense of wonder dans les aventures cinématographiques du monte-en-l’air et ça fait vraiment du bien après des années où le personnage ne faisait que broyer du noir. Comme le souligne Lord plus haut, le Peter du Marvel Cinématique Universe a bien entendu ses moments de doute, mais il veut surtout bien faire, aider les gens, être le héros du peuple…et avant tout, ça l’éclate d’être Spider-Man. Le scénario n’en parle pas comme d’une malédiction (et attention hein, j’adore les deux premiers Spidey de Sam Raimi, mais il était temps de passer à autre chose)…et Tom Holland est vraiment très bon dans ce rôle…

J’aime le fait qu’on ait zappé l’origin story. Ca a été déjà fait plusieurs fois et il n’était pas besoin d’y revenir. La piqûre est évoquée, on ne parle pas d’Oncle Ben mais au détour d’un dialogue, on sait que Tante May en a bavé par le passé. Ca suffit amplement et ça pose clairement et de façon concise leur situation familiale sans en faire trop.
Le versant lycéen de la vie de Peter est vraiment très bien développé. Les réactualisations des personnages bien connus sont plutôt bien pensées (en mélangeant univers classique et univers Ultimate) et les relations sonnent justes. Et pour une fois, on évite le piège des ados joués par des quasi-trentenaires…ce qui permettra aux acteurs que l’on retrouvera de film en film de grandir avec la franchise et de jouer avec l’évolution de leurs personnages…

L’intégration dans le MCU est réussie. Dans un certain sens, Tony Stark n’a pas toujours le beau rôle, mais il ne l’avait pas non plus dans Civil War, ce qui assure la continuité…continuité rappelée de façon savoureuse dans les premières minutes grâce aux vidéos enregistrées par Peter. La continuité et les événements des précédents films ont aussi un rôle important dans la construction des vilains de Homecoming et là, je trouve que Jon Watts et ses scénaristes ont évité le piège des vilains du MCU (je suis très fan de cet univers cinématographique, tout en reconnaissant tout de même qu’il a un petit problème avec ses méchants). Contrairement à d’autres films du genre, Homecoming réussit à avoir plusieurs vilains au générique et à leur donner une justification (ce qui n’était pas le cas d’un Spider-Man 3 avec Venom en « pièce rapportée »)…compte tenu de son ancien travail et de ce qu’il doit ensuite faire pour survivre, le choix du Vautour en chef d’équipe est très judicieux (très bon Michael Keaton, comme souvent)…

Les scènes d’action sont prenantes et très dynamiques (l’une de mes préférées étant également celle de l’ascenseur). Il y en a plein d’autres qui sont pas mal du tout et qui sont pleines de trouvailles (comme Spidey qui doit trouver un moyen de rattraper les Shocker dans une banlieue sans immeuble où lancer sa toile…un passage bourré d’énergie et très amusant) et d’autres qui rendent hommage aux comics de fort jolie façon.

Bref, Spider-Man : Homecoming est pour moi un excellent divertissement. L’humour, l’action, les péripéties…je me suis éclaté. Spider-Man est revenu à la maison…et ça fait vachement plaisir !

2 « J'aime »

Pour ceux que ça peut faire rire, voici l’avis d’un énième grincheux (qui doit préférer les 250 romances qui sortent par an) : Spider-man Homecoming : le reboot de trop ?

Ouais, il y en a beaucoup des comme ça. Pour ma part, je ne cliquerai pas. Déjà rien que le titre « le reboot de trop », j’ai l’impression de l’avoir lu des milliers de fois…et ça ne sera pas le dernier à se plaindre…:wink:

1 « J'aime »

Je l’ai vu aussi, ce matin, et j’ai adoré. C’est pas sans défauts (il y a beaucoup de scènes d’action et de moments qui semblent forts sur le papier, mais chacune, pour sympathiques qu’elles soient, ne sont que des séquences déjà vues : le ferry, l’avion, on connaît. La prod semble en être consciente puisqu’on ne s’y attarde pas), les animations informatiques des personnages vus de loin sont parfois raidasses et saccadées, mais bon, c’est suffisamment secondaire pour qu’on passe l’éponge.
La description du lycée m’a fait craindre le pire, mais en fait, la comédie parvient à éviter pas mal de cliché, l’idée du décathlon d’établissements scolaires étant une belle trouvaille afin de faire interagir les jeunes sur des modes assez nouveaux (le premier film de Raimi enquillait les clichés, avec bonheur certes, de la bagarre près des casiers ou de la scène de cantine : là, on échappe à ça, c’est plus riche).
Le héros qui veut bien faire mais qui continue à se prendre les pieds dans le tapis, c’est bien mené. Le rapport entre les pouvoirs et les responsabilités, sans être jamais expliqué mot à mot, est mis en pratique tout au long du film (en mode « show, don’t tell »). L’écriture en général est très bien troussée. Des ficelles, certes, souvent verbales (les différences de perception entre la guide touristique et Karen, c’est une chouette trouvaille, ça nourrit l’humour, ça entretient le suspense et ça passe de l’information sans perdre de temps), mais efficace.
Le vilain est formidable. Pour le coup, les pisse-vinaigre qui ne se rendent pas compte que, justement, il y a une construction formidable ont des étrons sur les lunettes. Déjà, c’est du vilain tragique à la Marvel, mais avec une conscience politique pointue et morale inflexible : il sait que ce qu’il fait est condamnable, mais il se tient à ses décisions. Et on aurait tendance à partager son avis, presque. Ensuite, ce n’est pas une victime d’expérience qui tourne mal, c’est une victime de la machine sociale à broyer. Et ça, c’est super bien vu. Cela donne une nouvelle signification au nom « Vautour », celui qui se nourrit des miettes, comme il dit. Le tout incarné par Keaton, qui ne cabotine pas du tout, qui est plutôt en retenue, avec un véritable sourire carnassier, ce qui fait de lui l’acteur le plus impressionnant du film. Dans la scène de la voiture, il est proprement flippant. Marvel avait déjà généré un vilain passionnant avec Zemo dans Captain America Civil War, mais là, ils enquissent avec un autre méchant d’envergure. Dont le design, en plus, est assez épatant.
Ce qui nous amène à la dimension politique, présente dès la première séquence, avec cette confrontation violente du dessin d’une enfant et de la destruction de la ville. Destruction, reconstruction, tout un cycle de consommation où les gros exploitent (ou bouffent ou jettent) les petits. Derrière les exaction de Toomes, il y a une réalité sociale que tout le monde souhaiterait oublier. Et que le personnage de Michelle garde en mémoire, le court dialogue sur l’obélisque étant bien frappant. Ce qui me fait dire que le discours de Toomes n’est pas seulement là pour caractériser le personnage. Il manifeste aussi un discours minoritaire, représenté également par Michelle (et d’une certaine manière par Peter, qui n’arrive pas à jouer les méchants face aux criminels parce qu’au fond de lui la frontière entre bien mal est à la fois très claire et fluctuante), et qui est nettement plus fin que les diatribes de Bane dans le troisième Batman de Nolan. Toomes tient les propos de l’homme d’en bas, et ça fait un bien fou dans un film de super-héros.
Rajoutons à ça de francs éclats de rire, des longueurs qui sont fertiles puisqu’elles font sentir le désœuvrement du jeune héros, des biscuits pour fans (le générique d’ouverture, le « un film de Peter Parker »), et ce formidable hommage à l’un des plus légendaires épisodes de Steve Ditko, et on obtient plus de deux heures de film qui passent comme une lettre à la poste.
Ravi.

Jim

3 « J'aime »

Les commentaires sont bien gratinés aussi… C’est que ça me donnerait envie de voir le film, tout ça (d’autant que je n’ai pas vu les cinq précédents) !

Tori.

Oui, t’as raison, j’ai oublié de parler des commentaires. Mais bon, c’est presque une évidence que de parler du gratin des commentaires sur Yahoo…

Spider-Man : Homecoming sort au Japon demain…et voici l’une des affiches officielles illustrée par le mangaka Yusuke Murata (One-Punch Man) :

DGSr4un_UMAAUPso

4ème plus gros succès de l’année (pour le moment) aux Etats-Unis (le film s’approche là-bas des 300 millions de dollars de recettes), Spider-Man : Homecoming n’a pas encore passé la barre des 700 millions de dollars de recettes à l’international. Mais il reste encore les sorties japonaises et chinoises. En Chine, la sortie ne se fera que le 8 septembre, suite à une limitation stricte des films étrangers pendant l’été (pour privilégier les productions chinoises).
Résultats définitifs dans quelques semaines dans la rubrique « Box Office U.S. » du forum…

Tot ou tard, Yusuke Murata fera un arc de SM

Un arc, je ne sais pas… Un one-shot, pour commencer, peut-être.

Tori.

Que dire de plus? t’as tout dit!

Vu Spider-Man : Homecoming.
J’en ressors avec le sentiment d’avoir vu et apprécié une réussite Marvel, via une recette devenue classique, avec comme toujours quelques éléments « différents » qui en font le sel ; j’ai ri, j’ai été emporté, et j’ai été attendri. Je n’en demandais pas plus.

Je ne vais pas revenir sur l’historique cinématographique du personnage, qui a bénéficié de trois films dans les années 1977-79 puis de trois versions en quinze ans depuis 2002, via Tobey Maguire, Andrew Garfield et maintenant Tom Holland ; ce dernier, le plus jeune des acteurs l’ayant incarnés, a été recruté essentiellement par Marvel Studios, qui a profité des déboires de Sony pour négocier un deal et ainsi récupéré le héros dans ses films.
Bien leur a pris - le jeune Peter fut l’une des surprises les plus rafraîchissantes de Captain America :
Civil War
, et son film solo continue sur la même veine, en présentant son quotidien et sa tentative pour s’intégrer au monde des Avengers.

En soi, beaucoup a déjà été dit sur le film, et je ne peux que confirmer : oui, l’ambiance de jeunesse et d’adolescence de 2017 est très bien retranscrite ; oui, ce Peter jeune est parfait et fonctionne très bien, bien plus que celui de Garfield ; oui, s’éviter l’origine et la disparition de l’Oncle Ben est salvateur ; oui, la Tante May jeune ne choque pas en soi ; oui, l’intégration au Marvel Cinematic Universe fonctionne bien (et les clins d’oeil au Bricoleur et au Scorpion font plaisir) ; oui, la création du casting secondaire est solide (sans le dire, ils sont tous très intelligents et c’est une bonne chose que Flash ne soit plus uniquement un bourrin sportif, c’est le même principe mais rafraîchissant) ; oui, le Vilain est bon et fonctionne bien (bonne intégration au MCU, bonne logique générale, belle surprise sur ses liens avec Peter, bonne idée que son destin final) ; oui, l’humour est drôle ; et oui, le tout a une saveur agréable, celle de faire un peu de neuf sur du si vieux et si déjà vu.

Une réussite, donc.
Qui souffre néanmoins de quelques défauts.

Stark a tendance à remplacer l’Oncle Ben, et ça en est un peu gênant (notamment dans une scène spécifique, où le mentor naturel aurait eu plus de place) ; Tante May a trop peu de temps d’écran et la crainte de la révélation d’identité aurait dû être mieux construite ; l’amourette Peter/Liz est un peu faible ; si Karen fait rire, il y a trop de technologie dans Spider-Man et ça me gêne ; clairement, pas assez de voltige ; clairement, bis, la scène du ferry et le sacrifice ne fonctionnent pas (le souci qu’un Spider-Man 2 ait fait tellement mieux et tellement marquant) ; et Michelle et son surnom m’ont un peu gavé, sur le principe du clin d’oeil forcé.
Mais ce sont, en soi, des détails, qui ne gênent pas l’ensemble.

L’ensemble, c’est un film fun, rigolo, très marqué 2017 et qui réintroduit très bien ce personnage du peuple, du cru, de la jeunesse.
J’ai aimé, j’ai ri, j’ai été emporté, et j’aime ce Peter Parker - auquel je crois. Je crois en ce Parker rongé par la dualité de ses identités, par ces responsabilités qui pèsent sur lui et qui lui font tant perdre ; belle force d’avoir réussi cela, sans jamais énoncer la fameuse maxime.

Une réussite, donc.

1 « J'aime »

rooooh, il est là le meilleur Spider-Man. C’est difficile de comparer avec le premier de Maguire qui est d’une époque pré-ironmanienne (et donc, j’étais comme un gosse dans la salle de ciné … et je me souviens de la salle où j’étais. Et à la maison, on est unanime : ceux de Garfield sont chiants !), mais celui-ci crève l’écran. Très, très efficace, très généreux en spider-maneries, du biscuit pour fan en veux-tu en voilà amené sans que avoir l’impression que le réalisateur de fait un clin d’oeil, un vrai vilain avec une vraie personnalité (le coup de l’aspect social, c’est excellent), avec de vraies bastons (dans ce Toomes, y a comme un mix entre le Bouffon et Octopus je trouve), y a de vraies blagues, y a la chance des Parker … bref un film qui vit avec son temps sans renier l’héritage !

Je viens de voir passer un article justement sur la comparaison avec le Spiderman de Raimi et franchement je suis assez d’accord avec même si j’adore Homecoming.

http://www.dorkly.com/post/87180/why-sam-raimis-spider-man-will-always-be-better-than-mcu-spider-man