Il est intéressant de noter que les toiles organiques, un apport souvent attribué à James Cameron, sont en réalité une constante des différents scripts (celui de Leslie Stevens en particulier) depuis la version de la Cannon. Les producteurs Golan & Globus, pas du tout familiers de l’univers du tisseur, encouragent alors cette idée d’une transformation monstrueuse, jusqu’au stade du velu « Man-Spider » (un moyen de lorgner sur La Mouche version Cronenberg ?). Une approche résolument horrifique qui explique le choix initial du réalisateur (Tobe « Massacre à la Tronçonneuse » Hooper).