SUBSTACK

Je suis pas sur que ça fonctionne complètement comme ça. Je pense que tu dois préparer un projet, mais pas sur que tu sois obligé de bosser 4 mois avant avec 4 numéro prêt dès le début. Je pense que tu peux prévoir ton script, ta recherche de perso et quelques planches en cours (comme partout) et ça suffit. tu travaille le mois avant la sortie du premier et tu enchaines ce qui te fais que 4 mois avant d’être payé.

Ca change pas grand chose… t attend 4 mois et là 0…
Si je devais attendre 4 mois avant d etre payé et qu on me propose d etre payé de suite pour le meme boulot… je sais ec que je choisis.

Pour les droits d edition… je pense que c est pas toujours simple d en sortir.
Par exemple bizarrement les seules séries vertigo a etre éditée ailleurs sont celles qui ne sont plus éditées par DC… ca ressemble au deal de watchmen quoi… de l exterieur.
Je pense qu Ennis qui fait sa vie ailleurs que chez DC aurait pu avoir envie de publier Preacher chez son nouvel editeur par exemple. Pareil pour Aaron ou d autres…

Pour image j ai moins de recul Bendis semble avoir pu récuperer Powers « facilemet » mais il était pas le Bendis d aujourd hui… depuis… je vois mal quelle série sont passé d image à un autre editeur.

Je ne sais pas combien de temps se passe entre le moment où les planches sont rendues et la publication du numéro concerné, mais il faut tenir compte de ce délai, qui doit être suffisamment grand pour que l’éditeur puisse faire corriger un truc qui ne lui conviendrait pas, ou ait le temps de trouver une solution de rechange au cas où un imprévu se présenterait.

Tori.

Oui enfin t’es payé un montant au départ et rien après pendant un an. T’as intérêt à bien gérer ton pognon.

Pour ça il faut un éditeur, c’est optionnel chez Image (dans le sens pas obligatoire)

Tout les titres Wildstorm, les Liefield. les titres Millar.

Je parlais de l’éditeur au sens de « la maison d’édition »… Il y a bien quelqu’un qui valide entre le rendu des planches et la publication (et il y a les délais dus aux échanges entre la maison d’édition et l’imprimeur, aussi (sans parler des délais entre l’impression et la mise en vente, et les délais d’acheminement jusqu’aux points de vente (ces derniers, en ce moment, on les subit bien !)))…

Tori.

Millar était chez icons
Tous les titres icons partaient avec le contrat d exclu marvel…
Pas pareil chez dc

Et pour la paye… je sais pas quoi dire

Non pourquoi ? Image c’est ta série tu fais tout, Image est une plateforme pour la pub et d’aide à la vente via l’impression et tout. Mais en aucun cas une maison d’édition. Il y a un éditeur qui peut si le(s) auteur(s) veulent, mais sinon non.

Si
La tu parles pour les associés ou pour brubaker qui a un contrat à part mais lesautres c est contrôlé
C est une coopérative pour les associés mais une maison d édition pour les autres

Pourtant ce n’est pas ce qu’ils disent.

Things often change from proposal to the printed page. If the intended title of your book is awkward or unwieldy, we may suggest changing it. If your logo is unreadable we may suggest changing it. There have been cases where we’ve designed logos, helped redesign characters, and done cover sketches. However, no changes will be made without creator approval.

While Image as a company spearheads the promotion and distribution of the titles it publishes, it does so with non-creative interference to protect the company and maintain responsibility for our public image.

J’ai pour ma part toujours lu qu’il n’y avait pas d’éditeur imposé, des aides oui, mais pas d’éditeurs, c’est ce qui fait l’attrait, par contre, il y a une sélection à l’entrée maousse costaud.

Non pas tout. Jupiter Legacy, huck, MPH, Chrononauts, Le second volume de Kick ass… était chez Image.

Ben toujours… je comprend pas ta phrase
Netflix/millar sont toujours chez image
Il a un peu été chez icons, un peu idw ou boom je sais plus… mais même avec netflux il a surtout été chez image

Il est pas chez Netflix tout court et plus chez Image ? Je croyais qu’il publiait via Netflix sans passer par Image.

Netflix n’a pas de service d’édition pour les comics, les trucs de Millar passent par Image

Au temps pour moi alors.

Ce n’est absolument pas comme ça que ça marche : Substack paie un montant mensuel dès le premier mois, et c’est une paie qui reste mensuelle. Et s’ils prennent la totalité des abonnements en retour sur la 1ere année, la commission baissera ensuite, donc les revenus sont encore plus importants. D’autant plus qu’une fois que tes numéros sont finis en numérique, tu passes à l’étape du print et là tu pourras commencer à vendre toujours plus. C’est pas un système d’avance comme pour le milieu français. C’est littéralement un vrai salaire, c’est pour ça que les créatifs sont une majorité à accepter l’offre.

Je simplifiais avant sur les droits de publication, ce que je voulais dire c’est qu’ils ont une liberté complète vis à vis de Substack. Si Tynion veut publier en version physique chez Image, puis un autre chez Boom!, et ensuite chez Vault, il pourra le faire sans aucun soucis.

Exactement, Substack c’est un Patreon like en fait.

Ah ? Pourtant avec le gros noms et le gros chèque signé c’était pas ce qi était annoncé.

Ou pas.

Si c’était le cas il y aurait plus personne nul part, ne nous emballons pas.

Alors : pardon, c’est en effet pas mensuel. Mais c’est a priori 600 000 $ pour un an. Les auteurs gèrent comme ils veulent, mais ça reste une somme si élevée que ça équivaut effectivement à une paie régulière sur cette durée.

Je vois pas pourquoi tu réponds « ou pas » de façon catégorique. Les auteurs ont tous les droits de publication, et la lecture numérique représente toujours que 10% du marché aux US. Tous les auteurs ont expliqué que leurs comics arriveraient en physique après, donc y a pas de « ou pas » qui tienne, sauf si tu veux absolument juste faire de la contradiction.

Et troisième point : je suis pas sûr que tu as compris le terme « d’offre ». C’est Substack qui va vers les auteurs, et la majorité des auteurs contactés ont accepté (Brubaker a dit qu’il avait eu une offre mais que ça l’intéressait pas, Bendis aussi). Mais Substack ne va que sur les gros noms qui ont une fanbase assez large pour que le tout petit pourcentage des gens qui accepteront de s’abonner en payant suffise à compenser leur investissement.

Il est sur panel syndicate avec Friday sur le type prépublication numérique puis TP chez image.
La différence est que tu paies ce que tu veux… pour le numero.

Pour Kab, la seule raison de ne pas passer au print est de ne pas trouver d editeur…