Inspiré par la mini-série de Tom King et Bilquis Evely, le long métrage Supergirl : Woman of Tomorrow est actuellement en préparation, sous la direction de Craig Gillespie (Cruella).
Milly Alcock (House of the Dragon) sera Kara Zor-El.
Eve Ridley (Le Problème à Trois Corps) sera Ruthye Mary Knoll.
Et Matthias Schoenaerts (Bullhead, The Old Guard…) sera l’antagoniste, qui devrait donc être Krem of The Yellow Hills (même si cela n’a pas encore été officiellement confirmé) :
Sortie prévue en 2026.
Ca va être cool !
Le casting s’annonce prometteur pour le moment !
Et le matériau de base est bon ?
L’histoire est sympa même si la fin est d’une connerie sans nom. Après, je doute que cette histoire soit transposée stricto sensu, elle est trop auto contenu pour faire partie d’un univers filmique partagée en cours de construction. Il faudra donc que l’équipe de scénaristes l’adapte au mieux.
Ah non, je n’ai trouvé pas l’histoire intéressante et je n’y ai pas vu de moralité dans l’ensemble… et puis j’ai du mal à croire que supergirl préserve sa force sans ses pouvoirs sous le soleil exactement d’un autre système solaire…
Jason Momoa sera Lobo dans le nouvel univers cinématographique DC. Le personnage fera sa première apparition dans Supergirl : Woman of Tomorrow.
Comme ça, s’il arrive bourré sur le plateau, ça sera in character.
Jim
C’était dans l’idée de base de King que DC a refusé. Un petit Team-Up Buddy Movie avec Kara <3
Je kiffe.
Vivement que l’on connaisse l’entièreté de leurs dernières paroles à leur fille.
Veille sur ton cousin envoyé sur Terre.
Et bourre toi la gueule pour supporter ton fardeau.
( et oublie pas de t’occuper du chien, il a un pedigree merde ! )
Si c’est pour laisser mourrir le chien et se bourrer la gueule sous un soleil rouge… je veux bien voir ça ! 
En voyant ce mème passer, le premier réflexe de Milly Alcock a été de le mettre en story sur insta. Elle est dans le rôle.
Si on suit le dernier film Superman, ce serait plutôt :
« Couches avec ton cousin, ma fille.
Pour faire renaitre notre race au sang pur et mener la vie tranquille des tyrans sur ce clapier misérable qu’on appelle la planète Terra.
Et apprends à ton super-limier à se soulager sur les masses frêles et pathétiques que sont les Terraniens, avant de les déchiqueter d’un coup d’hyper-mâchoire. »
N’empêche, quand j’y pense, qu’elle idée mal exécutée. James Gunn aurait pu obtenir la même méfiance en faisant preuve d’un peu plus d’ambivalence dans le discours. Mais bon, la finesse, toussa, c’est pas son truc.
Ça crée plein de problèmes :
La proposition d’en faire un salopard marche au sein d’un film solo, pas d’un univers partagé qui ne naît pas avec Supes mais semble déja établi cosmiquement : sur Terre on est peut-être limité au système solaire mais le reste de l’univers se balade facilement un peu partout et connaît les grosses pointures.
Cela s’inscrit dans la mode " brûlons les figures paternelles inspirantes" bien implantée depuis un moment ( Thomas Wayne déguste dans les films et les comics , Charles Xavier est au-delà de toute rédemption , etc… ).
Ou alors Jor-El est pour une fois le méchant frère, rôle souvent joué par Zor-El.
Ce qui est profondément débile quand on refond le personnage de Superman en 2025 pour les années à venir.
C’est lui refuser d’être l’enfant de deux nations. C’est rappeler qu’être immigré, c’est très bien, mais qu’il faut choisir d’être le bon gros américain moyen pour y survivre. Que partager des valeurs et des convictions avec une autre culture est nocif pour la société dans laquelle on evolue.
Je ne saurais que trop dire que le film Superman est très sympa mais c’est très loin d’être une bonne compréhension du personnage (malgré la publicité qui a été fait dans ce sens avant la sortie du film). Ce n’est pas moins gras et crasse que ce que faisait Snyder avant, d’une certaine manière.
