TESTS COLLECTIONS HACHETTE

Y a t’il un traducteur dans la salle ?

Si le gars a commencé en 2011, fatalement, tout lui semblait accessible.

Jim

Sale jeune !

On semble etre revenu à un arrow

Oui et non. C’est oui calqué sur la terre classique mais il y a des variations … Après pas besoin de connaître Marvel ou d’avoir lu ou pas lu des comics Marvel avant pour y rentrer. Après oui ça reste un univers alternatif à Marvel. Après je comprends que certains n’ont pas accrocher .

Oui mais alors depuis… j ai jamais trouve dc plus complique… dans ce qui est canon ou pas et quel est la version que je lis du perso.
Je trouve rebirth plus interessant mais ca a reintroduit un peu la continuite a la carte…
Et donc tu sais jamais toi ce qui compte ou.pas… ce qui fait qu en temps qu univers…

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Pas faux

Ben des que tu varies beaucoup c est interessant surtout quand tu dis quelque chose comme les ultimates de millar

Spiderman c est comment raconter une histoire de 17 pages de ditko en 144 avec un jeux des 7 erreurs (gwen sera punk et pas la petite amie)
Bon ca m a pas mal endormi

Xmen j ai pas compris l interet de la serie… c etait xmen… moins bien meme que dans les annees 90

FF j ai pas compris que meme avec ellis on nous donne pas de la decouverte…
La j ai pas compris que ca fonctionne pas

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J’ai la réponse pour toi :

Voilà. Tu n’as pas besoin d’aller plus loin, voyons. Car :

Fausse excuse venant de toi.

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En plus je trouve que chez marvel pas mal de persos ont un run ou un arc(iron man) moderne qui ont un consensus assez large pour etre des points d entree sur les personnages.
A part les persos horrifiques… ou magiques…

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En fait, je crois que je m’en fous complètement.
Je prends un récit qui m’intéresse, et si c’est bien écrit, j’ai pas de souci.
Mon exigence se limite à ça : trouver de bonnes séries.

Jim

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Ca dépend. J’en ai connu qui ne voulait pas lire les aventures de Miles parce qu’ils n’avaient pas lu les aventures de Spider-Man/Peter Parker avant.

La « complication » on la trouve toujours quelques parts tant qu’on accepte pas qu’il y aura toujours des zones d’ombres dans ses lectures (et perso j’appelles cela plutôt des régions à découvrir)

Parce que comme le dis bien Fred :

(je rajouterais et DC aussi). Il y a un nombre incroyable de porte d’entrée qui me font dire que la complication de l’univers Marvel (ou DC) est, pour une part, une complication qu’on s’inflige sois-même

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Oui, je crois que j’ai abandonné d’essayer de comprendre une quelconque chronologie. Je fais comme à l’époque où j’avais des Aredit et Artima.

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C’est dire l’échec des éditeurs : s’ils ont perdu et découragé ceux qui les suivaient depuis tant de décennies…

Jim

Exactement

Et encore j’avoue que je me ficherais du traitement de la continuité si les histoires étaient intéressante mais là…

Et bizarrement, assez souvent, les histoires intéressantes n’hésitent pas à utiliser la continuité. Comme quoi…

Jim

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Oui il y a un lourd poids de la continuité, et voilà pourquoi l’univers ultimate avait été lancé, repartir de zéro dans un nouvel univers. Je ne dis pas que tout est parfait ou bon dans ultimate mais j’ai adoré le concept et le fait de découvrir un nouvel univers. Et puis à l’époque je trouvais cet univers fun et rafraîchissant. Je préfère lire des histoires se passant avec un début, un milieu et une fin avec le recul. Ou lire un tout nouvel univers si les histoires sont bonnes. Après le concept ultimate était novateur à l’époque. Après j’avoue, il y a le côté nostalgique et le fait de pouvoir acquérir en totalité cet univers Marvel (parallèle) dans une belle édition, sans passer par la case omnibus (ruineux ou trop coûteux), avec le plaisir de redécouvrir l’univers ultimate et ce tout les 15 jours. La continuité Marvel actuel est … ouais c’est pas "oufissime " … A part chez les X-Men actuellement où ça devient un univers à part et où j’apprécie l’ère Krakoa … Bref pour en revenir à la collection Marvel ultimate, oui , avoir dans ma collection l’univers ultimate en intégralité, je suis preneur.

ça a très majoritairement été à part, les X-Men.
Tout comme Spidey.
Y a bien que les Vengeurs qui peuvent faire référence à d’autres séries, mais rien de bien compliqué pour une intrigue.

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Oui, c’était le fantasme de l’époque, entretenu par les différentes précédentes tentatives qu’ont été Age of Apocalypse et l’événement Spider-Man où les titres redémarraient aussi et dont j’ai oublié le titre : deux acrobaties éditoriales qui avaient été de francs succès.
Ça avait aussi l’avantage de servir de gros arguments marketing.

Mais derrière la manœuvre, il y avait la volonté de créer un produit destiné à la grande distribution, aux kiosques et aux chaînes de magasins spécialisés, genre Toys ‹ R › Us.
L’idée était de séduire un « autre » lectorat, de reconquérir les kiosques, de multiplier les ventes et de renouveler le public. D’aller là où les comics n’allaient plus, vers le grand public (et pas simplement le public déjà captif des comic shops).
Sauf que si la manœuvre a permis de placer la collection Ultimate dans les premières places, l’effet n’était pas énorme : en gros, là où un X-Men vendait 90 000, un Ultimate X-Men vendait 110 000 (chiffres donnés à la louche et de mémoire). C’est bien, hein, mais tous ces efforts pour obtenir quinze vingt pour cents de vente en plus, c’est dommage. Beaucoup d’énergie pour des résultats médiocres. Qui plus est, si l’on estime que le public de comic shop s’est montré présent, on peut donc en conclure que les ventes excédentaires se sont faites dans ce « nouveau » marché dont la conquête était promise. Et que les résultats ont dû s’avérer décevants, à la fois pour Marvel et pour les partenaires (à qui l’éditeur a peut-être consenti des conditions privilégiées, en plus, donc en réduisant sa propre marge).
Commercialement, ça a semblé être un échec. Pas violent, pas catastrophique, mais en tout cas des résultats bien en dessous des attentes.

En revanche, en matière de communication, ça a été une belle réussite, un atout de maître au moment où Marvel sortait d’une très mauvaise passe. L’esthétique Ultimate s’est imposée, la critique s’est fortement intéressée à ces relectures de classiques, l’écurie d’auteurs réunie a fait l’objet d’une attention renouvelée, et le ton même de la collection a infusé dans le reste du catalogue (Civil War en est l’exemple le plus parlant). Tout bénef pour Marvel, d’un strict point de vue de la comm.

Jim

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