Durant les années 1950, l’Amérique en pleine Guerre Froide plonge dans la paranoïa et met au ban de la société les premiers super-héros des années quarante.
Mais des cendres de cette époque révolue vont éclore de nouveaux justiciers parmi lesquels J’onn J’onzz, Barry Allen ou encore Hal Jordan. Et cette génération de héros issue de la course à l’espace va devoir enquêter sur un mystère des plus anciens menaçant de conquérir la Terre.
C’est trop lourd, la marge interne est quasi inexistante, bref ces intégrales sont idéales pour meubler sa bibliothèque, beaucoup moins pour la lecture.
Et je parle même pas du coût, 35 euros. À ce prix-là faut être sûr de son coup.
J’ai relu ce week-end La Maison des secrets, dans les éditions Le Téméraire™, et je me faisais la réflexion que c’était le format idéal.
Ou les SEMIC Books, avec leur couverture souple et une pagination un peu supérieure.
Tu trouvais pas que ça s’achevait un peu abruptement ?
Blague à part, j’ai jamais lu ça, moi non plus. Si je me souviens bien, Alan Moore en personne ne tarissait pas d’éloges sur ce titre au moment de sa parution initiale. Bon, je pense qu’il a un peu changé son appréciation sur feu Darwyn Cooke quand celui-ci a bossé sur une des minis liées à « Before Watchmen »…
si ça se trouve, sa mort brutale, c’est la malédiction de Glycon.
L’incapacité d’Azzarello de finir correctement un scénar, pareil.
Doomsday Clock qui n’en finit plus, idem.
Zack Snyder, la même.
Apparemment, si j’ai bien compris, ils ont eu des échanges cordiaux, Moore et Lindelof.
Lindelof lui a écrit un courrier, pas pour lui demander la permission de bosser sur cette suite de « Watchmen », mais pour lui expliquer les raisons qui l’ont poussé à accepter après deux refus initiaux. Moore a pris note, et lui a demandé de s’assurer auprès de la production que son nom serait bien retiré du générique…