THE NEW GOLDEN AGE (Geoff Johns / Lieber, Olortegui, Ordway)

DC annonce un « nouvel âge d’or » avec le retour de la JSA dans trois projets scénarisés par Geoff Johns. Et tout commencera le 8 novembre dans un one-shot intitulé The New Golden Age illustré par Steve Lieber, Diego Olortegui et Jerry Ordway.

DC’s future…and its past…will never be the same again. But how are Mime and Marionette connected to this? Why are Rip Hunter and the Time Masters the most unlikable heroes in the DC Universe? And who or what is…Nostalgia? Don’t miss the start of the strangest mystery to have ever plagued the DC Universe.

THE NEW GOLDEN AGE #1
Written by GEOFF JOHNS
Art by STEVE LIEBER, JERRY ORDWAY, and DIEGO OLORTEGUI
Cover by MIKEL JANÍN
Variant covers by GARY FRANK, TODD NAUCK, MICHAEL ALLRED, and DAVID TALASKI
1:25 variant cover by DAN HIPP
1:50 foil variant cover by MICHAEL ALLRED
1:100 foil variant cover by DAVID TALASKI
$4.99 US | 48 pages | One-shot | Variant $5.99 US (card stock)
ON SALE 11/8/22

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J’aime bien Lieber.

Il n’a pas peur (ou a envie ?) de se frotter aux icônes, Johns. Après Watchmen, Golden Age.

Là, il est dans sa zone de confort.

Je vois la Wildcat femme. Je n’en ai pas souvenir pour tout dire. Wildcat avait un fils félin mais là… je sèche.

Ni passer après des runs populaires (JSA après les premiers numéros de Robinson, Flash après Waid, Avengers après Busiek, etc).

C’est vrai mais, vu que tout ça est au début de sa carrière, je me demande si c’était volontaire.

Mime et Marionette …
Bref, c’est dans la lignée (au sens narratif au moins) de ce que propose Johns en ce moment, et j’en suis vraiment de moins en moins intéressé.

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Dans mes bras !

Hipp

C’est canon!

: Sourire enjoué :

From the Justice Society of America to the Legion of Super-Heroes, The New Golden Age will unlock DC’s epic and secret-ridden history of heroism, launching a new group of titles set firmly in the DC Universe. From the 1940s to the 3040s, heroes take on the great evils of their time. But in the aftermath of Flashpoint Beyond, those heroes and villains will have their lives turned upside down. DC’s future…and its past…will never be the same again. But how are Mime and Marionette connected to this? Why are Rip Hunter and the Time Masters the most unlikable heroes in the DC Universe? And who or what is…Nostalgia? Don’t miss the start of the strangest mystery to have ever plagued the DC Universe.

Written by: Geoff Johns
Art by: Diego Olortegui, JP Mayer, Jerry Ordway, Steve Lieber, Todd Nauck, Nick Fimardi, Matt Herms, John Kalisz
Covers by: Mikel Janin, Gary Frank, Todd Nauck, Michael Allred, David Talaski, Dan Hipp

U.S. Price:
4.99
On Sale Date:
Nov 8 2022
Page Count:
48

C’est un peu le bordel, quand même.
Geoff Johns revient « clairement » chez DC avec ce one-shot qui va lancer sa série JSA et le titre Stargirl… et si c’est agréable à lire, dense, rempli d’éléments, c’est quand même maladroit dans l’approche un rien bordélique.
Geoff Johns s’amuse à avoir une intrigue sur plusieurs époques, ce qui a du sens avec un ennemi roux qui semble être partout ; Per Degaton, oui, même s’il n’est pas nommé dans le comic. On le voit ainsi s’en prendre à une JSA du 31e siècle, mais aussi faire peur à une jeune Helena Wayne, qu’on découvre fille de Bruce et Selina sans qu’on sache clairement quand et où (ce Batman a un costume daté mais sa Batcave a les costumes actuels de la Batfamily en vitrine ; comment ménager la chèvre et le choux, grossièrement). Tous les Drs Fate sont troublés par des événements, des meurtres, et Helena décide de s’armer quand son père meurt un moment alors que les Time Masters « courent » après les treize surhumains disparus durant le Golden Age, dont on a les fiches d’identité à la fin.
Bon, c’est bien… mais c’est bordélique. Geoff Johns se fait plaisir en replaçant la JSA au coeur de DC, en plaçant des versions au fil des époques ; c’est cool. Mais sa narration m’a perdu, en multipliant les allers-retours temporels et en n’étant pas clair sur des éléments comme la place et la localisation d’Helena. Attention, tout est sympathique et bien fait, et je suis content de voir ça… mais c’est quand même touffus et bordélique.
Impression renforcée par l’armée espagnole de dessinateurs de ce one-shot, que je ne vais même pas citer vu leur nombre. Il y en a trop, ça fonctionne car chacun a son segment, mais ça créé un flou général qui joue contre l’ensemble via ce scénario bordélique.

Un lancement qui intrigue, mais… finalement, je crois que j’ai préféré les fiches de personnages à la fin plutôt que l’épisode lui-même. Et c’est un peu gênant.

Ah mince. Moi qui était intéresser par ce projet.

Oh, si ça se trouve, tu vas aimer!

C’est old school ?

Pour lecteur de superman only

Qui ça ?

Pour ma part, c’est tout l’inverse. Quel lancement !

Certes, on a eu droit à un EXCELLENT Falshpoint Beyond qui tease le retour de la JSA et de Geoff Johns, exclu du DCUE (fallait bien lui trouver une petite place!) mais surtout le monsieur fait ce qu’il sait bien faire. Trifouiller, lustrer et remettre sur le devant des anciens vrais/faux personnages pour créer une sorte de continuité de l’héroïsme dans le DC time (temps pour Soyouz).

Alors oui, c’est très foutraque. Je préfère débridé même si on est loin de la netteté du récit précédent encadré par Johns et écrit par Jeremy « Family Man » Adams notamment, la nouvelle coqueluche de notre surfeur. Johns joue sur les différentes temporalités dans son omnisverse (ben oui, parce que Geoff Johns, il n’aime pas les concepts autres que les siens) jusqu’à nous présenter une JSA du futur lointain et en revenant lors des années McCarthy indéboulonnables à la JSA.

Donc, en effet, l’Etranger (ou Per Degaton sauf surprise) vogue de temps en temps avec une envie furieuse de flinguer la lignée de notre Société de Justice. De Terre 2 à Watchmen (c’est là que je ne comprends pas vraiment l’intérêt), il étale plus qu’il ne présente les intrigues à venir dans les différents books (et peut-être futur event, qui sait?).

Revoir la JSA est un vrai bonheur. La relire sous la plume de Johns également. Mais intégrer Doomsday Clock/Watchmen à l’équation me semble redondant et au delà du simple geste maladroit. C’est vraiment la seule limite que j’émettrais car pour le reste, je demande VRAIMENT à lire.

Pour une fois qu’un projet DC me semble digne d’intérêt… :wink:

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Ouais, bof.
Donc, c’est une sorte de tremplin pour ses autres projets (la série Stargirl qui devrait résoudre le mystère de l’absence des side-kicks, sa nouvelle version de la Société…). Ce qui veut dire que, en gros : il ne se passe rien.
Le scénario empile des séquences situées à différentes époques (notamment le 30e siècle), revisite certains moments clés des aventures de la Société de Justice par Paul Levitz et consorts, mélange différents personnages (quel plaisir de revoir Detective Chimp) et différentes continuités (est-ce bien utile ?), annonce une menace qui sera manifestera en premier sur Doctor Fate, montre un personnage rouquin que je pense être Per Degaton (mais on peut encore avoir une surprise), et brasse beaucoup de vent. Ça promet beaucoup. Va falloir tenir.
Après, graphiquement, c’est pas mal. Un peu lisse, voir lissé (par la couleur et l’encrage), mais joli à regarder. Johns parvient à ne pas se montrer trop violent (il ne peut pas s’empêcher d’écrire une scène de cet acabit, cependant), mais ça reste du mystère à trois sous, un essai qui demande transformation.
Le lettreur, Rob Leigh, livre en revanche un très chouette travail. Et notamment, il utilise des formes de bulles et une police un peu rétro pour les séquences avec la Société. Du meilleur effet.

Jim

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