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Ebon Moss-Bachrach est David Linus Lieberman, alias Microchip :
Je l’ai dévoré à en trois soirs cette saison ! Une réussite ! Après trois ratés ils se sont bien repris chez Marvel/Netflix. Jon Bernthal excellent en Punisher ce mec est née pour ce rôle ! J’ai beaucoup aimé l’histoire qui pose intelligemment le problème des armes aux US, mais aussi du syndrome de stress post traumatique au retour de la guerre, ainsi que le traitement du Punisher très « humain ». La série prend son temps mais à aucun moment je me suis ennuyé. Bref je suis pas doué pour faire les critiques mais c’était super !
J’ai pas fini, mais j’en suis à l’inverse complet. J’en suis à 3 épisodes et je me fais chier comme un rat mort. Il est ou le Punisher ? Ok l’ambiance visuel est là, le Punisher parle d’une grosse voix, mais sinon à part ça. Je m’emmerde comme un rat mort, c’est vraiment la marque de fabrique des séries Netflix. On dirait du Bendis en série. 3 épisodes pour là ou j’en suis alors que sans se presser plus ça aurait pu se faire en moins d’épisodes.
Ah et en plus comme toujours dès qu’il y a de l’action faut avoir la capacité vision nocturne sinon tu vois rien du tout (moi je l’ai pas donc je vois rien).
J’en suis à la moitié, j’avance pas vite, je suis crevé et à la vitesse où avance l’intrigue, ça m’endort, donc un épisode me suffit. Marrant cette facilité qu’a Netflix de faire des épisodes avec du rien pendant 1h. Du pure Bendis en fait. L’intrigue n’avance pas, mais il s’est passé une heure.
J’arrive au bout gentiment, mais il y a des épisodes où il ne se passe vraiment rien c’est affolant. Une véritable meringue!
Et j’en suis à me demander si le héros de la série c’est le Punisher ou Madani.
Série renouvelée pour une seconde saison.
Mérité.
La plus jolie galerie de portraits des adaptations Marvel par Netflix.
Jon Bernthal est tout simplement épatant dans le rôle.
Je ne développe pas, mais pas d’accord avec les critiques sur le bla-bla bendisien ou les longueurs.
Les séries d’action qui prennent le temps de développer leurs personnages , elles sont rares et appréciables.
À ce tarif, pourquoi ne pas critiquer True Detective et ses interminables séquences de bla bla en voiture. Pourtant, ça le faisait. Pareil ici. Le bla bla construit les personnages, fait que leurs actes prennent du sens. Passer du Punisher brut à l’homme un tant soit peu raisonné de la fin de saison, capable de s’attacher à nouveau aux autres, c’est un voyage.
Voyage réussi pour moi. J’en redemande.
Parce qu’on parle du Punisher. Pas d’une autre série qui n’a pas pour volonté de faire une série d’action. Si je veux regarder une série blabla sympa je regarde unabomber (que je kiffe à mort) ou encore la nouvelle série Fincher sur les profilers.
Là on parle du Punisher je veux une série ou ca défouraille, ou le mec il est hardcore du nord.
Ben, écoute, chacun son truc.
Les scènes de violence sont assez nombreuses et brutales pour me contenter. Une double ou une triple dose de ça, ça réduirait l’impact du caractère extrême de ces scènes. C’est leur rareté - alors qu’il aurait été facile d’en coller partout, avec l’argument « ben, c’est le Punisher » - qui leur donne toute leur force.
Une série où ça tape constamment pour bien abrutir le spectateur, ça ne m’intéresse pas.
J’ajoute que plus hardcore que ça, on n’avait jamais vu pour le Punisher.
Mais là, le show ne montre pas que la machine à tuer, mais aussi l’homme derrière. Et cette approche, elle a l’énorme mérite de donner à Castle une profondeur qu’aucun scénariste de comics n’avait songé à développer. Ça partait plutôt dans la surenchère à la con, du genre « comment va-t-on pouvoir lui faire buter plus de monde cette fois ? ».
Bah je sais pas. J’en parle sans encore avoir regardé, mais justement, ce qui me semble intéressant, dans un projet comme ça, c’est d’éviter de tomber dans l’attente d’une surenchère. Même les scénaristes bien défourailleurs qu’étaient Mike Baron ou Chuck Dixon prenaient le temps de faire parler leurs personnages. Sinon, on a le risque de tomber dans la caricature, non ?
Jim
Oui mais là on est dans l’excès inverse.
Ben ça tombe bien, True Detective, je me suis grave fais chier et j’ai dû dormir les 3/4 du temps. J’ai rien contre le blabla, je regarde des séries médicales hein aussi, j’ai adoré The Killing par exemple aussi qui n’est pas un exemple de série nerveuse, mais là ça passait pas.
Alors je me suis forcé pour finir la saison du Punisher tout de même. Il faut 10 épisodes pour que l’intrigue se pose tout de même. Ca fait long 10 épisodes pour dire ce qui a été dit. Parce que bon, c’est bien gentil le traumatisme de la guerre, blabla tout ça, mais il y a des films qui ont fait mieux que ce que nous a proposé Netflix en moins de temps. On doit se farcir 10 épisodes avant que le Punisher rentre en action. En plus on doit se farcir la famille de son pote loser (0 charisme pour le coup) et Madani (on s’en tape de son amourette avec Russo). Au niveau des dialogues, à un moment, il faut que ça fasse avancer le truc, pas faire du surplace. Et ça, c’est typique Netflix. Y a des passages dans Iron Fist (l’épisode où les personnages sont autour de la table à discuter, la discussion tourne rapidement en rond, ou Luke Cage où on a des épisodes remplis de vide (les 3/4 de la série). Pas d’avancée de l’intrigue, pas de développement des personnages. Du coup, on se fait chier (on = moi).
Après au niveau du personnage, là, j’ai pas compris la fin. Parce qu’il me semble (je peux me tromper, ça fait longtemps) que quand le Punisher a été introduit dans Daredevil, il s’attaquait à la pègre dans sa globalité. Et il avait un discours jusqu’au boutiste qui contrastait avec celui de Murdock. Là, déjà, le mec il raccroche le t-shirt dès le 1er épisode (je spoile pas trop, c’est les premières minutes de la série). Bon pourquoi pas, ça permet de faire éventuellement une introspection du personnage. Mais après, donc le fauve est lâché. Et à la fin, là je pige plus, il tue pas le mec qu’il dit vouloir buter depuis le début, et le pire, c’est que les dernières images nous le montrent comme un type qui n’a plus d’objectif dans la vie. Il est où ton discours dans Daredevil? Bam en une semaine, c’est torché?. Si encore l’intrigue policière valait le détour. Mais même pas, c’est classique, du réchauffé.
Je ne sais pas ce que voulait démontrer cette série, mais c’est pas le Punisher. C’est une espèce de Rambo du pauvre (référence à un épisode dans la forêt). Franchement déçu. Je me demande si je vais continuer à regarder les Marvel Netflix.
Merci Vik. Tu es allé au bout, moi j’ai pas pu, et je suis d’accord avec toi sur toute la ligne.
« Rambo du pauvre »?
Ca c’est de la critique!!!
Si c’est le cas, ça dénote la faible qualité de la série.