Nul part, les albums de la série thorgal saga sont indépendant et en dehors d’une quelconque continuité avec la série classique.
Euh, non, Wendigo est situé, par exemple.
Celui de Yann et Surzhenko aussi, je crois (mais je ne l’ai pas lu).
Jim
Oui
Ils sont situés vaguement, mais ne rentre pas dans la continuité de la série Thorgal.
Wendigo et Shaïgan c’est assez précis quand même.
Wendigo c’est juste après la saga en pays Qâ, sur le chemin du retour.
Et Shaïgan comme son nom l’indique c’est en plein dans cette période de la série
Cela reste tout de même des albums hors continuité.
Bah c’est comme si tu disais que la mini-série Wolverine de Claremont et Miller était hors continuité par rapport à Uncanny X-Men…
Jim
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Il va te le dire.
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Je ne vois pas comment le Shaïgan peut-être considéré comme hors continuité vu que c’est pendant une période bien précise de la série, que des rappels et allusions sont faites sur le pourquoi de l’amnésie de Thorgal et que justement dans cet album il commence à se souvenir de certaines choses et à avoir des doutes sur qui il est vraiment mais bon…
Wendigo se passe juste après Entre terre et lumière et donc avant les suivants donc là aussi des balises repères sont données pour le situer dans la série
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C’est pas moi qui fais les choses, m’engueulez pas. Adieu Aricia se passe hors continuité et en créé même une nouvelle par exemple et le but de Thorgal Saga selon l’éditeur à toujours été de faire un Thorgal vu par… Ca a peut-être changé en cours de route, mais c’est le principe de Thorgal saga, des épisodes one-shot pouvant être lu indépendement et hors continuité.
Tu noteras qu’on ne l’a pas cité, celui-là.
Et quelque part, qui dit qu’il n’est pas dans la continuité ? Mais à la fin, quand Thorgal est vieux et veuf.
Oui…
… mais pas obligatoirement.
Jim
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J’ai compris la chose comme cela :
Des épisodes one-shot pouvant être lu indépendamment mais qui sont en complément des chapitres existants, pour éclaircir des zones d’ombres et donc dans la continuité 
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Bon je vais raccourcir le débat car en soit Thorgal je m’en bats le steak. Mais en gros c’est hors continuité c’est comme ça que l’éditeur l’a vendu au départ, il a pu changer entre temps, mais c’est ce qui a été présenté au libraire et comme je lis pas thorgal, j’ai pas surveillé pour voir si c’était le cas où non.
Et tu crois encore les éditeurs ?
Jim
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Et pas les lecteurs d’ici
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Moi je crois tout le monde.
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Disons qu’à l’origine, c’est un peu toi qui l’a allongé ! 
C’est comme ça que ça croît…
Thorgal Saga - La Cité Mouvante - Aouamri/Ozanam
Afin de préserver les siens du destin funeste qui s’acharne sur lui, Thorgal a choisi de quitter sa famille. En entrant à Prokletà, la Cité Mouvante, Thorgal pensait pouvoir fuir la colère des dieux. Mais son refuge va rapidement se révéler être un piège mortel. Chaque nuit, la ville change de lieu, empêchant quiconque de s’en échapper. Pour briser la malédiction, Thorgal devra survivre parmi une population recluse de damnés et de fanatiques à la solde de l’impitoyable Empereur de la cité.
- Éditeur : LOMBARD
- Date de publication : 12 septembre 2025
- Langue : Français
- Nombre de pages de l’édition imprimée : 88 pages
- ISBN-10 : 2808211473
- ISBN-13 : 978-2808211475
- Poids de l’article : 505 g
Originaire de Rouen, Antoine Ozanam a la chance de naître pendant une éclaircie… Fort de cette lumière, il quitte la ville avant que la pluie ne revienne, et se dirige vers la banlieue parisienne. Pendant toute son enfance, il se nourrit de BD et de musique alternative, ses goûts allant d’Alberto Breccia à Peter Milligan en passant par Andreas. Après des études de communications visuelles, il rejoint Bruxelles puis Lille pour créer des affiches pour le cinéma, des clips musicaux, des cédéroms puis des sites internet. En 1999, il sort son premier album : Hôtel noir, une BD dont les personnages sont en pâte à modeler. C’est à partir de 2004 qu’il décide de se consacrer uniquement à la bande dessinée, et de mettre ses lumières au service du scénario. À l’heure d’aujourd’hui, il a signé de nombreux albums, comme Éclipse chez Vents d’Ouest, Les Âmes sèches et L’Amourir chez Casterman ou encore We are the Night chez Ankama. Sous le soleil d’Angoulême, où il a déménagé avec sa famille, il écrit la série Klaw publiée par les Éditions du Lombard.
Mohamed Aouamri est de ces dessinateurs perfectionnistes, attachés aussi bien à la qualité du découpage qu’à la sensualité des images. Autant de qualités qu’il a affinées et imposées au cours d’une carrière qui débute dans les pages du magazine Pilote, avec des planches humoristiques animalières, qui, déjà, font remarquer son sens aigu de la végétation. Illustrateur indépendant à l’occasion, dans la communication ou la publicité, il a néanmoins toujours oeuvré dans le 9e Art, aux côtés du scénariste Brice Tarvel, avec lequel il réalise les séries « Sylve » (3 tomes parus aux éditions Arboris) et « Mortepierre » (5 tomes parus, aux éditions Soleil). Une oeuvre déjà conséquente, qui attire le regard de Serge LeTendre et Régis Loisel, qui lui confient le 6e tome de la mythique « Quête de l’oiseau du temps ». Le résultat est éblouissant de virtuosité, et n’échappe pas à Jean Dufaux, qui lui propose alors de mettre en images une nouvelle série. Séduit, Mohamed Aouamri accepte volontiers d’abandonner la jungle luxuriante au profit des inquiétantes forêts glacées de « Saga Valta », qu’il illumine de son trait fouillé et dynamique à souhait.
