Eh bien sur tes bons conseils, je viens de le lire (d’une traite puisque le format s’y prête effectivement), et je ne le regrette pas. Grosse claque : un sommet de nihilisme et de noirceur « poétisés » avec style. J’en parlerai probablement à la rentrée après une nouvelle lecture.
Content de voir que tu l’as apprécié! 
C’est typiquement le style de livre à se faire d’une traite (difficile de le lâcher de toute façon).
Je crois que c’est le bouquin que j’ai le plus offert et c’est également celui que j’ai dû le plus relire (le format s’y prêtant bien).
Ajout: il y a du nouveau en approche pour Mr Bungle!!! 
Ipecac tease la date du 13 août 2020 (29 ans pile poil après la sortie de leur premier album)…
J’espère juste que c’est plus qu’une version 2020 de « The Raging Wrath of the Easter Bunny » (je dis ça mais je serai à fond quand même 
).
Plus que 3 jours à attendre…
Ajout 2 : c’est bien la démo réenregistrée. Avec ma volonté de fer, j’ai precommandé le Cd en version Yearbook et la version cassette… 
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On va s’écouter ça à la rentrée dans « Tumatxa! », bien entendu !!! 
Ha ha ha ha !!
Vu le look de Patton, ça provient certainement des tout récents concerts de « reformation »…
Peut-on espérer le retour de Tumatxa cette semaine ?
Je suis en manque là… 
Si tout va bien (car je suis un peu surchargé niveau emploi du temps ces jours-ci), et je croise les doigts pour ça : oui.
Mais tous les Tumatxa-addicts croisent les doigts!
Cool. Impatient aussi. J’imagine que tu vas évoquer le nouveau Napalm Death à un moment aussi, non ?
Qui a d’ailleurs une excellente critique dans le nouveau « New Noise »… Je n’ai pas encore eu le temps de lire leur interview par contre. Je me suis précipité sur celle de Mr Bungle (on ne se refait pas… 
).
Oui, j’ai lu les deux. Disons que, niveau caractère, Barney Greenway de Napalm Death et Trevor Dunn de Mr. Bungle sont un peu à l’image de leurs groupes respectifs. On se marre clairement plus avec Dunn. Mais les deux sont passionnants, évidemment.
D’ailleurs, j’ai été surpris de trouver le nouveau « New Noise » dans ma boîte aux lettres. Je pensais sincèrement que le confinement avait été fatal à la version papier du magazine. Content de m’être trompé.
Aussi, à la lecture de l’interview de Dunn, j’ai quand même un peu le sentiment que la ville d’Eureka devrait être jumelée avec Twin Peaks.
Les doigts croisés ont fonctionné !!! 
3h24 d’émission!!! 
Plus qu’à attendre que le maître de ces lieux annonce le programme.
Je commencerai à écouter tout ça dès demain matin.
EPISODE 1 : Double rasade à tous les étages !!
This is it !! C’est la reprise pour Tumatxa!, avec, comme le veut la tradition (non écrite), une émission plus copieuse pour fêter la rentrée…
Le (double) programme cette semaine :
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Pour le cinéma, c’est fromage et dessert puisque l’on évoque l’actualité, avec le dernier-né de la filmo de Rob Zombie, « 3 From Hell » (spoiler alert : c’est décevant), et aussi du patrimonial avec le chef-d’oeuvre d’Alan J. Pakula « A cause d’un assassinat » / « The Parallax View ».
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Pour la littérature, même punition, avec de l’actu, puisqu’on évoque l’extraordinaire « Eriophora » du roi de la « hard science » Peter Watts, et un classique un brin oublié de la SF avec « Lune Fourbe » du trop méconnu Algis Budrys.
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Pour la BD, on évoque un album publié chez Urban Comics tout récemment, « Joker : Fini de rire », qui présente deux récits consacrés à l’Orson Welles du crime, « Going Sane » de Jean-Marc De Matteis et Joe Staton, et « The Devil’s Advocate » de Chuck Dixon et Graham Nolan.
Pour la musique, ce sera :
« War Pigs », reprise de l’inoxydable classique (qui fête ses 50 piges ce mois-ci) de Black Sabbath par les sud-africains de Suck, « Face The Fire », excellent single synth-pop de Boy Harsher, « That Curse Of Being In Thrall », extrait du dernier et excellent brûlot de Napalm Death, « Mausoleums », beau morceau d’ouverture du premier album d’En Minor (le nouveau projet de Phil Anselmo), et on termine en beauté avec la reprise du magnifique « Severance » de Dead Can Dance par les rois de la batcave Bauhaus…!!!
« Overland
The winds of change consume the land
While we remain
In the shadows of summers now past… »
En plein dans le mille !!!
Ouaip, je savais que ce serait assez long, mais pas à ce point-là pour être franc.
Content que tu évoques celui-là. Ça fait un moment que je ne l’ai pas vu mais j’aurais tendance à considérer ce film comme le meilleur de tous ces thrillers paranoïaques des années 70 (avec « Seconds » de Frankenheimer).
Petit correctif de rien du tout : « Seconds » date lui des années 60. Mais je suis bien d’accord avec toi, même si je pense plus à « The Manchurian Candidate » du même Frankenheimer à la vision du film de Pakula…
Entre « Conversation Secrète » de Coppola et « The Parallax View », mon coeur balance mais ce sont deux immenses films, pas de doute.
Les traditions, c’est souvent oral, quand même…
Si c’était écrit, ce serait peut-être une règle… Mais ici, on aime s’en affranchir.
Tori.
C’est marrant que tu le précises, car sur Facebook je me suis rectifié, et j’ai mis « règle non écrite », qui me semble plus juste en effet…