Donnant l’impression qu’il marche sur les pattes-bande de DePalma (un pastiche tartiné de « vulgos » intentionnel) mais avec moins d’aisance en la matière.
En France il est le film d’horreur en tête des entrées depuis sa sortie, suivie de…Les dents de la mer ^^
Joliement écrit.
Quand j’étais au collège, « L’exorciste » servait d’appât à l’aumônerie…
On y allait parce qu’ils diffusaient le film, à des gamins de 5eme…
Avec le recul, c’était une approche curieuse mais ça marchait (temporairement en tout cas).
Ah oui, « Eyes Of Fire » m’intrigue au plus haut point. Je suis très à la bourre sur le visionnage de ce coffret, en fait. Je me suis mis en tête de prendre le reportage de Kier-La Janisse et stopper à chaque référence cinématographique, littéraire ou artistique, pour fouiller et, hum, me procurer l’objet en question. Alors, bon, je connais et/ou ai déjà vu ou lu à peu près 50% des œuvres citées. Mais, même ainsi, ça reste un peu un travail de titan. Ça fait des mois que je suis dessus (occasionnellement).
Et, du coup, je regarderai les films dans le coffret après ça. Bon, du coup, j’en ai aussi vu à peu près la moitié. Mais « Eyes Of Fire » m’intrigue. Notamment parce que le film rejoint certaines de mes réflexions actuelles sur le genre, et notamment sur la distinction entre folk horror britannique et américaine (entre autres provenances possibles, bien sûr). J’ai d’ailleurs commencé à réfléchir à tout ça après la lecture d’« Automnal » sur tes conseils, cette bd me semblant se trouver un peu à mi-chemin entre les deux. Merci pour la reco, donc. Là où j’en suis dans mes réflexions, je dirais que les genres se rejoignent dans l’idée que la terre elle-même est une présence en soi. Mais, là où la terre britannique est totalement domestiquée, révérée par la communauté, qui se révèle être le véritable antagoniste, je trouve que, dans le versant américain, on est plus marqué par l’indifférence du lieu envers l’humanité, flirtant même avec un sentiment lovecraftien par moments. L’ennemi, là, est la terre elle-même, sa toute puissance et son immensité. La sorcière de « The Witch », typiquement, à aucun moment, n’est définie où même vue, la plupart du temps. Elle est la forêt, point barre, je pense. En un sens, on pourrait considérer « Delivrance », et sa rivière, comme une des sources de la folk horror à l’américaine. Enfin, j’en suis là dans mes considérations, en tout cas. Et « Eyes Of Fire », pour ce que j’en comprends, semble s’inscrire dans ce principe-là aussi. Basiquement, la peur d’un pays trop grand pour ses habitants.
Et, sinon, un des mérites du reportage et du coffret dans son ensemble, est un peu de replacer le genre dans une perspective mondiale. On a cette idée d’un genre avant tout britannique, ceci étant encore accentuée par cette notion d’unholy trinity, ce qui me parait quand même un peu faussé. Comme tu le sais peut-être, l’expression vient d’une série de reportages, « A History of Horror with Mark Gatiss ». Mais elle se trouve dans un épisode spécifiquement consacré au cinéma britannique. Donc, on a cette vision de la folk horror comme avant tout anglaise, avec « The Wicker Man » comme alpha et omega (et le reste de la trinity dans une moindre mesure). Alors que je ne trouve justement pas que le film de Robin Hardy, aussi génial soit-il, soit si représentatif que ça. Je trouve qu’il est un peu à part, en fait, dans le corpus. Du coup, le film de Kier-La Janisse, je pense, s’attache avant tout à analyser les différentes formes de ce cinéma à travers le monde. La variation anglaise reste sans aucun doute la plus importante (ne serait-ce que par la quantité d’œuvres produites) mais est finalement très liée aux spécificités des îles britanniques et de leur histoire.
Notamment, j’ai un goût assez prononcé pour la folk horror d’Europe de l’Est (« Viy », « Leptirica », « Valérie et sa Semaine de Merveilles », « La Chasse Sauvage du Roi Stakh », ce genre de choses…) qui a finalement assez peu de points communs avec sa version d’outre-Manche. Du coup, j’aime bien que le reportage s’attache à ces questions. Même si, pour moi, « Penda’s Fen » reste le chef-d’œuvre absolu du genre, et pourrait difficilement être plus anglais. Mais ce n’est qu’un pan du genre. Curieux de voir ce que sera ton appréciation de « Eyes Of Fire », donc. Et il faut que je le voie.
François Cau de Mad Movies (entre autres) m’a mis la puce à l’oreille sur ce film, à l’occasion d’un compte-rendu de festival (Hallucinations Collectives peut-être ?) y’a un an ou deux. Outre l’affiliation du film au genre folk-horror, il hasarde une hypothèse très séduisante : celui de la potentielle influence du film sur Lynch et plus spécifiquement sur « Twin Peaks » (et plus spécifiquement encore le long-métrage « Fire Walk With Me »). Voilà qui met la puce à l’oreille…
Très intéressant, ça. Et ton développement m’amène à me demander si un autre versant possible, plus solaire et lumineux, de cette différenciation « culturelle » entre vieux et nouveau Monde ne pourrait pas être la tradition philosophique américaine, à la Emerson ou Thoreau. Cette « indifférence » que tu évoques apparaît nettement par exemple dans les films d’un Terrence Malick, versé dans la philosophie comme peu de cinéastes et très imbibé spécifiquement des écrits des philosophes en question. La notion d’oversoul, par exemple, recoupe certains des éléments que tu évoques. Même s’il y a là quelque chose d’élégiaque et de transcendant, de sublime en somme, mais bon, avec le sublime on est jamais très loin de la terreur à l’état pur…
Celui-là ? (je crois que La Semaine de Merveilles est le titre du livre)
Il est à classer en folk-horror ? Je ne suis pas aussi spécialiste que toi…^^
Et si Les Yeux de Feu a ses faiblesses, je l’ai trouvé très intéressant…
Oui, c’est bien celui-là ! « Valerie and her week of wonders » pour le titre international, d’où la traduction d’Ektah. Quoique très étrange et « débordant du cadre », on peut en effet l’assimiler à la folk horror. C’est un film absolument formidable.
Ah Ok, merci pour ces précisions. Je vais ajouter le tag alors, le film est tellement à part que je n’en avais pas encore mis…
Ouais, l’appartenance de « Twin Peaks » au genre de la folk horror, c’est un peu un marronnier dans la communauté. Bon, perso, comme avec toutes les œuvres-sommes telles que celle-ci, la question ne me semble pas avoir beaucoup de sens. Lynch et Frost vont puiser à quasiment toute l’histoire de l’art des deux derniers siècles. Ceci dit, des traces de folk horror dedans, oui, il y en a, surtout dans les deux premières saisons, en fait. Tout le côté « il y a une présence dans les bois », c’est quand même un des tropes les plus importants du genre. Donc, imaginer que ça puisse venir de « Eyes Of Fire », ouais, pourquoi pas ? Ça me paraît faire sens, à vue de nez. À voir.
Ah, je ne savais pas que Malick était infusé des écrits de ces philosophes. Je dois, hélas, confesser ma quasi-complète méconnaissance de ce cinéaste. Très probablement une de mes plus grosses lacunes. Par contre, très intéressé par les deux auteurs cités et, oui, cette impression élégiaque que tu évoques est assez proche de certaines de mes réflexions sur le sujet.
Mais, là, pour le coup, je pense plus à son versant musical. Très fourni également : il suffit de faire une recherche sur le tag folk horror dans Bandcamp pour obtenir des centaines de résultats. Il me semble qu’un bon nombre d’entre eux relèvent de cette transcendance que tu évoques. Je pense, par exemple, à mon disque favori du moment, le projet « Úath » du stakhanoviste Grey Malkin, ou alors à Rowan Morrison (collaboration entre la chanteuse Angeline Morrison et le groupe Rowan Amber Mill, dont le nom combiné devient un personnage du « Wicker Man », ça tombe bien). De même, certaines productions de tes compatriotes du label Pagans me paraissent aussi relever de ce sens du sublime (des années plus tard, toujours autant impressionné par l’album « Cerc » d’Artùs). Et, enfin, on peut quand même noter l’existence d’un groupe nommé Walden, le projet artistique est là assez clair. De toute façon, j’ai un peu l’impression que ce sentiment de la transcendance est bien plus casse-gueule à obtenir au cinéma, par rapport à la musique, typiquement. Quelqu’un comme Darren Aronofsky (pour qui je conserve quand même une certaine sympathie) s’y est cassé les dents plus d’une fois. Du coup, si tu me dis que Malick réussit sur ce plan, ça attire certainement mon attention (c’est un peu l’impression que j’avais, le concernant, effectivement).
Ah, effectivement. Mon DVD est une édition anglophone, donc j’avais fait une fausse approximation pour le titre en France, selon de vagues souvenirs. Mais, oui, il s’agit bien de ce film. Merci pour la précision. Film incroyable, vous avez raison.
Et, pour l’appartenance au genre, oui, on peut considérer que c’est un peu le cas. De toute façon, on dit ça à moitié en rigolant, dans la communauté, mais c’est pas rare de considérer que, à partir du moment où y’a une sorcière, on a affaire à de la folk horror. Bon, en vrai, c’est quand même un peu plus compliqué, mais y’a de ça. Ceci étant dit, « Valérie… » a un statut un peu à part dans le corpus. Ça reste un film très particulier. Et, au final, ces notions de genres artistiques sont, au mieux, nébuleuses, bien sûr.
Tiens, d’ailleurs, y’a un groupe de folk psychédélique en hommage à ce film, que j’aime bien. Et une chanson du groupe Broadcast (RIP Trish Keenan ). Je vais aller poster ça dans la fiche du film.
Bon, et sinon, il faut toujours que je regarde « Community », moi (et « Atlanta »)
L’artificialité qui ressort dans la description à l’écran de ce monde futuriste me gêne aux entournures; par la manière dont les composants de ce monde s’invitent au forceps dans le cadre, j’avais plus l’impression de visiter un parc d’attraction bizarre par moments que d’être immergé naturellement dans un univers futuriste avec ces scènes poussives où on te décrit ce qui régit la société. Je pense au plan séquence où le gérant du business de réalité virtuelle explique littéralement à un client qu’il vend une soupape sociale en passant en revue visuelle dans le cadre les différentes catégories de frustrations, qu’elles soient sexuelles ou professionnelles. Egalement la séquence dans le cabinet de Peter Stormare, à la caractérisation d’une marginalité (marché noir et gens qui vivotent) un peu « autre » dans sa représentation (lui avec son nez qui dégouline et la focale qui accentue le côté dégueu, l’assistante avec l’accent au couteau et un poireau au milieu du visage), et dont le personnage explique tout son parcours avec force détails pour sortir du film l’instant d’après, puis d’embrayer sur la convalescence d’Anderton via cette scène de bouffe avariée déroutante (pas saisi ce que ça vient faire là vu la scène de suspense qui suit immédiatement après). Je me souviens de l’espèce de passage à la Benny Hill accompagné d’une musique au diapason où Anderton fait tomber les yeux et court comme un dératé après, dont la présence à ce moment est pour le moins incongru. Curieux de trouver ce genre d’embardées à la tonalité singulière au sein d’un film globalement sérieux et dramatique; si ce sont des interludes comiques pour relâcher brièvement la pression, c’est raté à tout niveau.
La réalisation appuyée de Spielberg m’agace aussi à pas mal d’endroits, dans cette volonté de surligner des révélations, d’accentuer des effets en insistant plus que de raison via des mouvements de caméra sur-signifiants (la scène avec l’aveugle au début se pose là dans le genre). Je pense au changement d’axe et de lumière en plein milieu d’une séquence au moment où la femme d’Anderton perçoit la duplicité de son interlocuteur, celle de la morgue vers la fin avec un insert d’un sachet qui atterrit sur l’orgue accompagné de la fausse note qui ponctue une révélation (au secours), où encore toute la séquence cheesy à la lumière accrue quand Angela raconte un destin fauché qui n’adviendra pas à ses interlocuteurs suivi de ces plans accélérés sur l’arrivée de flics avant qu’Anderton ne soit arrêté, etc… Et si le film a tout de même de gros atouts à faire valoir rayon mise en scène (l’entame, Anderton poursuivi par pré-crime ou la vue aérienne surplombant les appartements notamment), j’y trouve aussi quelques manques; l’hôtel, qui est un point charnière dans l’histoire, me semble assez raté à ce niveau-là.
ça fait beaucoup de choses mises bout à bout qui m’ont agacé, sans même compter la logique de mécanique forcée du scénario (le crime d’Anderton n’est pas plus prémédité que celui détecté en entame de film), avec le côté sur-descriptif et fonctionnel de passages (la fin) et de personnages qui ne sont là que pour faire avancer l’intrigue avant de disparaître (Stormare, la botanniste).
Un peu pareil, même si j’en ai pas vu beaucoup en fin de compte. Munich et Les dents de la mer, ça fait partie de ceux que j’ai envie de voir. La guerre des mondes, toute la thématique de la cellule familiale jusque dans sa conclusion m’avait saoulé mais je voudrais le revoir pour la teneur de film catastrophe qui s’en dégage, franchement impressionnante.
Jurassic Park, j’en suis pas fou mais le casting du trio Neil, Goldblum et Dern couplé aux aspects suspense/émerveillement des séquences avec les dinosaures marche encore pas mal. Pour ET, je ne crois pas l’avoir revu depuis l’enfance et n’étant pas Dawson Leery, pas de grosse envie d’y remédier.
Je suis encore réceptif aux Indiana Jones, qui ont effectivement ce côté hargneux (pas vu le dernier) qui fait mouche globalement.
EPISODE 30 : Les 77 renards tueurs
Cette semaine dans « Tumatxa! », le programme est varié comme c’est pas permis : récit carcéral inspiré de faits réels, thriller mâtiné de folk-horror, heroic fantasy teintée de métatexte… Diable !! Si c’est pas un chouette sommaire, je veux bien être pendu.
Cinéma, littérature, BD, musique : la formule classique comme on l’appelle ici.
Pour le cinéma, penchons pour la première fois sur le corpus du cinéaste andalou Alberto Rodriguez, qui signe avec le puissant « Prison 77 » un fort beau fleuron du genre film de prison. Après la mort de Franco, l’Espagne est le théâtre d’une mobilisation politique qui agite jusqu’aux prisons. Extension du domaine de la lutte, comme dirait ce couillon de Houellebecq. Aussi bien troussé sur le plan formel que poignant au possible, le film est une belle claque…
Pour la littérature, ce sera aussi une première, puisque nous abordons le travail d’Antoine Chainas, qui vient de publier « Bois-aux-Renards », le dernier-né en date de sa bibliographie, dans la collection Série Noire chez Gallimard. Dans ce thriller qui braconne plus qu’allègrement sur les terres de cette bonne vieille folk-horror (ah, je vois poindre les oreilles de ce cher Manuel Pradel / Ektah ), une jeune fille, Anna, est la proie d’un couple de serial-killers zinzins ; toute ce petite monde se retrouve confronté au fin fond d’une forêt étrange hantée par des forces ancestrales à une communauté autarcique, menée par un bien étrange couple de petits vieux… Ecrit de main de maître, puissamment original et addictif en diable, « Bois-aux-Renards » est un roman terrifiant et thématiquement vertigineux. Bravo, M’sieur Chainas.
Pour la BD, revenons s’il vous le voulez bien sur le travail du grand (et regretté) Richard Corben, remarquablement bien servi en VF depuis son Grand Prix à Angoulême en 2018. Avec Daniel Way au scénario, le dessinateur américain produisait en 2009 pour le compte du label MAX de Marvel « Starr le Tueur », reprise d’un vieux concept des années 70 signé Roy Thomas et Barry Windsor Smith. Décalque du fameux Conan de Robert E. Howard, Starr le Barbare connaît l’étrange aventure de la rencontre… avec son propre créateur. Pas le chef-d’oeuvre de Corben, mais un récit qui tape suffisamment dans le mille par rapport aux obsessions habituelles de l’auteur pour satisfaire le lecteur avide. Et en plus c’est très marrant.
Le tout est évidemment assaisonné de bien bonne musique, comme on aime : le projet rock/métal indus JAAW, avec Andy Cairns de Therapy? au chant et à la guitare, vient de sortir « Supercluster », son premier album, et on en écoute le jouissif « Bring Home The Motherlode, Barry » ; Chris Clark nous revient aussi avec l’excellentissime « Sus Dog », dont le single « Medicine » se paie le luxe d’un featuring de prestige, avec la participation de Thom Yorke en personne ; Ethel Cain a sorti l’épique « Preacher’s Daughter » l’an dernier, et si l’album est inégal, il n’en contient pas moins quelques pépites, comme l’incroyable « Ptolemaea » ; enfin, Mantras, le projet du polonais Greg Nowosad, accouche de « Nada Brahma », album de post-métal/ambient dont est extrait le phénoménal « Ptah »…!!!
« I am no good nor evil, simply I am
And I have come to take what is mine
I was there in the dark when you spilled your first blood
I am here now, as you run from me still
Run then, child
You can’t hide from me forever »
Ha ha !! Oui, je me souviens très bien avoir fait un rejet immédiat de cette scène lors du visionnage du film en salle. Comme toi, la rupture tonale me semblait trop prononcée et m’a « sorti » du film… Et bizarrement, les fois suivantes, ça m’a beaucoup moins gêné ; je ne voyais plus la séquence comme une tentative comique foirée, mais plutôt comme une scène au grotesque assumé (ce qui ne se superpose pas tout à fait avec le comique), plombée par un symbolisme un peu lourd, certes…
Oui, sur le plan de la thématique familiale, le film est quand même bien handicapé par son final un peu ridicule. Mais tout le reste !!! Même la partie « huis-clos » avec Tim Robbins, qui semble avoir gavé certains spectateurs, me botte.
Oh oui, il est très calé là-dessus. Il a étudié la philo, et étant germanophone, il a même traduit dans sa prime jeunesse du Heidegger en anglais (pas commode comme boulot, pourtant). Mais il a toujours explicitement assumé sa connexion aux transcendantalistes américains.
En schématisant et simplifiant pas mal (mais certains généralisations se révèlent utiles à l’occasion pour cerner tel ou tel corpus…), on pourrait dire que Malick est le cinéaste panthéiste par excellence. Et en la matière, son chef-d’oeuvre c’est le film de guerre « La Ligne Rouge », son meilleur film à mon sens, un film où j’aime même la musique de Hans Zimmer (son meilleur boulot sans l’ombre d’un doute, pour ce que je peux en juger).
Et « Tree Of Life », même si son thème explicite est la bonne vieille dichotomie religieuse « Nature et Grâce », est à voir aussi. Il est encore plus original en termes de mise en scène…
Je lui conserve aussi ma sympathie, malgré ses errances. J’attends même de voir son petit dernier, « The Whale », avec une certaine impatience.
Tiens donc … Starr… tu y reviens comme ça ?
Tu veux dire sans que ce soit lié à l’actu ? Oui, j’aime bien y déroger régulièrement. Et j’attaque une petite phase Corben, là, j’ai plein de lacunes dans son corpus…
Et voilà pour le chapitrage :
2023.06.07 - (2:20) JAAW, (25:35) Alberto Rodriguez, Prison 77, (1:09:24) Chris Clark, Thom Yorke, (1:20:02) Antoine Chainas, Bois-Aux-Renards, (2:01:02) Ethel Cain, (2:14:28) Richard Corben, Daniel Way, Starr le Tueur, (2:50:50) Mantras
Merci !!!
Ce que j’en ai écouté m’a furieusement fait penser à une suite du Filth Pig de Ministry!!!