J’aurais tendance à dire que, dans ses expressions les plus grand public, ce fut d’abord un imaginaire avant d’être un mouvement politique (même si l’un ne va pas sans l’autre, à des dosages divers).
Un sentiment de déclassement à l’échelle des nations ?
Ou bien réinvestissent-ils le monde / l’imaginaire cyberpunk en l’assaisonnant à la Deleuze (la société de contrôle), afin d’en conserver le côté menaçant et inhospitalier, parce que c’est plus dramaturgique ?
Jim