ou plutôt : mon addiction, comme tu la nommes, ne concerne certes que moi, et aussi quelques autres par ci par là en tant tant qu’elle vise les bd, par contre l’addiction à l’objet est universelle tout autant que la faim, à chacun le sien et là en tant que haut lieu de production d’objet l’art, le divertissement se trouve relever de la sphère de ce que tu abordes comme besoin.
Comme je le disais les gens ont faim de lecture, de film, d’art, de divertissement. Dès lors l’acte d’achat n’est pas un acte libre au sens où tu l’entends, et il ne se fonde pas que sur la qualité supposé du produit, qualité supposé que par l’achat lui même.