Je reviens un instant sur ce point, évoqué dans le billet consacré à La Légende Inconnue de Batman :
J’ai récemment discuté avec Phil Cordier, fin connaisseur de Zeck, et apparemment, ce dernier n’est pas un élève d’Aparo*. Bon, dont acte. Cela dit, pour avoir traduit d’autres épisodes d’Aparo, et notamment les deux écrits par Goodwin, je continue à trouver une parenté graphique. Subliminale, alors ?
Jim
Fieffé correcteur automatique, qui veut absolument me faire écrire « Apéro ». M’ouais, « Batman par Apéro », ça la fout bien, je vous jure.
Aparo, des fois, c’ets un peu le bordel dans l’agencement des cases. J’ai en mémoire un ou deux épisodes de The Brave & the Bold où certaines pages étaient pas toujours bien agencées. Après, sur le volume, ça représente rien. Et puis quand tu compares avec aujourd’hui, c’est sûr que la densité du script ne peut pas être la cause d’un mauvais agencement de cases.
(et puis, comme je dis souvent, Aparo, il dessinait Batman au petit déj’… et avec l’expo DC, j’ai pu voir que la colo ne changeait pas grand chose au visuel. C’est dire l’identité graphique du bonhomme … et/ou la qualité du coloriste !)