X-MEN : APOCALYPSE (Bryan Singer)

Oui, mais comme il est le premier film de super-héros « assumés » à essuyer vraiment les plâtres (je mets volontairement les Superman de Donner et les Batman de Burton de côté), avec l’ambition d’imposer le genre sans faire dans le clownesque, je trouve que ses limites sont largement acceptables. Personne n’avait de vrais repères. Faut quand même se rappeler de quoi ça parlait, et le pari que le film représentait à une époque où tout le monde se cognait des super-héros.

Ça, je l’ai déjà lu et je n’adhère pas. À l’époque, peu nombreux étaient ceux qui faisaient vraiment le lien entre Blade et le genre super-héros.
De plus, ce n’est pas l’accueil de Blade, somme toute honnête, qui a permis la concrétisation d’X-Men qui était en cours d’écriture deux ans avant sa sortie. Et de l’avis même d’auteurs comme Waid ou d’Avi Arad (si on prête foi à DeSantos), sans le succès d’X-Men, pas de Spider-Man. Sony l’aurait peut-être produit à terme, mais refaire l’Histoire, ça peut nous amener à mille hypothèses.