Google non plus.
En gros, c’est un mélange de filles en sueurs et de tentacules. D’érotisme (voire de pornographie) et d’horreur.
Jim
Google non plus.
En gros, c’est un mélange de filles en sueurs et de tentacules. D’érotisme (voire de pornographie) et d’horreur.
Jim
Ah … donc Money Shot est du Hentai par exemple ?
(Bon… ici Jean est boueuse)
Je sais pas, j’ai toujours pas lu.
Jim
Un grand ventre mou.
Euh… non, pas du tout
Tornade « meurt » dans Uncanny 248. Elle ne passe donc pas le seuil du péril.
Dans le 248, Elle est enlevée par Nanny qui a ramené la moitié de l’équipe au stade enfant.
Dans le 253 apparait Tornade enfant et amnésique
On comprend ce qui s’est passé dans le 267
Le 248 a été zappé dans la collection Hachette
Va falloir retourner voir ce 267.
Merci pour les précisions
(ouais comme quoi la période entre le départ de Silvestri et le X-tinction Agenda j’en ai plus grand souvenir tellement c’était pas terrible)
Moi, personnellement, j’aimais beaucoup suivre cette période parce que je sentais un Claremont qui se débattait pour redonner une direction à la série (qui en manquait). C’est un peu comme la période séparant le #200 de la saga à Dallas : ça part dans tous les sens, l’éditorial cherche un dessinateur, y a des idées mais le scénariste peine à les ordonner. Là, c’est un peu pareil, sauf que Claremont m’a paru plus convaincant. Il utilise les mêmes recettes : éloignement géographique, retour de méchants classiques, réfection du casting, indices et subplots concernant un vilain puissant… Mais ça marche mieux à mon sens à cause du fil rouge que constitue le tandem Forge / Banshee. Et très sérieusement, j’aurais aimé le voir dérouler ses idées sans être entravé par Harras, dont la pression se fait de plus en plus sentir (bon, surtout a posteriori, je ne crois pas que je m’en rendais compte à l’époque, dans Spécial Strange). C’est l’une de ces périodes où la série redevient ce titre où tout peut arriver.
Jim
Oui totalement (l’épisode avec l’attaque des Reavers sur l’ile de Muir je trouve que ca relance tout le bouzin formidablement bien) mais comme tu le dis il y a l’absence d’un dessinateur régulier (et les remplaçant sont pas top).
Un autre truc aussi c’est la parution fragmenté sur deux revues qui aidait pas à suivre quand tu découvrais la série un ou deux ans après
Cest marrant mais alors que dans mes souvenirs je voyais ça comme une periode assez longue, en fait entre le dernier numero de Silvestri et l’arrivée d’un Jim Lee plus régulier, il ne se passe que 3 mois (dont 2 bi monthly).
Ah ouais ?!
Dingue.
N°74 :
Je ne vois pas la fin du titre…
Le titre, c’est Gambit.
La première apparition de Gambit, c’est la fin du run de Calremeont avec les X-Men qui ont passé le seuil du péril et une tornade devenue adolescente. Ca emmène sur X-Tinction Agenda.
D’ailleurs si quelqu’un avait du biscuit sur la genèse de Gambit, je le remercierais énormément. Je l’ai peut su à une certaine époque mais si c’est le cas, c’est maintenant oublié. Il est question de curiosité morbide car à son apparition, j’avais trouvé ce personnage d’une facilité scénaristique d’une roublardise sans nom et indigne de Claremont.
Serviteur
Un clone selon Supermegamonkey (dans les commentaires) :
« According to Collins, Gambit’s « charm » was described as a super-power in the plot. Claremont’s original idea was that Gambit was one of Sinister’s clones, not a « normal » mutant, so he could have more than one power. When this was dropped, the charm power was forgotten about. »
« To expand on what Michael says, Claremont explained in a convention interview around the time of X-Men Forever (or maybe around the time it was ending) that Gambit was originally intended as an artifically aged clone of « Nathan », the slow-aging mutant behind Mr. Sinister. Gambit is what Nathan would be once he hit early adulthood, perhaps with some power adjustments. »
Merci beaucoup
Ceci expliquant cela. Finalement, je préfère comme ce fut fait. (C’était pire que je ne le pensais …)
Tiens, Doc, tu es passé du 72 au 74…
Le 73 était celui-là :
Tori.
N°75 :