Difficile de s’y attacher avec un tel caractère (de cochon).
Oui mais il met le doigt sur un truc
A l epoque il y a si peu de mort qye ca marque le lecteur alors qu en effet il est pas developpe et le peu te donne pas envie
Il fait doublon avec wolvie comme dit claremont
Par définition une intégrale propose l’intégralité d’un épisode. Personnellement je n’ai pas subit des années d’épisode tronqué pour le revoir aujourd’hui.
« scolaire » ou « fan fiction d’enfant » c’est kif-kif à mes yeux et je ne vois toujours pas ce que cela veut dire.Tu as des exemples ?
Et que tu t’en défendse c’est une chose mais tel quel cela reste bien une critique. Ce qui n’est pas mauvais note bien mais ainsi on peut mieux contredire cet avis ou le supporter. Comme je dis plus haut, l’écriture de Claremont, ici, est déjà celle qu’on retrouvera plus tard et déjà la machine est bien lancée. Je veux bien croire qu’on soit pas d’accord mais « fan fiction » ou « scolaire », comme dirait Cyrano, c’est un peut court. On pourrait dire bien des choses en sommes.
Je n’ai pas connu cette époque aussi
Peut-être, ouais, mais la série vivotait depuis cinq ans sur des rééditions, plus personne ne les connaissait, et tout le monde découvrait les nouveaux (en gros : c’est pas comme si un nouveau personnage déboulait dans un vieux casting). Or, le premier Giant-Size a été un succès (au point d’annuler le deuxième, de le transformer en deux épisodes normaux, les deux chapitres contre Nefaria, et de relancer la série, au rythme bimestriel : pas un mince exploit pour des personnages nouveaux qui remplacent une équipe impopulaire). Donc je pense que l’argument est caduc, dans le sens où tout est à construire, tout est neuf, et… tout est surprenant.
Ah moi, les mal embouchés, ce sont ceux que j’aime le plus.
Mais ils avaient déjà Wolverine, c’est vrai.
Pour moi, le plus insupportable, c’était Sunfire. J’étais content de le voir partir.
Jim
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Il l’est toujours.
Justement dans uncanny avengers il etait enfin moins con
C’est tout le reste qui clochait.
Jim
La surprise et la pertinence de cette mort ne se base pas sur le besoin de s’attacher au personnage mais de créer une sorte d’electrochoc. A savoir que tout peut arriver et que même un personnage présenté comme le membre d’un groupe peut y passer.
C’est la même logique qui concourt à la mort de Gorge Profonde dans X-Files ou plus tard à celle de Dino Ortolani dans Oz (voire l’espion infiltré dans la strike team que Vic tuera à la fin du 1er épisode de The Shield). C’est un électrochoc, un marqueur destiné à lancer un message. Tout peut arriver
Que nenni
La seule serie avengers de 2005 a aujourd hui
Ben Grimm, Clint Barton et Logan se sont un peu assagis après le côté « abrasif » de leurs débuts.
Là où Thunderbird lui n’a pas eu l’occasion d’atteindre cette étape (ou pas encore puisqu’il est revenu).
D’ailleurs en y repensant je crois pas avoir vu cet effet avant dans un comic de super-slips alors qu’il se ré-utilisé à foison par la suite
Bon, là c’est une fin d’ère et pas le début d’une autre.
Alors j’allais le dire (j’étais occupé à gérer la tempête). Sur le principe, je suis totalement de cet avis. Quand j’ai lu cet épisode (des années après sa sortie, même en VF), il m’a suffisamment marqué pour qu’on n’oublie pas Thunderbird. C’était novateur (du moins, en VF) de tuer un perso dès le début. Sans espoir de le voir revenir.
Rien à voir avec l’effet Gwen, puisque les raisons sont tout autre. mais effet marquant quand même.
Depuis qu’il est maqué, ce n’est plus le même homme.
Voilà, et son semblant de béguin pour Jane est vite oublié.
Il s’est fait une raison.
Ah bon ?
Mais Xavier faisait déjà des bandes de données à cette époque ?
Clairement l ambiance old school était bien là.
Ça doit être aux alentours du Inferno d’Hickman.
Des qu il a cerebro