X-MEN RED #1-18 (Al Ewing / Stefano Caselli, Yildiray Cinar)

Arakko + Cable = la série adaptée pour le retour d’Apocalypse ?

Oui, l event l aura forcé à abattre ses cartes bien plus rapidement que prévu sans lui permettre de monter la sauce qui leurs aurait donné leur plein effet.

Ainsi la révélation sur le siege de la nuit, et la victoire contre isca s enchainent sans introduction, sans qu on puisse prendre la mesure des enjeux et cela tombe à plat.

Sans compter que des persos sont oubliés au passage comme épervier qu on n a plus revu.

L éditorial a sans doute sa responsabilité mais ewing aussi qui aurait pu délayer la sauce un peu suite à l event pour aborder ses révélations ou ses résolutions. Pourquoi n avoir pas ici fait un plein épisode sur les conséquences de la révélation du siege de la nuit tout en introduisant la nécessité de confronter isca, histoire qu on puisse se demander comment ils allaient pouvoir la vaincre, le combat etant renvoyer à un prochain épisode.

Le conflit avec abigael n a pas eu le temps de mûrir ni ses x men de s installer que sa duplicité (triplicite ? Quadriplicité ?) Est déjà révélée.

Cela va bien trop vite, les rebondissents n en sont plus si le statut quo change tous les deux épisodes et que s enchainent de grandes déclarations des persos n entrainant jamais aucune conséquence durable. Au final, on a l impression de suivre des poseurs qui s ecoutent parler mais qui n ont aucune consistance.

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Quand tu le vois partir dans XoS, tu sens déjà le retour.

Beau résumé. Je ne suis pas sûr de continuer.

Et c est dommage, les idées sont là, c est vraiment le rythme de la narration qui peche.

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Oui mais ça devient redondant dans toute la franchise.

Cebulski !!!
Président !!!

(W) Al Ewing (A) Madibek Musabekov, Federico Blee (CA) Russell Dauterman, Netease Games
WELCOME TO THE WORLD FARM!
CABLE springs his trap for ABIGAIL BRAND - but are her plans too big for even the Askani’son to handle alone? To foil a scheme stretching from the Sol System to the Shi’ar Empire and beyond, the Soldier of Tomorrow’s going to need all the help he can get… from his very own X-MEN RED!

RATED T+
In Shops: Nov 02, 2022
SRP: $3.99

C’est quand même le bordel, les sagas de cette série.

Mais quel bordel cette série, oui.
Ici, Al Ewing évacue complètement tous les éléments de Mars / Arakko, pour se concentrer sur les résidus de sa série S.W.O.R.D. ici : Cable, donc, qui mène une enquête sur Abigail Brand avec Whiz-Kid et Thunderbird. Un sommet diplomatique est organisé avec des Shi’ars et Paibok de l’Alliance Kree/Skrull, qui exige des explications car, jadis, les Shi’ars ont donné de fausses informations aux Kree, ce qui a mené à un massacre de Skrulls innocents. Le ton monte, malgré les tentatives d’apaisement de Nova (j’adore son rôle de pilier moral accepté dans l’ordre cosmique) et de Frenzy. On apprend que tout ça vient de Brand, qui a un plan caché pour provoquer une guerre cosmique, pousser les Krakoans à renvoyer les Arakkii sur Amenth, et récupérer Mars / Arakko comme base diplomatique cosmique pour elle. Mais Cable s’organise pour la stopper.
Et c’est bien, en fait ; mais bordélique. La série part littéralement dans bien trop de directions, connexes mais trop indépendantes les unes des autres. Al Ewing semble vouloir narrer tout le cosmique Marvel ici, mais le titre est trop « petit », les numéros pas assez nombreux pour ça. Les intrigues se marchent sur les pieds, et une grosse lassitude s’installe devant des rebondissements précipités et des révélations trop brutales.
Madibek Musabekov a un style simple mais efficace… mais simple, quand même. C’est un peu brut, un peu direct. Ca fait le job, mais sans briller.

Que de frustration et de gâchis.

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X-MEN RED #9

CHECK AND MATE?

Abigail Brand enters her endgame—and on Arakko, the Diplomatic Zone is beset by a firestorm of violence. On the World Farm, Cable is learning the secrets behind it all. But the biggest secret has yet to be revealed… It’s Roberto Da Costa’s turn to play. And you won’t see it coming.

Creative Team

  • Writer: Al Ewing
  • Artists: Stefano Caselli
  • Colorist: Federico Blee
  • Letterer: Ariana Maher
  • Designer(s): Tom Muller & Jay Bowen
  • Editor(s): Jordan D. White
  • Assistant Editor: Lauren Amaro
  • Standard Cover Artist(s): Russell Dauterman & Matt Wilson
  • Variant Cover Artist(s): Taurin Clarke; Ivan Shavrin; Jonboy Meyers
  • Format: Ongoing

Al Ewing revient à des intrigues mises de côté, en essayant de concilier avec les autres éléments de sa saga. C’est plaisant, mais foutraque.
On acte ici le décès « volontaire » de Magneto et, en manque de Mutant Omega, le Conseil Silencieux accepte de ramener rapidement Vulcain. Charles Xavier veut « nourrir » l’esprit de Gabriel (car il refuse de changer l’esprit des gens… euh, y a un manque de continuité, ici, ou une sacrée hypocrisie) pour l’améliorer, le calmer. Mais ça ne fonctionne pas, Vulcain leur explose entre les doigts et va confronter Xandra, nouvelle Impératrice Shi’ar. Il affaiblit (tue ?) Gladiator, tabasse tout le monde (dont Nova) et veut cramer Xandra… mais celle-ci est en fait remplacée par Roberto Da Costa, qui a prévu le coup et confronte Vulcain. Tandis que tout ceci vise à piéger Abigail Brand, la forcer à agir ; alors que Cable et son équipe font mumuse ailleurs.
Clairement, c’est le bordel. Al Ewing a plusieurs bonnes idées, mais ça part dans tous les sens, des intrigues sont mises de côté, reprises alors qu’on les avait zappées… c’est vraiment trop chaotique. Il y a de bonnes choses, notamment la gestion de Solar, la menace de Vulcain, le piège sur Brand… mais pff, ça va dans tous les sens.
Ca rend la lecture désagréable, car c’est trop maladroit. Stefano Caselli gère bien l’ensemble, les dessins sont réussis mais ça ne peut pas tout.

Frustrant et lassant vu le potentiel gâché, par l’éditorial mais aussi la gourmandise d’Al Ewing qui veut trop en faire, trop vite.

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J avais trouvé que dévoiler le plan de brand à l episode précédent etait comme des tires à blanc, ratant fatalement la cible.

J ai mieux compris ici le pourquoi du comment. En nous faisant saisir le plan, il nous fait ici saisir les enjeux enormes que représente les pif paf pouf de l épisode. Et pour le coup, c est plutôt réussi puisqu il va avec ce simple combat du destin même d arrako.

Pas mal.

A voir s il saura maintenir cette tension et les enjeux pour la suite.

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Mutantkind’s bold leap into the future on the terraformed Mars and A.X.E.: Judgement Day collision continues in X-MEN: RED #10 this week. Now home to the mutants of Arakko, the Red Planet has never shined brighter or been more dangerous… What does that mean for Mars’ new inhabitants and the larger galactic landscape? The saga continues as the mutants on Mars deal with both the promise and the threat that Arakko represents to the Marvel Universe.

Storm, Magneto, Sunspot, Abigail Brand, and the mutants of the Great Ring continue to forge Arakko’s uncertain future in a place of mystery, strength, and endless conflict.

As the next X-Event SINS OF SINISTER kicks off at the end of January is this the end of the X-MEN RED or just the beginning?

  • Writer: Al Ewing
  • Artists: Stefano Caselli
  • Colorist: Federico Blee & Chris Sotomayor
  • Letterer: Ariana Maher
  • Designer(s): Tom Muller & Jay Bowen
  • Editor(s): Jordan D. White
  • Assistant Editor: Lauren Amaro
  • Standard Cover Artist(s): Russell Dauterman & Matt Wilson
  • Variant Cover Artist(s): Russell Dauterman; Mike McKone; In-Hyuk Lee
  • Format: Ongoing

"When I said we were going to change the landscape of Arakko with this fight, I meant it - hope you liked the Autumn Palace while it was around.

We’re tying off threads and closing arcs in this one, finishing the Abigail Brand storyline I started back in Empyre: Avengers Aftermath and continued into this book once it became clear that, actually, she’s still the same person who had Colossus tortured for years because something something the hard choices. From here, we go into Sins Of Sinister, which is kinda sorta the Metal Gear Solid 4 to this book’s Metal Gear Solid V, except I’m at least 80% sure we’ve got the budget to end X-MEN RED properly.

(Not that Metal Gear Solid V didn’t have a satisfying ending of sorts, but that’s a whole essay and when I have time to write it I’ll either have reached new peaks of efficiency or I’ll be unemployed. ANYWAY.)

This is a good time to mention that X-MEN RED has been high on many end-of-year lists this year - it seems what me and art maven Stefano Caselli did really struck a strong chord with critics and readers, hence us being able to continue on past Sins into a new story which we’ll be dropping all manner of cryptic hints about in the next few months. Thanks for everyone who thought of us and spread the good word - it’s highly appreciated !"

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C’est une série de poseurs, en fait. De postures et de poseurs.
Perdue entre des crossovers, incapable de tenir une intrigue au long cours. Dommage pour Al Ewing, mais il joue aussi contre lui-même en lançant bien trop d’éléments, sans jamais complètement les finir ou aller au bout.
Bon, l’épisode est bien, hein. Mais il y a trop de choses, pas assez creusées. On a la bagarre entre Vulcan et Storm, qui anéantissent le Palais d’Automne, QG de la Brotherhood d’Arakko. Vulcan est fort, trop fort mais Ororo le bat par sa stratégie, et l’intervention des autres membres de la Brotherhood ; Gabriel est bloqué dans le fameux métal mutant, pouf-pouf. En parallèle, Cable et ses potes s’échappent de la base d’Orchis après avoir récupéré des éléments, et gêné l’ennemi. Surtout, Abigail Brand prend conscience d’être suivie et piégée, notamment par Mentalo. Xandra, Sunspot et les autres viennent la confronter ; Brand s’enfuit, la queue entre les jambes, mais elle est confrontée par le Fisher King d’Arakko, et ça risque de faire mal. A la fin, Arakko en ressort solidifié, Storm aussi, mais… on file déjà vers le crossover Sins of Sinister, car le « chef » d’Orchis est révélé être un Nathaniel Essex, encore.
C’est bien, hein. Ca se lit, c’est intense, c’est bien fichu, mais… pff. C’est une série de poseurs, et de postures. De postures, d’abord, car on ne cesse de passer de statu-quo en statu-quo, avec de nouvelles orientations, de nouvelles directions pour la série et les personnages. Mais c’est aussi une série de poseurs, car les personnages ne cessent de se la raconter, de vanter leurs exploits en les faisant. Sérieusement, on dirait une bande de Vegetas ou de Cells, de DBZ.
Al Ewing me lasse vraiment, même si Stefano Caselli assure aux dessins et livre de belles prestations dynamiques.

Je ne suis pas sûr de rester après Sins of Sinister.

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Lié à la rumeur de l’éventuel retour d’Uncanny X-Men vers le 3ème trimestre (post-Fall of X ?) ?

C etait le chef d orchis et non des « progeniteurs » ?

J ai survolé ça rapidement hier.

Serie de poses et de poseurs, c est tout à fait ça.

Pour le coup ewing gagnerait à délayer la sauce afin de donner plus d ampleur aux et permettre plus de clareté sur les enjeux.

C est tout à fait l esprit.

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Sincèrement, je ne sais même plus… parce que ce pan de saga ne m’intéresse pas ou plus, après avoir été commencée et abandonnée pendant trop de numéros.

Oui j ai eu la flemme de verifier dans les episodes précédents dans quelle base cable etait. Mais j avais le souvenir que c etait lié aux progeniteurs.

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