Je n’ai pas lu la série principale, mais le remplacement avec le skrull a eu lieu pendant le run d’Alain Davis sur les 2 séries X-Men.
Et là révélation était dans cet épisode :
Je n’ai pas lu la série principale, mais le remplacement avec le skrull a eu lieu pendant le run d’Alain Davis sur les 2 séries X-Men.
Et là révélation était dans cet épisode :
Le Surfeur étant bloqué sur Terre (de 1966 jusqu’à 1987), il a fallu trouver une explication à sa présence au chevet de Mar-Vell (logé sur un autre planète).
Ce qui a donné deux chouettes épisodes de la série d’Englehart, dessinés par Joe Staton.
Jim
Pas un grand dessinateur dans mon souvenir, mais pas sans charme non plus, si c est bien lui qui etait le dessinateur regulier de la serie.
Un trait assez décalé avec le cosmique ou le superslip, perso maigres, postures très banales, ce qui donnait une ambiance tout à fait singulière au titre et pas sans charme comme déjà dit.
Il a fait ces deux épisodes.
Le dessinateur régulier, c’était Marshall Rogers.
Puis Ron Lim.
Tu parles sans doute de Rogers.
Jim
Yep, rogers.
Joli, Rogers.
Badoumm ba
Dan Hipp :
L’INCROYABLE HULK, la série TV :
LE RETOUR DE L’INCROYABLE HULK (1988) :
THE INCREDIBLE HULK vol.2 #25 :
Dans les derniers numéros de sa longue prestation, Peter David a suggéré que Bruce Banner était peut-être le responsable de la mort par radiations de sa femme Betty. Marvel n’a pas suivi cette piste puisque Joe Casey a révélé dans son court (et inégal) intérim que c’était l’Abomination qui avait empoisonné Betty, rebondissement supplémentaire dans la longue histoire de la rivalité entre les adversaires de toujours. Mais même après avoir appris la vérité, Bruce a laissé Emil Blonsky s’en aller, en partie à cause de la culpabilité qu’il ressentait toujours. Ce qui n’a pas été du goût de « Thunderbolt » Ross…
Dans les #24 et 25 du volume 2 de The Incredible Hulk, le général Ross a avancé ses pions et mis Bruce Banner sur la piste de Blonsky en déclenchant sa colère avec la triste vision du corps de Betty qu’il conserve en stase depuis plusieurs mois. Dès son arrivée sur le titre au #12, le scénariste Paul Jenkins a régulièrement mis l’accent sur l’univers mental de Hulk et la discussion entre Banner, le Hulk période Panthéon et Joe Fixit est intéressante avant de laisser la place à un autre Hulk, le sauvage qui a du mal à formuler des phrases de plus de trois mots.
Ces deux épisodes ont marqué les débuts de John Romita Jr sur la série et après un #24 qui pose efficacement les enjeux, la place est donnée à l’action dans le #25, le style du dessinateur étant naturellement adapté à ces protagonistes massifs et aux ramponneaux destructeurs qu’ils se balancent. La baston est spectaculaire, c’est intense, les décors s’effondrent, les coups font mal…même si la douleur est encore plus forte psychologiquement parlant comme le montre un final particulièrement cruel…
Phil Noto :