Trading Card de Rude :
Rude for team MJ :
and team Gwen :
Un pastiche des pubs « Hostess Fruit Pies » (au moment de l’événement Spider-Verse).
Spider-Verse #01
Spider-Man in “Late For A Date”
Script: Dan Slott
Art: Ty Templeton
Colors: Chris Sotomayor
Super-Team Family : Cosmos 1999 et Spider-Man 2099
Très « Ross Andru », non ?
Effectivement : ça ne m’avait pas frappé en le postant, mais maintenant que tu le dis, la parenté me semble évidente.
Jim
Ah ouais … dans le pure style d’Image, en fait.
Ouch
ECHEC AU STRATEGE (Amazing Spider-Man #31 à 33) :
Avec les #31 à 33 de Amazing Spider-Man (traduits dans Strange au début des années 70 avant d’être compilés…dans le désordre…dans l’album Echec au Stratège onze ans plus tard), Stan Lee et Steve Ditko ont orchestré ce qui était une première pour eux : une aventure en plusieurs chapitres. Cela correspondait à une période importante dans la vie de Peter Parker : l’entrée à l’université. Mais le jeune héros n’a pas pu pleinement profiter de ses premières journées car à peine l’inscription terminée, sa Tante May est tombée gravement malade.
Peter est donc vite retombé dans ses humeurs maussades et quand il a l’esprit occupé, il a beaucoup de mal à se concentrer sur ce qui se passe autour de lui. Il ne se rend donc pas compte qu’une camarade de classe s’intéresse à lui, une certaine Gwen Stacy qui faisait ici sa première apparition (tout comme Harry Osborn). Dessinée par Ditko, Gwen avait des traits un peu plus revêches et n’avait pas encore la douceur que lui donnera John Romita quelques épisodes plus tard.
Lee & Ditko passent efficacement de la vie scolaire troublée de Peter au problème principal qui mine l’Homme Araignée, dont la culpabilité s’accentue lorsqu’il découvre que c’est la transfusion de sang donnée à Tante May des mois plus tôt qui est la cause de ses ennuis de santé. Pour la sauver, il ne peut compter que sur un sérum également convoité par le Stratège, le chef d’un gang qui se révèlera être un de ses vieux adversaires, le Docteur Octopus.
Pendant trois épisodes palpitants, Lee & Ditko ne relâchent jamais la tension et mêlent action et drame tout en soignant le travail sur les personnages. Ce triptyque est également connu pour l’une des plus célèbres scènes de la carrière de Spider-Man, une démonstration de détermination, de dévouvement à ses proches, de courage et de puissance qui font des cinq premières pages de Amazing Spider-Man #33 un moment mémorable brillamment illustré par Steve Ditko !
ECHEC AU STRATEGE (Amazing Spider-Man #31 à 33) :
Avec les #31 à 33 de Amazing Spider-Man (traduits dans Strange au début des années 70 avant d’être compilés…dans le désordre…dans l’album Echec au Stratège onze ans plus tard), Stan Lee et Steve Ditko ont orchestré ce qui était une première pour eux : une aventure en plusieurs chapitres. Cela correspondait à une période importante dans la vie de Peter Parker : l’entrée à l’université. Mais le jeune héros n’a pas pu pleinement profiter de ses premières journées car à peine l’inscription terminée, sa Tante May est tombée gravement malade.
Peter est donc vite retombé dans ses humeurs maussades et quand il a l’esprit occupé, il a beaucoup de mal à se concentrer sur ce qui se passe autour de lui. Il ne se rend donc pas compte qu’une camarade de classe s’intéresse à lui, une certaine Gwen Stacy qui faisait ici sa première apparition (tout comme Harry Osborn). Dessinée par Ditko, Gwen avait des traits un peu plus revêches et n’avait pas encore la douceur que lui donnera John Romita quelques épisodes plus tard.
Lee & Ditko passent efficacement de la vie scolaire troublée de Peter au problème principal qui mine l’Homme Araignée, dont la culpabilité s’accentue lorsqu’il découvre que c’est la transfusion de sang donnée à Tante May des mois plus tôt qui est la cause de ses ennuis de santé. Pour la sauver, il ne peut compter que sur un sérum également convoité par le Stratège, le chef d’un gang qui se révèlera être un de ses vieux adversaires, le Docteur Octopus.
Pendant trois épisodes palpitants, Lee & Ditko ne relâchent jamais la tension et mêlent action et drame tout en soignant le travail sur les personnages. Ce triptyque est également connu pour l’une des plus célèbres scènes de la carrière de Spider-Man, une démonstration de détermination, de dévouvement à ses proches, de courage et de puissance qui font des cinq premières pages de Amazing Spider-Man #33 un moment mémorable brillamment illustré par Steve Ditko !
J’ai lu ça, assez jeune (je ne sais même pas si la colle tient encore) mais avec pas mal de lectures de Spidey quand même, et si, en soit, à l’époque, le déroulé de l’histoire ne m’avait pas paru si importante, cette image que tu montres m’a de suite marquée. Épatant quand même la force des images.
Guy Davis :