1962-2022 : BON ANNIVERSAIRE THOR !

Wow!

Marvel de A à Z : Les Géants de Jotunheim (par Javier Saltares)

Terry Austin (Marvel Fanfare #18) :

VIDEO GAME :

Thor fait partie des personnages jouables du jeu vidéo Marvel Ultimate Alliance sorti en 2006.

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Nick Derington :

Parmi les personnages de la collection qui ne sont pas du WW, il y a cette Thor par Simon Davis

Super-Team Family : Thor & Concrete

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MARVEL CLASSIC #12 :

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Entre deux aventures épiques (Mangog et Galactus, voir Marvel Classic #7, post 412 ), Stan Lee et Jack Kirby ont levé le voile sur le mystère Don Blake dans Thor #159 . C’est dans cet épisode que le duo a révélé que le chirurgien était une création de Odin, une construction mystique pour servir d’hôte au Dieu du Tonnerre afin qu’il apprenne l’humilité. Cette décision est illustrée par deux scènes surgies du passé dont le but est de démontrer l’impétuosité du jeune Thor mais elles ne sont franchement pas bien méchantes (il y a eu des descriptions d’un Thor plus arrogant les années suivantes).

Ce Marvel Classic passe ensuite aux #163 à 167, une saga en cinq parties qui suit l’arc avec Galactus. À peine revenu sur Terre, Thor est attiré par un phénomène en plein New York, une sorte de tourbillon temporel apparu au même endroit qu’un centre de recherche atomique. Lorsqu’il apprend que Sif y a été entraînée, Thor s’élance et est projeté dans le futur où il affronte des mutants commandés par le dieu Pluton. La puissance des dessins de Kirby est tout de même amoindrie par l’encrage fade de Vince Colletta qui raidit beaucoup trop les silhouettes.

Lorsque les choses reviennent à la normale, les asgardiens découvrent que le centre de recherche abritait un étrange cocon à la forme bien connue des lecteurs de Fantastic Four puisque c’est celui de l’être à la peau dorée que l’on nomme Lui. Le futur Adam Warlock était encore comme un adolescent qui ne contrôlait pas ses hormones puisqu’il s’empare de Sif à peine le regard posé sur la splendide guerrière (il était vraiment temps que d’autres scénaristes se penchent sur son cas). Un geste qui déclenche la rage du Dieu du Tonnerre pour un affrontement destructeur, point culminant de ces numéros qui restent (malgré quelques réserves) de bonne qualité même s’ils n’ont pas la force du sommaire de Marvel Classic #7 .

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Marvel de A à Z : Les Dieux de l’Olympe (par Rudy Nebres)

Alex Maleev :

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ALBUM TOP BD 14 :

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Je n’ai qu’un seul album relié Lug/Semic compilant deux albums TOP BD et ils ne peuvent d’ailleurs pas être plus différents l’un de l’autre. Le relié fait la jonction entre le dernier TOP BD de Lug , le délirant Hulk et la Chose de Jim Starlin et Bernie Wrightson et le premier de Semic, l’introspectif Thor de Jim Shooter, James Owsley et Paul Ryan.

Thor, I whom the Gods would destroy ( Maudit par les Dieux en V.F.) a du représenter une anomalie pour les lecteurs américains lors de sa sortie en 1987, une année qui correspond à la fin de l’excellente prestation de Walt Simonson et au début de celle de Tom DeFalco et Ron Frenz. Car le contexte de l’histoire ramène au début des années 80, plus précisément autour de Thor #336 , le dernier numéro avant l’arrivée de Simonson. La fin du premier segment de cet épisode annonçait justement un graphic novel de Thor resté aux abonnés absents. C’était un projet de Jim Shooter, alors rédacteur en chef de Marvel , terminé par James Owsley (plus connu maintenant sous le nom de Christopher Priest) et dessiné par Paul Ryan.

Maudit par les Dieux examine la dichotomie entre le Dieu du Tonnerre et son alter-ego qui n’était plus utilisé au moment de la publication, le chirurgien Donald Blake, créé par Odin pour que son fils apprenne l’humilité. Pendant son temps passé dans cette enveloppe humaine « diminuée » , Thor a appris à aimer son expérience de l’humanité, en contraste avec son existence immortelle. Et c’est justement ce qui cause son cas de conscience au début de l’album lorsque Don Blake échoue à sauver son dernier patient.

Ce récit est un mélodrame contemplatif qui m’a un peu ennuyé plus jeune. Mais même si j’ai appris à en apprécier certains aspects au fil des années (dont une démonstration de pouvoirs au feeling très Superman de Richard Donner), l’ensemble ne fonctionne pas totalement dans sa description d’un Thor/Don Blake plongé dans des pensées dépressives. C’est un autre genre de combat qui est mené ici, pas vraiment excitant dans son traitement tout en touchant parfois juste au détour de certaines répliques.

Graphiquement, Paul Ryan livre une copie efficace et claire, sans trop d’effets. Cela correspond bien aux aspects les plus ordinaires (ceux de la « vie de tous les jours » ) de l’histoire, moins aux rares incursions asgardiennes…mais l’encrage de Vince Colletta et les couleurs de Bob Sharen manquent particulièrement d’éclat.

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Joe Jusko :

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Chris Samnee :

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Super-Team Family : Indiana Jones & Thor

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Mahmud Asrar :

Cover process of Generations Thor.

"Last year around these times I was working with Jason Aaron on this fantastic book. One of my favourite collaborations ever. So here is how I generally complete a cover.

First I do a few digital sketches which get approved by editorial. Here you can see two thumbnails. Once one is picked I make a more fleshed out layout. Once everyone is OK with that, I move on to finishing the cover with ink on paper. Then it is forwarded to the colourist. In this case, masterfully done by Jordie Bellaire."

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Dan Panosian :

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Super-Team Family : Thor vs Mightor

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Tony Salmons :

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Olivier Coipel :

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