Ensemble ?
Je ne savais pas.
Jim
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Peter jeune papa devant jongler avec son emploi du temps, c est tout à fait « la même chose, mais pour d autres raisons » qui pourrait redynamiser le perso.
Et puis le nombre de blagues possibles avec un bebe, cela s ecrirait tout seul.
Alex Nikolavitch: "À cela, une raison narrative simple : la paternité (on l’a vu dans le cas de Franklin Richards, mais aussi dans celui de Star Wars) impose des contraintes fortes à la timeline. On ne peut pas avoir un Reed Richards de 24 ans et un Franklin qui en a 9 (enfin si, on pourrait, mais ça changerait la dynamique du personnage). De plus, la paternité contraint l’emploi du temps du héros, à moins d’en faire un père absent. Et modifie sa dynamique propre. Un héros qui devient père, il perd vite son rôle dramatique de héros pour endosser celui de mentor. Un héros qui a un père, il devient difficile pour lui de faire son apprentissage par lui-même : voyez les trésors de coups de théâtre que doit déployer Kirkman dans Invincible pour autonomiser son héros. Selon les cycles classiques, le mentor doit disparaître en cours de route. Accessoirement, c’est peut-être moralement moins problématique de mentir à Tante May qu’à Maman.
Et une série basée sur la transmission père-fils est forcément finie dans le temps. C’est le cas du magnifique Starman, de James Robinson, qui explore en profondeur les implications d’avoir un père et un fils héros. Il arrive fatalement un moment où il faut mettre fin à l’expérience pour éviter de la galvauder."
Contrairement à DC, c’est ça que tu veux dire ?
Jim
Peter est le perso tout trouvé pour eviter cet écueil.
Le père depassé mais de bonne volonté, le père qui n y arrive pas des masses mais présent.
Avoir un bébé, ca met un coup de jeune tout de même dans une bd pour peu d en faire un vrai perso.
en general fred a raison mais à un moment où DC avait radié la JSA de sa terre principale, viré West etc Marvel eux avaient les YA, les Champions… Ca me parait là aussi pas si clair.
D ailleurs quand Didio annule les mariages, les enfants et tout c est un souci de rajeunir ses personnages
Je sui splus en phase avec l analyse de Nikolavitch sur ce sujet.
Mais en même temps je trouve ca dommage… ce qu impliquait Ian Rogers par exemple et ce que dessinait Remender dans les relations Ian/Stve/Sharon ou Ian/Sam je trouvais ca passionnant…
Sachant que chez Wells, il y a deux gosses dont l’identité des parents biologiques reste mystérieuse.
Attention Fred, tu parles de series des 70’s, voire 80’s, qui sont écrites par des scénaristes ayant vécu le changement de la société américaine, et qui en sont le reflet. Et ça concerne des titres obscurs.
La première fois où j’ai réalisé que ces super héros avaient une sexualité, c’est quand les Richards annoncent à Ben qu’ils auront un 2ème enfant. Et c’est la réplique de ka Chose qui m’a fait comprendre qu’efgectivelent, « ils n’ont pas fait que de l’exploration dans la zone négative ».
Et encore une fois, en terme de descendance, je ne parle pas de Tigra ou de Spider Woman, qui sont des personnages inconnus ! Je parle des enfants de Wolverine, de Colossus, de Spider-man, qui n’existent pas, ou qui sont un problème. Parce que oui, ça veut dire qu’ils vieillissent.
Et attention, il y a une sexualité inoffensive (Thor ou Logan en ont une), mais elle ne débouche sur rien.
Alors, ça fait des années que je ne lis plus Spider-man, mais lors de Secret Wars, il y a eu une alternative qui fut abordée, avec la petite. Et elle était plutôt cool (même si je n’ai pas trop aimé la mini à cause d’un méchant complètement nul !)
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S ils annoncent au final que les parents sont mj et peter les haters vont instantanément trouver plein de qualités au run.
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Oui.
Il n’y a qu’à voir le cas Damian Wayne.
Bon, Zebb Wells ou Terry Kavanagh* ne sont pas Grant Morrison.
- parce que lui, je l’adore, avoir fait passer la relation tordue entre X-Man et le clone de Madelyne Pryor, je ne saurais jamais si le mec avait conscience de ce qu’il proposait !
Wally West aujourd’hui, quoi !
Jim
Pour Peter, c’est d’autant plus rageant de le figer ainsi que Miles est désormais là pour incarner le Spider-Man ado.
Hop :
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L’opinion de Slott sur le sujet (partagée par d’autres chez Marvel) : https://twitter.com/DanSlott/status/1614851984888311808?cxt=HHwWgMDRweHUjeksAAAA
If I didn’t think it was cool to read stories about Peter Parker being a dad, I wouldn’t have pitched/written RENEW YOUR VOWS.
I’m all for characters like Peter B. Parker in alt-Earths somewhere in the Spider-Verse.
Tho I think Peter Parker in the 616 works fine as is.
My 2¢.
I think it works perfectly fine… on another Earth in the Spider-Verse. Which is exactly what people got in SPIDER-GIRL and what they’ll also get this summer in the movies.
That’s part of the beauty of the Spider-Verse.
Because the 616 continuity is the « main » continuity.
And Peter Parker/Spider-Man is an iconic character that, while going through the « illusion of change », needs to be around for each new generation of reader in a certain way.
The « illusion of change » has held up for over 60 years for most Marvel Characters.
And, end of the day, for people who do wanted to follow the adventures of a Peter Parker who’s married with children, there are always collections of SPIDER-GIRL and RENEW YOUR VOWS and movies like this summer’s ACROSS THE SPIDER-VERSE.
That way, everyone wins.
Franklin and Valeria exist in FANTASTIC FOUR, a book whose buy in is « family ».
That’s not the buy in for Spider-Man.
Yes, Miles is Spider-Man.
But Peter Parker/Spider-Man is an icon in all of fiction.
Saying he should « fade away » would be like asking Disney to arbitrarily let Mickey Mouse « fade away ».
Peter Parker/Spider-Man will be there for every new generation of readers. And that’s okay.
Stan frequently said that if he knew the Spider-Man character/franchise/book was going to run for so long, he would have left Peter in high school for far longer.
Every current generation says that as they want the characters to move along with them.
Illusion of change is good-- and fair-- for each new generation that discovers these icons for the first time.
Sharing the toys also means sharing the toys with the new kids.
Illusion of change does NOT mean never doing anything new though. That’s the challenge of writing for established characters: finding stories that have never been told w/ them, while still being the iconic characters that every generation enjoys reading about, both new & old.
It’s a convention of comics.
Sometimes, when a reader has been following the comics for so long, but not willing to allow for the illusion of change (or reaches a point where it bothers them) that’s their step off point for that franchise.
That’s understandable.
Mon cas étant peut-être un cas isolé, j’y vais quand même . Je n’ai jamais été fan de Spider-man, parce que le héros pleurnichard qui doit galèrer pour aider sa tante et payer des factures, je m’en fichais ! Par contre (et c’est aussi pourquoi je trouvais le Ultimate Spider-man de Bendis très bien) j’aimais dans les aventures de Parker les triangles amoureux, les relations entre les personnages gravitant autour de Peter. Pour un ado, les triangles amoureux, couplé aux responsabilites qu’impliquent les pouvoirs et la culpabilité, c’est synonyme de l’indecis. Le personnage doit choisir ! Et ce choix (quelle fille j’aime, qu’est-ce qui est le plus important ? Ma tranquillité ou la prise de risque ?), tout le monde l’a connu à un moment. Spider-man est un archétype qui fonctionne sur ce moteur.
Le voir en chef d’entreprise, ou marié, ça ne touche certainement pas les enfangs/ado, et si c’est pour le voir galèrer pour payer son loyer ou nourrir sa famille, pour un adulte, la question de la responsabilité « réelle » se pose (faudrait peut être raccrocher le costume, après tout, c’est pas les super héros qui manquent).
C’ est l’une des raisons qui fait que Spider-man est un personnage qui est difficile de faire évoluer, encore plus si on évite la question de l’héritage. Et le nom Peter Parker étant lié à celui de Spider-man, c’ est tout aussi difficile de passer à autre chose.
Bon exemple.
Alors, en voilà un qui me fera lire le titre sans trop d’hésitation (sauf s’il ne réalise que les couv’) :
Wolverine par Greg Capullo (projet en cours)
Tiens donc.
Jim
Bah justement j ai cru comprendre qu’il ferait pas mal de couverture pour marvel avant d’attaquer un gros projet.
Et qu’il préfère désormais s’occuper de séries limitées plutôt que de longs runs sur des ongoings.