The cover to New X-Men (2004) #1 by Randy Green, Rick Ketcham and Richard Isanove
Coipel :
Paolo Rivera :
Kris Anka :
Nick Bradshaw :
David Lopez :
The New X-Men // pencils, inks and colors by Gianluca Maconi (~gianmac, 2009)
Ma femme et moi aimions beaucoup cette série.
J’ai beaucoup aimé ce petit titre, aussi.
Eh eh eh … je t’attendais.
Je refuse de décevoir !
Plaisir d’offrir, tout ça…
AKA l’éternel débat (bien/pas bien).
« I warned my young apprentice that as he grew stronger, his equal would rise. »
C’est là-dedans qu’il y a les numéros avec Magik par Sottie Young ? J’avais bien aimé cette partie-là il me semble (jamais relu depuis la parution VF).
Oui, quand la série est devenue juste New X-Men, après le massacre du bus par les extrémistes humains.
D’abord, il y a plusieurs équipes de jeunesmutants avec des X-Men en tuteurs, comme les Hellions coachés par Emma. C’était cool.
Qui finira par être remplacé par le titre de Guggenheim (très anecdotique selon mon vague souvenir) :
NEW X-MEN #139-141 (2003) :
Résoudre le meurtre d’Emma Frost ; voilà ce qui amène Bishop & Sage (des guest-stars de passage et aussi représentants du X-Treme X-Men de Claremont et Larroca) dans cet arc en mode « whodunit ».
Phil Jemenez prend à cette occasion la relève de Frank Quitely (réuni avec Morrison quelques mois plus tard, à l’occasion de leur renommé All-Star Superman). Mais avant d’élucider ce meurtre, Morrison met d’abord en scène un face-à-face entre les rivales Jean Grey et Emma Frost (toutes deux amoureuses du même X-Man), permettant à la série de revenir dans le giron du soap opera avec ce réglage de comptes (Emma n’en sort pas indemne, après avoir été confrontée de force à son passé, en admettant même que ses sentiments envers Scott Summers ne se limitent pas qu’à de la luxure).
Meurtre, adultère, émeute ou encore consommation de drogue : il y a définitivement quelque chose de pourri au royaume de Westchester, et l’instigateur (« hiding in plain sight » comme diraient les anglo-saxons) s’apprête à bientôt dévoiler son identité, durant cette fin de run plutôt mouvementée et clivante.
Quentin Quire : « What if the real enemy…was inside…all along ? »