Oui jusqu a la vi
Merci.
Bah ma surprise, c’est de remarquer tardivement qu’il y avait des noms à côté du croquis. Si je les ai vus, je n’avais jamais noté.
Tu ne parles pas de ça.
Ensuite, ce sont des noms en anglais.
Tu ne parles pas de ça.
Je ne sais pas trop pourquoi, mais je m’étais persuadé que, lorsque Romita fait ses premiers croquis, le nom avait été adopté. Je n’avais pas saisi que les deux recherches, onomastique et graphique, s’étaient faites en même temps.
Tu as raison, mais sur ce coup, je suis formel : j’ai été surpris quand j’ai acheté le premier numéro de la Version Intégrale de Semic, il y avait le nom américain et pour moi c’était un changement. Je m’en souviens bien, j’étais à la gare de Saint-Lô et je venais de prendre le magazine au point presse avant d’attendre mon train.
Voilà.
Jim
Ouais. ça, c’est pas précisé dans l’édito.
Tu veux, que moi, je parle de nom anglais ?
(dans l’édito, c’était traduit)
Là, pour le coup, j’ai sûrement saisi à ma sauce, mais c’est expliqué comme ceci dans l’édito.
Disons que quand tu dis « de mémoire », j’attends une caution !
Faignasse.
T’as pas tort.
Jim
En fait, la raison initiale pour laquelle j’ai chroniqué six épisodes de Punisher War Journal dessinés par Mark Texeira, c’est qu’en fait j’ai le numéro #31 chez moi, et j’étais curieux de le lire. Ce que j’ai fait, puis j’ai cherché sur le net la suite, et j’ai regardé les épisodes d’avant, et le bidule entraîne le bidule, tout ça tout ça…
Donc, Punisher War Journal #31, pourquoi je l’ai ? En l’ouvrant, la réponse est évidente : il est dessiné par Andy Kubert et encré par Joe Kubert. C’est musclé, avec une sacrée ambiance. Le seul reproche graphique que je ferais, c’est la couverture peinte par Joe Jusko, assez raide et pas du tout à niveau.
Le principe est tout bête : le Punisher suit une piste concernant des trafiquants de drogue, qui le mène à Fairbanks. Bien entendu, il laisse traîner ses oreilles et tombe sur une autre affaire, un trafic d’armes.
Avec l’aide de Microchip, il assemble les pièces du puzzle et découvre qu’un général renégat venant du Kamchatka s’allie à un groupuscule d’éco-terroristes, le HOP (pour Humans Off Planet, un groupe qui reviendra dans les aventures du Punisher). Il parvient à se faire passer pour un émissaire du général afin de choper quelques informations puis croise une ancienne actrice acoquinée avec les militants.
Frank Castle découvre que l’enjeu des transactions, qui ressemblent à un billard à trois bandes, c’est la destruction d’un pipeline. Apparemment, le groupe écolo cherche à démontrer que la nature est en danger, mais ça cache quelque chose.
L’action, bien entendu, se déplace au nord, dans la neige. Le Punisher veut aller voir et Microchip le rejoint bientôt, avec tout un arsenal. Ça flingue, ça bastonne, on a droit à quelques scènes jamesbondesques de poursuite à ski, ce genre de choses.
L’association du père et du fils fonctionne à merveille. Les ombres qu’Andy aime placer un peu partout sont traitées avec l’encrage rond et gras, et pourtant nerveux, de son père, c’est expressif et les lumières sont bien travaillées. De l’action nerveuse comme il faut.
À la fin de ce premier épisode de la trilogie « Kamchatkan Konspiracy », Frank et Micro découvrent que le général renégat ne se contente pas de fournir des armes aux écolos, mais soutient leur entreprise de détruire le pipeline. Frank décide de s’en mêler.
Les deuxième et troisième parties sont dessinées cette fois par Ron Wagner, un dessinateur assez académique mais dont la maîtrise de l’anatomie et le goût pour les scènes d’action correspond à merveille à la note d’intention du titre. Le deuxième volet est encré par Mark Pennington, pour un résultat soigné, mais le troisième est embelli par Dan Green et il y a un plus évident, on se rapproche de la richesse du premier épisode.
L’intervention du Punisher, et surtout la brutalité du général, fait progressivement changer d’opinion l’actrice en quête d’une cause à défendre. Elle et ses associés écologistes découvrent que le général les a manipulés dans le but évident de fragiliser la Russie récemment éclatée et d’obtenir par la force l’indépendance.
Le dernier volet voit l’étrange trio de héros se rendre en Sibérie afin de déloger le général de la raffinerie dont il a fait sa base. Graphiquement, sans être à la hauteur du premier volet, cet épisode est très agréable, Dan Green travaillant les ombres et les matières.
Le général renégat s’allie à un vieil ennemi du Punisher, Saracen, qui fait ici son retour après l’aventure sicilienne. Mike Baron utilise le personnage comme cible de la haine du Punisher : responsable de la mort de la partie italienne de sa famille, il incarne une vengeance inassouvie, ce qui permet au scénariste de donner une dimension complémentaire à la croisade du justicier.
Autre particularité de l’épisode, une scène de baiser entre Frank et l’actrice, qui annonce une séquence plus intime. Comme le souligne notre Mallrat national, le Punisher n’est pas à une conquête près dans la version de Baron, et la liste des « Puni-girls » s’allonge. « Il faut bien que le corps exulte », disait Brel.
À la fin du récit, Saracen est dans la ligne de mire du Punisher. Mais l’arme de ce dernier est vide. La vengeance est pour demain…
Le premier épisode ressemble à du Mike Baron classique sur ce titre : un chapitre dense, elliptique, parfois bavard afin de compenser toutes les ellipses et de donner plein d’informations avant les bastons. Les deux suivants, un peu moins condensés, sont plus fluides et laisse aux personnages un peu d’espace afin d’être caractérisés. Dans l’ensemble, une aventure agréable à suivre et assez plaisante à regarder.
Jim
CAPTAIN AMERICA #241
2 ans après le dernier Amazing Spider-Man où il était apparu, le Punisher change de décennie en s’invitant dans les pages de la bannière étoilée de Marvel.
Mike W. Barr concocte une petite histoire qui tourne évidemment autour de la pègre, mais plutôt en mode local, puisque cela va se cantonner au quartier où vit Stev Rogers, dessinateur de comic book en recherche de travail. Le Captain va tenter de sauver un « messager de la pègre » des flingues du Punisher, qui essaie de lui octroyer des informations sur le prochain lieu de réunion. Cependant, Cap n’est évidemment pas au courant de cela, et il n’apprécie pas particulièrement les méthode de Castle, qu’il ne connait que de réputation. Cela étant dit, étant donné qu’il avait déjà sauvé par hasard cet informateur des pattes de deux truands, il se doute qu’il se trame quelque chose. Il se rend sur le fameux lieu de rendez-vous secret, se bagarre avec le Punisher, ce qui attire évidemment ceux que ce dernier voulait éliminer. Captain America est alors obligé de s’acoquiner avec le « Punisseur » pour contenir et arrêter le gang, aider par une agent fédéral sous couverture, que Castle pensait pourtant être de la pègre et qu’il aurait éliminer sans remords. Elle en rpofite pour l’arrêter, mais il use de sa dynamite pour s’échapper.
Donc, petit épisode datant de janvier 1980 (sur la couverture), à la fois dans la biographie du Punisher, comme dans le grand plan du Captain. Quand on connait assez peu les histoires de cette époque, il est intéressant de voir comment le vétéran de la 2-me GM était intégré dans l’univers Marvel, et finalement, ses histoires ressemblaient un peu à celles d’autres héros en solo, avec un supporting cast, un boulot précaire, des changements de vêtement dans la rue … ouais, il manque plus que la veine de Parker pour qu’on s’y trompe.
Cependant, l’intérêt est quand même dans la rencotnre entre ces deux ex-soldats, et là, le Punisher montre que son respect (ou son admiration) envers son aîné est bien moins important que la mission qu’il s’est donnée. Cela étant dit, il réfléchit quand même sur son attitude envers lui.
De son côté, Cap reste Cap, il est respectueux, toujours droit dans ses bottes et ses idées, avec une attitude constructuve. Mais il a quand même un avis sur le bonhomme, para rapport à ce qu’il en sait, et ce qu’il a vu (sans se préoccuper de ses motivations), et la comparaison avec les méthodes des nazis finie quand même par arriver. Mais cela reste léger, et cela ne revient pas par la suite, dans l’épisode. Mais c’est clairement sous-entendu.
Pour compléter, le dessin est assuré par Frank Springer et Pablo Marcos. Solide, dynamique, dans le ton et le style de l’époque, et avec un travail sur les ombres un peu différent de ce qu’on pouvait voirà l’époque chez Spidey.
Quelque temps avant de réaliser What If volume 2 #44 où ils expliquent ce qu’il advient quand Frank Castle est possédé par le symbiote Venom, Kurt Busiek et Luke McDonnell travaillent déjà ensemble sur What If #26, où ils se demandent ce qui se serait passé si le Punisher avait tué Daredevil.
Ils sont aidés en cela par la lettreuse Janice Chiang et le coloriste Tom Vincent, formant donc la même équipe qui sera réunie deux ans plus tard. Le travail de ces derniers n’est d’ailleurs pas pour rien dans la qualité de ce numéro et du jeu de références qui est mis en place, on le verra.
Le récit s’articule autour des événements de Daredevil #183, faisant partie du diptyque dans lequel le Punisher et Daredevil se frotte à un trafic de drogue touchant les écoles (une histoire prévue au départ durant la période McKenzie, refusée par la Comics Code Authority, mise dans un placard et ressortie un peu plus tard, ce qui explique les changements visuels qu’on peut y déceler : il faudra un jour revenir sur ces deux épisodes plus en détail).
Busiek et McDonnell postulent donc qu’un coup de semonce du Punisher fait trébucher le justicier aveugle qui, après sa chute d’un toit, est identifié à la morgue, ce qui entraîne un enchaînement de causes et de conséquences plutôt bien troussé.
En premier lieu, la pègre est informée, et le Kingpin au courant, un peu plus tôt que dans la continuité classique. La presse aussi, bien sûr. Et puis, la communauté super-héroïque. Si bien que Spider-Man se met en tête de retrouver le Punisher.
Le récit introduit aussi la figure de Ben Urich, protagoniste important des prestations de Frank Miller sur le titre. Le travail de Janice Chiang est assez subtil en ce sens qu’elle utilise une police en bas de casse pour représenter la voix off du journaliste, renvoyant d’emblée au travail soigné dans Daredevil (et notamment le premier run de Miller : j’aurais parié que c’était John Costanza, mais en fait, après vérif, c’est Joe Rosen, notamment dans Daredevil #179).
La tension entre super-héros augmente et, après un dernier combat musclé, Spider-Man est hospitalisé. Son identité est elle aussi revélée, ce qui entraîne une attaque du gang de Silvermane contre la maison de May Parker, qui décède dans l’explosion. Les super-héros reçoivent l’ordre, de la part de la Maison Blanche, de ne pas intervenir et de laisser les forces de l’ordre régler le problème.
Les références visuelles à Daredevil - Born Again ou à la narration par écrans télé que Miller a utilisée dans Daredevil ou dans Dark Knight sont nombreuses, et McDonnell se débrouille très bien pour connecter ce récit à des œuvres marquantes des années 1980.
Le jeu de massacre continue, avec l’assassinat de Franklin Nelson et de Ben Urich. La panique saisit les sphères des médias et de la politique. Tout s’emballe, une guerre des gangs fait rage, et le récit montre de manière intéressante que l’esprit obnubilé de Frank Castle ne saisit pas réellement la nature des événements. Après sa confrontation face à Cloak & Dagger, il cherche à qui profite ce chaos, et en déduit qu’il y a une tête pensante là où, en définitive, les auteurs nous montrent surtout des actions menées par des opportunistes et des revanchards, déstabilisant les équilibres.
Bien entendu, quand on songe à une tête pensante, on se tourne vers Wilson Fisk, le Kingpin. Mais avant de faire face à ce parrain de la pègre, Frank Castle doit affronter un Peter Parker rendu fou par le chagrin, et qu’il doit abattre pour sauver sa vie.
La confrontation entre le justicier expéditif et le patron du crime est violente. Le héros est à bout de force, hanté aussi par ces morts inutiles. Et, comme les auteurs ont pris le soin de le montrer dans l’épisode, il a toujours des plans de secours.
En l’occurrence, une bombe, qui permet d’emporter ses cibles dans la mort. Non sans avoir eu confirmation qu’effectivement, il y avait un planificateur derrière ce jeu de massacre. Un jeu très bien huilé par des auteurs inspirés. McDonnell, notamment, livre une prestation très agréable, où il s’encre lui-même et semble prendre plaisir à réinterpréter tout un univers graphique marquant.
Jim
Le Punisher fait la une de plusieurs numéros de la seconde série What If (qui durera 114 numéros en tout). Normal, le personnage est, depuis la première série, devenu l’une des vedettes du catalogue.
C’est un anti-héros, un personnage incarnant une morale rigide associée à un manque criant de scrupules, un mélange qui fait du personnage un être bien éloigné des idéaux super-héroïques. Quoi de mieux que de le confronter au super-héros par excellence, Captain America ?
Mieux, Simon Furman et Paris Cullins, les auteurs, optent pour un parti-pris tranché : et si le Punisher était devenu Captain America ? Ils n’hésitent pas à composer une intrigue qui commence de manière assez étonnante. D’ordinaire, les What If s’ouvrent sur l’évocation d’une péripétie connue des lecteurs, puis font apparaître le Gardien qui explique à quel moment la divergence se produit, afin de débuter l’exploration de cette nouvelle ligne temporelle.
Ici, au contraire, ils ouvrent sur une séquence in medias res, dans laquelle les Vengeurs mènent une attaque contre un retranchement de super-vilains, tous liés au crime organisé. Il ne faut que quelques pages pour comprendre que le Captain America que nous observons n’est pas celui qu’on connaît.
C’est là qu’intervient le Gardien, qui nous renvoie à Captain America #212, un épisode où, dans « notre » continuité, Cap échappe à une bombe. Mais dans cette autre réalité, il est grièvement blessé et dans l’incapacité de continuer sa mission. Avec l’accord de Nick Fury et l’approbation du gouvernement, l’armée se met en tête de trouver un remplaçant. On saisit que le Gardien remonte dans le temps et reprend son récit plus tôt, afin d’expliquer les circonstances ayant mené à la séquence d’ouverture, construction assez rare dans la série What If.
Le premier choix de l’armée, désapprouvé par Fury, est Frank Castle, un soldat valeureux aux états de service impressionnants. Mais le soldat, toujours en Extrême-Orient, refuse.
Les autorités se tournent donc vers d’autres candidats, et les auteurs s’amusent à donner un destin à divers personnages dans cette continuité : John Jameson, Robert Diamond, Leonard Samson ou Kyle Richmond. À chaque fois, ça se passera mal et les cases renvoient à différentes péripéties que les lecteurs fidèles peuvent, possiblement, reconnaître.
Là où les deux mondes parallèles se croisent à nouveau, c’est au moment de la mort de la famille Castle sous le feu d’un règlement de comptes. La aussi, Furman et Cullins tordent les habitudes éditoriales : divergence pour Cap, convergence pour Frank.
Traumatisé par son deuil, Frank Castle finit par accepter sa mission. Cependant, au bout d’un certain temps, la tentation est trop forte et l’ancien soldat range le costume tricolore pour endosser à nouveau son costume à tête de mort et liquider la mafia de nuit. Ce tourbillon de schizophrénie n’est pas du goût de l’armée qui craint que l’opinion publique n’apprenne que le nouveau symbole de l’Amérique est aussi l’assassin qui terrorise la pègre… et une partie de la population.
Sam Wilson, le Faucon, tente de raisonner le justicier. Mais rien n’y fait. Il tient à poursuivre sa mission, et à profiter de la logistique du Manoir des Vengeurs tant que c’est possible.
Mais à l’occasion d’un énième mission nocturne contre un gang qu’il traque depuis longtemps, le Punisher doit faire face à une autre figure héroïque. Captain America est revenu. Mais durant la confrontation, il apprend, et le lecteur avec lui, que Steve Rogers est mutilé et recourt désormais à un bras cybernétique (tiens tiens : Ed Brubaker a-t-il lu cet épisode ?)
La présence du héros finit par faire prendre conscience à Castle de l’importance de sa mission : Captain America doit être un homme seul, sans pouvoir, sans arme, afin de continuer la lutte et d’inspirer les gens normaux.
Cet épisode fait partie des récits qui ne se dirigent pas vers des apocalypses grandioses ou des drames pathétiques. Au contraire, à la fin du récit, Castle devient le nouveau Captain America, renonçant à sa soif de vengeance, tandis que Rogers endosse l’identité du Captain. Les deux hommes, dans cette ligne temporelle, semblent avoir trouvé un destin à leur hauteur.
Et là encore, on découvre des associations saugrenues de visuels, d’esthétiques, de thématiques. Mash-up ? Ère prismatique anticipée ? Allez savoir. Toujours est-il qu’une fois de plus, la série s’impose en laboratoire d’idées, dont certaines déclinaisons pourront être observées des années plus tard dans les séries régulières.
Reste un épisode rapide, et au final assez souriant, plein de clins d’œil, dans lequel Paris Cullins livre de grandes cases et s’amuse comme un fou à jouer avec la représentation héroïque.
Jim
C est gruenwald qui lui retire ca…
Et la encore il est au top a cette epoque entre mckenzie et stern… au niveau cast mais aussi niveau appart et tout
La deveine parker c est de conway à gerber… il a meme a un moment un proprietaire bailleur qui fait penser a celle que parker a a la meme epoque… avec un appart miteux
Il n ajuste pas la tante qui habite en maison individuelle avec exterieur dans un quartier peripherique
Apres c est un episode faiblard dans l une des nombreuses phases entre deux runs où on a des episodes au lieux oubliables…
Aux lieux ou au mieux ?
Rudy Nebres
Au mieux car il y a quelques kupperberg qu on ne peut pas oublier… jamais…
A gerber ou à Gerber ?
La petite vieille qu’on voit dans l’épisode avec le Punisher, c’est pas mal quand même.
Steve…
C est la ou il a un escroc comme proprio…
Ce sont mes premiers cap…
En yout cas chouette tes reviews
Donc, si je comprend bien (parce que c’est quand même pas facile à suivre, un dimanche matin). Les runs de McKenzie et Stern, ok (bon, ça, je savais déjà). Mais entre les deux, c’est faiblard, c’est ça ?
Tu parles à Jim, là ?
Parce que sinon, je ferais des « reviews », moi ?
C est une voisine… pas la famille qui vit quand meme dans une maison…
Oui mais je te disais au depart qu a ce moment la il est au top…
Un boulot stable. Un bel appart a brooklyn avec des voisins sympas…
Malgre la mort de sharon… je dirais que c est le debut de sa periode personelle la plus heureuse
Jusque la meme quand il est flic on lui remet ine sorte de sergent duffy comme dans le golden age (son jameson avant jameson)