1974-2024 : BON ANNIVERSAIRE LE PUNISHER !

Ouais. Mais de là à ce que pour nous, ce soit des épisodes « top »… vraiment ?

Euh je disais que c etait pas top.
Cet episode fait partie des oubliables…pas des pires.
Par contre c est une periode fill in mauvais entre 2 bons runs mckenzie et stern/byrne
Comme il y aura entre stern et dematteis avec des débilités par des auteurs connus

Periode top pour le perso qui est dans une periode ou sa vie privé est au top

Oui, il insiste sur le côté ancien combattant (c’est Gruenwald qui fait le coup des arriérés de pension militaire, qui permet à Cap de créer une hotline, non ?). J’aime bien quand tout ceci conduit à reconstituer un casting de professionnels au service de la hotline, avec Peggy Carter, John Jameson en pilote, tout ça… J’aime bien la logique, mais c’est vrai que le casting « civil » est un peu maigre. Il faudra attendre les épisodes de Ron Lim pour voir Bernie Rosenthal revenir (quand j’ai lu l’épisode, je ne l’ai pas reconnue, j’étais déçu).

Le ventre mou, ouais.
En partie lié au fait que l’editor (Salicrup, non ?) a du mal à trouver une équipe fixe.
Ça se lit, mais c’est jamais wahou.

Jim

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Ok merci !

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Je dirais ça, ouais.
Et après le départ de Stern, ça retombe. Mais ça dure pas aussi longtemps, de mémoire.

Jim

Oui la periode avengers crew est cool…
Mais j aime bien aussi avec falcon dman nomad et vagabond.
Mais gru lui enleve toute vie privé… Steve Rogers n existe plus… et il n y a guere que recemment que lanzig et jelly le ramene… (un peu jurgens pour etre honnete)

5 ou 6 numeros… dont 2 ou 3 avec zeck

Le truc c est qu il semble que la periode dont est issu cet episode soit comme ca car on refuse des histoiresxa mc kenzie… celle de la presidence puis celle que miller changera pour marvel fanfare…
D ailleurs y a quelques mckenzie dans le lot (le bel episode avec la « vieille » et le nazi tres claremontien)

Je crois que le depart de mckenzie est pas si decidé au depart

J en parle un peu ici

et marko parle un peu de la secone vague de fill in entre stern et dematteis ici

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Bah ouais, la preuve.

C’est d’ailleurs assez épatant : comme si personne ne voulait écrire Captain America à l’époque. Des périodes creuses, toutes les séries en ont connu, et des périodes à fill-ins, aussi. Mais qui durent aussi longtemps, sans direction palpable, c’est quand même assez rare.

Jim

J’ai repris la lecture VO avec la période Ron Lim. Et très vite, j’ai chopé le TPB « Bloodstone Hunt ». C’est vraiment mes retrouvailles avec le personnage (à l’exception de deux trois numéros épars de la période Tom Morgan). Et j’aime bien.

Moi aussi (dans l’ensemble, à part sur la toute fin, j’aime bien les Gruenwald : c’est jamais génial mais y a toujours un petit truc qui fait que j’ai envie de lire la suite). Mais faut reconnaître que ça manque de personnages civils, sans pouvoir.

C’est ça.

Sur la lancée de Waid.

Jim

Y a un côté flou artistique, quand même : c’est la série qui en pâtit, au final.

Jim

Gru je pense qu il y a deux grandes periodes: The Captain puis Bloodstone Hunt à Streets of Poison…
Je dis pas que le reste est nul mais c est plus oublioable… y a des bonnes idées ci et là mais les deux periodes que je cite tiennent vraiment bien.

evidemment mais je pense qu au départ on nous balance des fill-ins car in refuse ses deux histoires à mckenzie… 2 histoires qui auront des versions Stern d ailleurs…
Et qu ensuite ben McKenzie semble moins investi… moins savoir où il va… donc une periode bof…
Puis le départ de Stern/Byrne est rapide…
Zeck arrive vite… mais déjà la première saga de dematteis (nomad 2, ameridroid…) c est au départ un album qui devait sortir au moment du 2eme téléfilm (ou du premier) où Nomad est en fait l acteur (machin brown)… c est annulé et on demande à dematteis de reformater l histoire en comic pour du fill in… et c est avec ce travail qu il obtient le mag… c etait pas prévu non plus au départ.
D ailleurs cet arc est un peu bancal par rapport à la suite même si le skull est déjà dans une position bussiness man que dematteis gardera…

Et je crois qu Englehart aussi avait eu le mag car personne n en voulait…
j ai pas l impression non plus que Gruenwald ait du se battre pour le garder :wink:
Alors qu aujourd hui pas mal d auteur que j ai vu à angouleme ou ailleurs aimeraient ou ont eu un projet
C est pour ca que je suis toujours déçu que Miller aient pas un peojet car il me semble que lui ce perso lui parlait…

Oui, je partage l’avis.

Je connaissais l’histoire (pour l’avoir lue ici, sans doute) mais je n’avais pas saisi que ce récit était sa clé d’entrée pour la série. Vu ce qu’il a fait dessus, tant mieux.

Jim

L’anthologie Marvel Comics Presents offre à chaque numéro de ses livraisons bimensuelles quatre aventures de héros divers. Wolverine fera partie de la première fournée (avec la légendaire saga de Madripoor) et la présence du mutant griffu s’avèrera un tel plus qu’il finira par s’installer à demeure, alignant des feuilletons plus ou moins inspirés (le Weapon X de Barry Windsor-Smith sera publié dans ce titre). Souvent, la quatrième histoire est un récit en solo.

Dans Marvel Comics Presents #59, après les chapitres consacrés à Wolverine, Werewolf et Sub-Mariner, c’est le Punisher qui occupe cette quatrième partie. Le récit est signé Marcus McLauren, qui assure également la couleur), avec des dessins et un encrage de Dan Reed, qui livre des planches fortement inspirées par Neal Adams, avec des relents de Michael Golden.

Le Punisher est coincé dans un entrepôt. Une voix off nous décrit la situation, précisant qu’il est là depuis des heures. Au même moment, un gamin armé d’un pistolet mitrailleur entre par une fenêtre de l’immeuble.

L’astuce du récit, c’est que la voix off est celle d’un troisième personnage, un businessman, comme il se définit lui-même, un entrepreneur vivant à fond le rêve du capitalisme. Cet homme, monsieur Ling, a donné au jeune Timmy un jouet, une fausse arme en lui disant qu’il pouvait aller s’amuser dans l’entrepôt.

La voix off nous fait comprendre que le locuteur a tenté de sacrifier le petit Timmy afin de déstabiliser le Punisher, s’inspirant de la rumeur selon laquelle le justicier a entamé cette carrière après la mort de sa famille. Bien entendu, ça ne marche pas, car Frank Castle a su garder son sang-froid face à l’enfant.

Le gamin, quant à lui, finit par trouver une arme véritable, et surtout par croiser Monsieur Ling. Ce dernier n’a pas renoncé à se servir de l’enfant afin de coincer son adversaire.

On s’en doute, le méchant meurt dans la fusillade. Mais l’intéressant, dans la fin du récit, c’est le portrait de Timmy, un gamin qui est confronté à ses illusions. Il comprend que Monsieur Ling, qui lui fait un peu peur, l’a manipulé, et surtout, il se rend compte du caractère dangereux des armes qui, décidément, ne sont pas des jouets.

Timmy est un grand fan du Punisher. Au début du récit, il explique que, quand il joue avec ses copains à la guerre des gangs, il a toujours le rôle du Punisher. Et là, d’un coup, il découvre que son héros tue. Il prend conscience de la réalité, de la vraie nature de la mission que Frank Castle a faite sienne. Le choc, pour un gamin. L’ensemble du récit est associé au thème récurrent du capitalisme sans contrôle, et donne à ce petit épisode un cachet tout particulier.

Jim

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Certains visages font penser à Mark Bright aussi

Oui, j’y pensais au moment de poster.
C’est encore plus frappant sur la planche originale.

Jim

Disons que le terme « reviews » ne me parle pas du tout. Donc, je fais ma tête de cochon sur le sujet (comme avec la religion)

Comme « revue de presse ».

Jim

Oula … je vois pas ça comme ça, quand même.