Hahahaha
Seriez-vous encore capable d’écrire quelque chose comme cela M. Lainé? Si c’est le cas, je serai moins timide la prochaine fois que je vous rencontrerais et je saurais qui j’ai en face de moi !
Je crains bien que… oui.
Jim
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Planche 14, par Gordon Purcell et Andrew Pepoy :
Jim
Il est sorti également en Europe, avec la même illustration :
Tori.
Puisque l’on cause de jeux vidéos un peu plus haut, je m’interroge sur une découverte que je viens de faire, attiré par un visuel :
Je viens de me renseigner : Streets of Rage est une série de jeux de baston qui a connu quatre volets entre 1991 et 2020 et présente un certain nombre de personnages créés pour l’occasion. Streets of Rage II date de 1992.
Or, je découvre des visuels où apparaît le Punisher.
Je lis ici et là qu’il s’agit d’un « hack » où le Punisher remplace un des personnages du jeu. Mais je n’arrive pas à comprendre s’il s’agit d’un truc officiel ou pirate.
De même, je reste perplexe par rapport aux visuels utilisés (notamment à l’arrière de la jaquette, qui me semble utiliser une image de Steve Dillon). C’est plus récent que 1992. Donc ce « hack » serait tardif ? Ou bien aurait connu plusieurs éditions ?
Je sais qu’il y a des fins connaisseurs de jeux vidéo parmi vous : peut-être quelqu’un sera-t-il en mesure de nous donner plus d’informations.
Jim
La réponse est dans ta phrase : puisqu’il s’agit d’un hack, ce n’est pas officiel.
C’est quelqu’un qui a modifié le programme du jeu pour y faire apparaître le Punisher. Il y a beaucoup de hacks qui tournent, pour des modifications plus ou moins importantes des programmes (certains simplement pour des traductions de jeux qui n’ont pas de traduction officielle). Et quelques-uns s’offrent le luxe d’avoir des version physiques, comme ça semble être le cas ici.
Tori.
La réponse de Jim à mon message… qu’il a édité au lieu de citer :
Oui, ça existe (par exemple, Link des jeux Zelda ou Spawn se sont glissés dans le jeu de combat SoulCalibur (le 2, je crois), respectivement dans les versions GameCube et XBox.
Je ne me suis pas penché dessus, mais j’en ai l’impression (enfin, version MegaDrive européenne : la console s’appelle comme ça aussi au Japon, mais avec un logo différent).
Tori.
Michel Fiffe :
Ah merde : ça m’apprendra à rédiger des trucs avant de partir en speedant !
Désolé !
Jim
Mais c’est pas fréquent, si je comprends bien ?
Oui, j’ai appris ça aujourd’hui, en lisant des trucs afin d’essayer de comprendre.
(J’ai quasiment jamais joué à un jeu vidéo, à part quelques parties à l’armée avec les potes, en réseau, et quand j’étais marié, car mon épouse avait acheté une console… je ne sais pas du tout laquelle… Je n’ai jamais acheté une console pour moi, encore moins un jeu, voilà une culture qui m’est complètement étrangère, sans doute encore plus que le sport !)
Jim
C’était assez marginal, mais maintenant qu’on peut télécharger du contenu additionnel payant, ça devient plus fréquent, surtout avec des trucs populaires (pense aux collaborations des Big two avec Fortnite)…
Et là, je t’imagine devant un FIFA… Le crossover de tes nemesis… 
Tori.
Je connais le nom Fortnite, mais je crois que je ne vois même pas comment ça fonctionne…
Moi, je n’y arrive même pas.
Jim
Et puisqu’on parle de jeux vidéo, je découvre un jeu sobrement intitulé The Punisher et sorti à la hauteur du film avec Thomas Jane, en 2005, et à l’écriture duquel Garth Ennis et Jimmy Palmiotti ont participé.
Jim
Je parlais des comics qui contenait des codes pour avoir du contenu additionnel dans le jeu.
Tori.
Dessin de Jim Lee représentant le Punisher dans ses œuvres, avec Spider-Man en arrière-plan.
L’illustration sera utilisée pour le jeu The Punisher: The Ultimate Payback! (Nintendo Game Boy, 1991) :
Jim
Je n’en ai ouvert aucun. Je crois même que je n’en ai jamais vu en vrai, au-delà de la promo sur écran. J’imagine qu’il y a eu des VF mais mon sixième sens m’a permis de les contourner.
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Tu n’étais de toute façon pas la cible.
Il y a eu des VF, qui sont sorties en même temps que les VO, dans mes souvenirs.
Tori.
Je le suppose.
Au-delà de ça, je peux aimer des adaptations, hein, mais là, le principe interactif m’ennuie (j’aime qu’on me raconte une histoire sans avoir à courir après des trucs ni à participer), et en plus je n’ai pas le souvenir d’avoir lu le nom d’auteurs qui me brancheraient (contrairement au Contest of Champions écrit par Al Ewing, qui donc me fait lire l’adaptation en BD d’un jeu pour smartphone : un exploit).
Et puis, c’est pas comme si j’avais pas déjà des tonnes de papier à lire chez moi.
Jim