1974-2024 : BON ANNIVERSAIRE LE PUNISHER !

Le Punisher et Daredevil par Patrick Goddard

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Chris Weston

Le Punisher vs Judge Dredd par Dan Cornwell

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John Beatty et Alex Riegel

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Larry Stroman et Frank Cirocco

THE PUNISHER (2004)

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John Romita

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PUNISHER (Vol.1) #4-5

A partir de ces deux épisodes, Mike Baron va enchaîner quelques diptyques, en mettant en face de l’anti-héros des ennemis distincts.
Ici, alors que le Punisher était en train de négocier des armes avec son fournisseur habituel, ce dernier se fait tirer dessus par un homme qui est en lien avec l’Eglise du Salut.
Castle décide de se rencarder auprès de Microchip, l’homme qui lui fournit ses véhicule, mais dont le fils est capable de passer n’importe quelle protection informatique. Il apprend donc que la femme d’un ancien flic a été embrigadée par l’Eglise. L’ex-policier permet au justicier de s’infiltrer au sein de cette fausse organisation religieuse, et s’approcher du Révérend.
Celui-ci, du moins ses mains, font ressentir des choses étranges à Castle. Il va aussi découvrir, après avoir été très grièvement blessé lors d’une première mission pour l’Eglise, que ses mains ont une sorte de pouvoir guérisseur.
Mais l’Eglise a des ennemis auprès de l’Etat et le Révérend a préparé une porte de sortie dans un camp en Guyane, où l’attende déjà de nombreux fidèles. Castle est évidemment du voyage, et ayant appris entre temps que cette petite armée a du plutonium (et que le révérend n’est pas l’agneau qu’il prétend), il ne va pas tarder à passer à l’action, surtout que la présence d’un représentant américain excite le Révérend.
Le Punisher va donc éliminer les plus militarisé du groupe, ainsi que le gourou et revenir à New York avec la femme et la fille de l’ex-flic.

Mike Baron s’attaque donc aux gourous en tout genre, qui ici, ressemble assez à au chef d’une secte, qui, par exemple, interdit la monogamie. Baron montre bien le côté manipulateur du révérend puisque celui-ci, qui investit une église, n’a finalement aucune foi. Cependant, j’avoue que j’ai trouvé le scénario un peu facile et manquant quand même de fluidité. Il n’y a pas vraiment de raison au meurtre du fournisseur du Punisher, qui déclencha son enquête. Les motivations du révérend et de sa sœur sont assez absconses, et on avance dans l’intrigue sans vraiment comprendre s’il y aura vraiment une guerre… si ce n’est que sous sa forme de manipulation froide, peut être est-il complètement fou ? On parle de plutonium, mais finalement, le révérend voudrait finir dans un suicide collectif. Et son pouvoir, qu’elle est son utilité dans l’intrigue ?
Bref, j’ai bien compris l’idée du scénariste, mais je trouve la réalisation trop bancale. Au moins, la détresse des familles des enrôlés est bien explicite et présente.
A noter tout de même, la première apparition de Microchip, ainsi que de son fils, dont on parlera bientôt.

Ce sont les deux derniers épisodes de Klaus Janson sur la série, dont j’ai trouvé le style un peu plus raide sur le #5 que dans les numéros précédents, avec des planches peut être moins précises et moins fournies en détails (mais je me demande si je ne pinaille pas). Il faut dire qu’il assure également l’encrage, et qu’il y a eu deux mois entre les deux épisodes (peut être a-t’il rencontré des difficultés). Cela étant dit, Janson restant Janson, avec son petit air qui rappelle un peu Chaykin, donc ça envoie quand même quand y a bagarre.
Et puis il s’en sort quand même vachement sur des scènes plus intimistes, le bougre (et y en a quelques-unes)

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PUNISHER (Vol.1) #6-7

(la version en N&B de cette couverture de Mike Mignola est disponible ici)

Tranquille dans son entrepôt abandonné, Castle est réveillé par un camion-benne qui restent planté dans sa cour … pas étonnant, puisqu’il retrouve les employés au milieu des ordures.
Il s’agit en fait d’un règlement de compte entre deux familles rivales qui cherchent à avoir les contrôles du traitement des déchets… en façade. Car évidemment, en enquêtant sur un lieu de décharge, il se rend compte que la famille « attaquante » est de mèche avec deux terroristes arabes, à qui ils vendent du plutonium… qu’ils vont utiliser pour un attentat à New York. Après une fusillade, Castle rentre chez lui pour faire le point, mais il découvre que sa position est compromise par une agente du Mossad.
Tous les deux vont s’allier pour avancer dans la recherche du lieu de l’attentat, et après quelques coups de poings et de fusils, le Punisher comprend que les deux terroristes vont réaliser leur coup dans un immeuble en construction du gang.
Lors de l’affrontement, les terroristes trouveront la mort, ainsi que l’agente du Mossad, sous le regard triste du Punisher.

Au moins, on ne peut pas dire dire que Baron perde du temps à lancer son intrigue, même si les circonstances et le hasard fait sacrément bien les choses. Et puis avec le fils hacker de Microchip, tout est très simple pour avoir des infos… quitte des fois à ce qu’il y ait un peu de raccourcis dans les explications/raisons d’agissement des mafieux.
Donc, l’histoire me semble un peu compliquée pur des raisonnements assez simplistes, tout de même. L’apport du Mossad n’a ici aucun intérêt, si ce n’est apporté un peu d’humanité et de sensibilité au Punisher (ce qui ne sera pas très raccord avec ce qui se passera dans le prochain diptyque, mais on en reparlera). Mais au-delà de cela, Baron s’attaque aux mafieux qui ne sont pas du tout patriote, qui a être complètement inconscient puisqu’ils auraient forcément été tout aussi victimes que les autres New-yorkais.
Je reste donc un peu sceptique devant l’enchaînement d’événements de ces épisodes, même si la rythmique n’amène aucun ennui.
A noter que la relation avec Microchip dépasse le cadre client-founisseur.

Le dessin est assuré cette fois-ci par David Ross, qui assure une pige en attendant l’arrivée du prochain régulier de la série. Il est tout d’abord encré par Kevin Nowlan, puis que John Beatty dans le second épisode. J’ai une grande préférence pour le 1er, qui apporte un peu cachet et d’ambiance dans les ombres (avec des trames ?), et puis un mouvement des personnages plus fluide et naturel, ainsi qu’une morphologie tout aussi plus naturelle que Beatty. Reste à savoir de Beatty ou de Ross qui est le plus maladroit des deux. Mais il y a clairement une différence graphique notable entre les deux numéros.

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Janson faisait aussi les couleurs et g etait un bimestriel au depart… pas longtemps…
On reparlera du reverend et de rose

Sur les facilites pour avancer l intrigue je suis pas sur que les arcs en 6 des srries mk et max les aient effacees

Ah ah ah … je t’attendais en défenseur.
Alors, vu que tu disais que tu trouvais que sous Baron, les modalités de « traque » du Punisher étaient plus prégnantes … je t’avoue que la solution « fiston de Microchip » est quand même tout aussi facile que de demander à Soap des infos.
Et en soit, je n’ai pas souvenir d’avoir critiqué l’un pour encenser l’autre.

Mais ce n’est pas parce que c’est forcément mieux en 6 épisodes (ce n’est pas d’ailleurs ce que je pense) que cela doit excuser un scénario qui a des facilités et autres approximations.

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Extrait du Cosmic Ghost Rider

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Si j’ai ça en VF (mais ouais, je pense qu’il y a moyen de faire plus, en effet)

Non… ca va arriver dans une ou 2 integrzles je crois

Déjà que j’en ai encore une de retard… je ne suis pas près de lire ça…

PUNISHER : ZONE DE GUERRE (2008)

Dean

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