AUX FRONTIÈRES DE L'AUBE (Kathryn Bigelow)

La métaphore sur la dépendance est plus forte, je trouve…et je dois bien avouer que je n’avais jamais pensé à cette possible lecture du film…

C’est-à-dire qu’à ce compte-là, on n’est plus vraiment dans la volonté de “ne pas se limiter à la mythologie traditionnelle” mais carrément de la refuser, il me semble. :smile:

Je ne crois pas. C’est épuré, mais il y a quand même des éléments traditionnels. Bigelow et Red ne l’ont pas refusé, ils l’ont adapté à la relecture qu’ils ont proposée…

pour un résultat bien fun et pourtant sans doute encore beaucoup plus sombre, dans le fond, que ce Near Dark.

Ah pour moi, Near Dark est tout de même plus sombre que le Vampires de Carpenter (que j’aime bien, même si ce n’est pas le meilleur travail de Big John)…