AVENGERS #1-66 (Jason Aaron / collectif)

Des idées…qu on a déjà eu.

Des idées. … fixes.

J’espère qu’ils n’en feront pas un event.

THE AVENGERS #45

Written by: Jason Aaron.

Art by: Luca Maresca.

Covers by: Leinil Francis Yu, Carlos Pachecho.

Description: The Avengers join the battle against the King in Black! The year’s most epic event explodes in the pages of Avengers. The vampire hunter Blade has been at the forefront of the fight against the dark symbiote god, but now he must pay a dark price that will change his world forever.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: April 21.

C’est ce genre d’épisode qui m’énerve, sur cette série… car c’est le genre d’épisode qui me donne de l’espoir, et me fait rester.
Parce que c’est bien, en fait.
Après cette saga du Phénix abusivement longue et chiante, Jason Aaron évoque les conséquences récentes et King in Black pour un bon épisode. On voit le quotidien des Avengers sous un prisme de caractérisation pertinente et drôle, avec Robbie Reyes bien écrit dans sa relation avec la nouvelle Phénix, Echo. L’idée de base reste faible, mais les interactions sont bonnes.
Surtout, Jason Aaron revient sur l’idée de Nation Vampire de Dracula à Tchernobyl, et il le fait bien ! On entrevoit le Squadron Supreme of America, on voit le beau coup diplomatique de Dracula (qui a fait intervenir les vampires contre Knull, vampires ensuite tués par Blade ; et il utilise ça pour se faire passer en victime et exiger la reconnaissance publique de la Nation Vampire, avec livraison de sang de banques idoines) et c’est agréable à lire. Surtout avec le final où Black Panther, bien écrit en über-Black Panther quand même, fait nommer Blade en « shérif », en tout cas garde-frontière de la Nation Vampire.
C’est habile, et c’est cool. Ca reste très frustrant, car ce numéro est vraiment agréable mais surnage au milieu de sagas souvent longues et chiantes. Luca Maresca livre des planches solides et classiques, qui font bien le job.

Pff. Ca va encore me faire rester un peu, ça !

FCBD 2021 MARVEL GOLD AVENGERS HULK #1

(W) Jason Aaron (A) Iban Coello
In a land beyond time, a shining tower stands, deploying its operatives across the Multiverse to hold against the encroaching darkness! Who is the mysterious Avenger Prime, and how will his advent impact on the past, the present, and the very future of the mighty Avengers ?

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On voit, avec la présence de Deathlock, l’amour que porte Aaron pour le Marvel des 70s et qui transparaît pas mal dans son run sur les Avengers.

Pas faux vu sous cet angle (Blade, Ghost Riders, She-Hulk, Boy-Thing, Hellstorm, Moon Knight, Namor en tenue sombre, Iron Fists, Ka-Zar, Morbius, Man-Wolf, Dracula, Gladiator, Célestes, Squadron Supreme, Winter Guard, Phénix, etc…).

Logan contre le cyborg, ça rappelle aussi son Wolverine: Weapon X (le Deathlock griffu réapparu ensuite dans Uncanny X-Force).

Clairement. C’était aussi flagrant sur son « Weirdworld » durant la période « Secret Wars » ; Aaron avait été assez prolixe là-dessus en entretien, d’ailleurs.

WinterHulk-scaled

Oulalalala…

On vient de perdre Aaron là !
Et DC vient de l’appeler pour remplacer Snyder !

Pfffff
Et c’est pas pour Aaron.

Le jeu de mot est nul, utilisé ad nauseam en seulement peu d’années.
Le charadesign est… ben j’aime pas.

Ca fait fan fiction désolé. Mais possible que les pages intérieures soient de la bombe !
Encore une fois, ça ne donne pas envie. Sans préjuger du reste.

C’est la com’ qui est nulle. Faut voir à l’usage.

AVENGERS #46

  • JASON AARON (W) • JAVIER GARRÓN (A/C)
  • MARVEL ANIME VARIANT COVER BY TBA
  • WORLD WAR SHE-HULK!
  • After the shocking events of “Enter the Phoenix,” the Earth has become more fractured and volatile than ever, especially for the Avengers. Once She-Hulk is declared a global menace, Russia’s mightiest heroes, the Winter Guard, are tasked with bringing Jen to justice, to face a fate no Hulk could hope to endure.
  • 40 PGS./Rated T+ …$4.99

Un bon début de story-arc.
Jason Aaron revient aux Avengers après la parenthèse Heroes Reborn, et fait un petit état des lieux pour se concentrer ensuite sur l’attaque de la Winter Guard, aidée par le traître Gorilla-Man lié à Dracula malgré son statut à l’Avengers Mountain. Les Russes viennent enlever She-Hulk, considérée comme la plus puissante de tous, qui tente de se contrôler grâce aux leçons de Captain Marvel.
Parce que, en fait, Red Widow et sa Winter Guard enferment Jen dans la Red Room, pour en faire le nouveau « jouet » de Red Widow. Evidemment, les Avengers échouent à empêcher ça, et ça va mal se passer.
Bon, c’est sympa’, oui. Les interactions sont bonnes, les rebondissements sont fluides, l’ensemble est agréable et le lien avec Black Widow est « évident » vu le film, mais le retour de la Winter Guard est sympa’. C’est rude pour Ursa Major qui semble assassiné par Red Widow, car il est un traître qui voulait collaborer avec Gorilla-Man pour aider les Avengers, mais ça ira peut-être mieux.
Après… après, Jason Aaron me convainc souvent sur ses débuts de story-arc et me perd ensuite. Je reste prudent, bien que le ressenti soit agréable et que Javier Garron livre des planches efficaces et fluides.