Yep. J’avais parlé plus en détails de cette époque inaugurale de la série par là il y a un peu plus d’un an :
Sur le long terme, certains aspects de la personnalité de Dixon, qui, disons, « me parlent moins », s’avèrent un peu lassants… mais ça ne m’empêche pas de reconnaître au bonhomme un sens des ambiances et de la construction d’intrigue de premier ordre. Et oui, hélas, il est clair qu’on est très loin de ce niveau-là sur les plus récents avatars du titre.