Non, et toi?
ginevra
Non, et toi?
ginevra
Tu es plus courageux que moi, je me suis arrêté à 6 ou 8.
ginevra
Ouais. Pour ca que je te posais la question. Du petit trait… conscencieux… très joli.
Me suis arrêté après la lecture du 1.
Je crois que je n’ai pas compris ce qui était drôle.
Peut-être que les choses se décantent ensuite, comme dans certaines séries télé où il vaut le coup de dépasser le premier épisode ?
Mais parfois, le premier tome annonce quand même bien la couleur.
Ou, tout simplement, tout le monde n’est pas sensible au même humour.
Tori.
Si on parle de Jésus et Bouddha, il faut avoir les références pour bien comprendre l’humour, après, il faut voir que ce ne sont pas des personnages qui vont se ridiculiser ! Ce sont des personnages très sérieux qui ont apporté la sagesse dans notre monde… Or, là, la sagesse… Vraiment, il y a de l’humour. Mais c’est vrai que ce n’est pas à la portée de tout le monde.
Oui je pense aussi ne pas y être sensible mais je préférerais demander quand même au cas où fallait pousser la porte au delà du premier étage. Je pense Fables, par exemple.
Enfin bref, merci pour vos retours.
Euh… tu parles pas de Jesus là, quand même ?
Crénom ! Je parlais de toi, effectivement !
Surtout avec ma mitraillette.
Exactement ! Un signe d’amour passionnément !
La sagesse n’est pas forcément liée à l’amour.
Ah, je vois… tu ne connais pas l’étymologie du mot « sagesse »
Parce qu’il y a la fin qui te met une petite claque de pessismisme… ça se pose là… mais tellement juste.
Supermatou de Poirier est une BD aussi culte qu’iconoclaste, parue pour la première fois dans Pif Gadget. Ce héros improbable, un chat anthropomorphe affublé d’une cape rouge et d’un « S » bien visible sur son torse, parodie sans vergogne les super-héros classiques. Avec des aventures volontairement absurdes, un humour loufoque et des dessins minimalistes, Supermatou combat les injustices… ou du moins essaie, avec une maladresse touchante et des situations rocambolesques.
Sous son apparente simplicité se cache une critique sociale piquante et une créativité sans limites qui ont marqué plusieurs générations de lecteurs. Poirier mêle gags, réflexions décalées et une touche de poésie burlesque, faisant de Supermatou une œuvre à part dans le paysage de la bande dessinée.
Un classique à savourer avec un brin de nostalgie et un grand sourire.
Le Petit Prince, c’est d’abord une œuvre intemporelle d’Antoine de Saint-Exupéry, publiée en 1943, un conte philosophique et poétique qui touche le cœur des enfants et des adultes. Avec son aviateur échoué dans le désert, sa rose unique, ses planètes étranges et ses personnages mystérieux (le renard, le roi, l’allumeur de réverbères…), il nous invite à repenser la vie, l’amitié et l’amour à travers les yeux d’un enfant venu des étoiles. Chaque page regorge d’une sagesse simple mais bouleversante, rendue encore plus magique par les illustrations délicates de l’auteur lui-même.
Et puis il y a Joann Sfar, auteur et dessinateur talentueux, qui s’attaque à cet univers avec son adaptation en bande dessinée. Avec son trait expressif et vibrant, il apporte une nouvelle vision au Petit Prince, tout en restant fidèle à l’esprit de Saint-Exupéry. C’est un hommage moderne et audacieux, qui redonne vie à ce classique sous un autre angle, parfait pour séduire une nouvelle génération de lecteurs ou raviver la flamme chez les anciens.
Deux versions d’une même histoire lumineuse, à lire et relire quand on a besoin de retrouver un peu de son âme d’enfant.
23 décembre :
Dragon ball 23
C’est le tout premier manga que j’ai acheté.
En japonais, à l’époque (il y a près de 35 ans… Ça ne nous rajeunit pas !).
Tori.
Je n’avais pas fait mon 1er cours d’anglais à ce moment-là…
Et depuis ?
Jim