Quelle drôle d’idée, quand il s’agit du Docteur.
ah oui, ça prête à des interprétations… ma maladresse avec les mots… je cherche un comic où tout commence et qui est généralement appelé numéro 1 ou issue #1 - parce que là, ça a bien démarré et je ne sais pas si je serai perdu s’ils mettent des références aux épisodes précédentes… Bon, ouais, je reconnais que c’est une drôle d’idée…
Pour les comics du Docteur, c’est un peu vain de chercher à tout prix un N°1. Titan Comics enchaîne les mini-séries et le magazine officiel Dr Who publie des BD depuis 1979. Perso, je passe d’une période à l’autre, d’un Docteur à l’autre, et s’il y a des références à des épisodes que je n’ai pas lus, ça ne me gêne pas…parfois c’est expliqué dans l’histoire elle-même ou dans les bonus ou parfois pas du tout et ce n’est pas bien grave quand le scénario est accrocheur…
Voila. Le Doc parle bien du Docteur.
Toi, t’as pas d’humour !
Silver Surfer de Mike Allred et Dan Slott est une série qui revisite le personnage de manière à la fois audacieuse, humoristique et profondément humaine. L’histoire suit Norrin Radd, alias le Silver Surfer, alors qu’il explore l’univers avec Dawn Greenwood, une Terrienne qu’il rencontre et qui va rapidement devenir une compagne d’aventure indispensable. Ensemble, ils voyagent à travers l’espace et rencontrent des personnages et des mondes nouveaux, tout en étant confrontés aux dilemmes moraux et philosophiques qui touchent les grandes questions de l’existence.
Slott, connu pour ses récits pleins d’humour et de profondeur, injecte un ton léger, mais jamais superficiel, dans cette série. Il explore la nature de l’héroïsme, de l’amour et du sacrifice, tout en abordant des enjeux plus vastes sur la solitude et la recherche de soi. Quant à Mike Allred, son style visuel est un mélange de pop art et de rétro-futurisme qui offre une esthétique unique, pleine de couleurs vives et de lignes nettes. Cela crée un contraste frappant avec les thèmes de la solitude et de l’immensité de l’espace, apportant une fraîcheur visuelle à l’univers du Silver Surfer.
Ce récit est une vraie bouffée d’air frais pour les fans du Silver Surfer, offrant à la fois une exploration de l’humanité du personnage et une aventure intergalactique à couper le souffle, tout en étant parsemée de références culturelles et d’humour typiques de Slott. C’est une série qui, à la fois poétique et dynamique, réinvente le personnage sans perdre de vue ce qui le rend mythique.
Un petit clin d’œil à l’incroyable complicité entre le Surfer et Dawn, qui apporte une belle dynamique au récit. Bien que l’aventure galactique soit au cœur du récit, ce qui frappe, c’est la profondeur des personnages et la manière dont le Surfer se réinvente à travers sa relation avec la Terre et ses habitants.
Bref, Silver Surfer par Allred et Slott est une série aussi épique que drôle, un peu philosophique, mais surtout terriblement attachante. Et, si vous aimez un peu d’ironie et de réflexion sur l’existence, ce titre est un must-read.
Avant de plonger dans le résumé, je dois confesser une obsession particulière : Doop, cet être étrange à l’apparence de ballon vert, aussi mystérieux qu’inclassable. Véritable OVNI de l’univers Marvel, Doop est à mes yeux une icône du chaos contrôlé et de la bizarrerie assumée, tout comme la série qui l’a vu naître.
Je profite également de cet espace pour remercier les personnes qui m’ont soutenu (de près, de loin, ou pas du tout) dans ma révolte « panininienne » concernant X-Cellent. Un grand merci à : @KabFC, @Ben-Wawe, @Lord-of-babylon, @Fred_le_Mallrat, @Tori とり 鳥, et @barney_stinson. Une mention spéciale va au forum Sanctuary, un bastion de passionnés où, soyons honnêtes, Panini n’a sans doute jamais mis un seul orteil.
X-Statix est bien plus qu’une simple équipe de super-héros. C’est une satire mordante du star-system, une critique acide de la société médiatique et un chef-d’œuvre d’irrévérence. Sous la plume de Peter Milligan et le trait unique de Mike Allred, cette série nous embarque dans les aventures d’une équipe de mutants obsédés par leur image publique, leur célébrité, et, parfois, leur survie.
Les personnages ? Égoïstes, instables, et profondément humains, ils incarnent l’antithèse des héros traditionnels. Au fil des pages, X-Statix ne cesse de surprendre avec son humour noir, ses retournements audacieux, et sa capacité à nous faire aimer l’inattendu.
Enfin, une promesse pour X-Cellent : si le volume final finit par être publié un jour, je jure solennellement de rédiger un article digne de booster les ventes (). Après tout, cette série est bien trop excellente et incomprise pour être oubliée. Mais jusqu’à ce jour… je me contente d’attendre, avec ironie et impatience.
Variance :
X-Statix, c’est le joyau décalé, mordant et franchement audacieux de Peter Milligan et Mike Allred. Imaginez des super-héros qui ne rêvent pas de sauver le monde, mais plutôt de conquérir la une des tabloïds. Un univers où le narcissisme, la quête de célébrité, et la mort brutale sont des piliers du récit. Le tout servi avec un style pop art saisissant qui détonne autant qu’il fascine. Cette série, résolument en avance sur son temps, explore le côté sombre, absurde, et étrangement humain des super-héros dans un monde qui ressemble trop au nôtre.
Cependant, je tiens à préciser que, fidèle à mon indignation de longue date, je n’écrirai rien sur X-Cellent tant que Panini n’aura pas daigné sortir le dernier volume. Il est hors de question que je trahisse mon engagement pour une série aussi brillante et injustement incomprise. Mais, si (et seulement si) ce fameux volume voit enfin le jour, je promets de rédiger un article tellement exalté et passionné qu’il pourrait pulvériser les records de vente (). Oui, X-Cellent mérite qu’on en parle avec ferveur, car cette série est tout simplement… X-ceptionnelle. Alors, Panini, c’est à vous de jouer !
17 décembre
La relecture de l’année. C’est pourtant pas la première fois que je replonge dans cette période mais je sais pas, il y a quelque chose de puissant, de noble de grandiose dans la mort des X-Men à Dallas qui m’a totalement transporté plaçant dès lors cette saga comme la (allez presque) meilleure histoire des X-men
18 décembre
J’avais pas un peu de crainte face à cette prequel parce que cette exercice est relativement casse gueule, pas qu’il en ressort rarement du bon et parce que fondamentalement, l’histoire d’Avan avait déjà été traité. Et puis non en fait c’est très accrocheur. Le style est là et il y a de très bonnes idée de traitement et de logique dans la reprise et le traitement des personnages. Je suis très curieux de lire la suite
19 décembre
20 décembre
Mon team-up préféré de tous l’étang
Et pour aujourd’hui
Une influence d’Otomo et une capacité à gérer une narration éclatée assez incroyable permettant de parler d’une multitude de sujets allant de la géopolitique jusqu’à la création de l’univers en passant par la zigounette dans le pilou/pilou
Tu m’ètonnes.
Oui, très bonne surprise.
Je n’en attendais rien… Et j’ai accroché tout de suite.
Tori.
Pour sortir un peu des comics ou mangas, une BD sympathique quoique un peu inégale (toujours le même problème avec les oeuvres collectives) :
Comme j’ai du retard sur vous tous, je vous propose un superbe livre qui ne déparera pas dans le bibliothèques les plus exigeantes :
Une ambiance très réussie qui évoque du fantastique très noir à un moment et finit de façon lumineuse.
Et aussi la fin du trilogie qui m’a enthousiasmée par ses graphismes et l’originalité de l’histoire annoncée comme un hommage aux kaijus :
J’essaie de rattraper mon retard en lecture, mais cela va être difficile en 2 jours!
ginevra
Je lis Les Petits Métiers Méconnus dans le Journal de Spirou et j’aime beaucoup cette série. Inégale selon les histoires certes, mais il y en a de très belles, très poétiques, avec de jolies idées…
Tu as.vu ses dédicaces ?
Récit biographique de la jeunesse du grand-père du dessinateur. Jeunesse incroyable puisqu’il se retrouva sous 5 drapeaux différents avant et durant la Seconde Guerre Mondiale.
Récit non chronologique qui s’attarde ici sur la fuite en France suite à la défaite des Républicains et la vie dans les camps de concentration Français. La maîtrise du dessin et le travail incroyable histoire en font une BD captivante.
20 décembre :
The heroic legend of Arslân
Un dessin efficace sur une histoire solide, que demander de plus ?
21 décembre :
Les vacances de Jésus et Bouddha
Une petite tranche de rire, en se moquant gentiment des religions (mais il vaut mieux les connaître un peu pour avoir certaines références).
22 décembre :
Shy
Une histoire de super-héros avec la petite touche propre aux mangas
Tori.
Ah la la, que c’est drôle ! Mais sur la longueur ça devient lourd… je me suis arrêté dans la quinzaine…
Il ne faut pas les lire trop vite.
Tori.
Pourquoi en dire plus ?