Un album de SF au sujet original avec le dernier humain encore en vie : Traqué dans l’espace
ginevra
Un album de SF au sujet original avec le dernier humain encore en vie : Traqué dans l’espace
ginevra
Lecture du 16/12 : Rock and Roll Comics (Bruno Blum)
Lecture du 17/12 : Assassin’s Creed : L’épreuve du feu (Del Col / McCreery / Edwards)
Avent-dernier tome d’une série dite jeunesse dont je raffole : Les racontages de M’sieu Perrault 3 - Pensées de printemps
Vivement le prochain!
ginevra
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Tori.
Pourre fère ein je deux mots avek le calendrier de l’avant
Le pire est que je n’ai pas fait exprès… c’est une faute de frappe. ![]()
ginevra
Sans jeu de mots involontaire cette fois-ci, pour ce jour je vous propose le dernier tome d’une série que j’apprécié énormémént Grandville
ginevra
Celle que j’ai. Bon, je démarre mon vrai fil rouge « franco-belge » de l’année, avec cet album. Pas sûr que je fasse dans l’ordre de parution des ouvrages, je vois que j’ai déjà re-merdé avec celui que je suis en train de lire. Mais qu’importe, c’est pas le sujet. Vehlman, je connaissais que de Seuls (à cause de Soda/Gazzotti par ma femme) et Green Manor (par mon dealer, qu’il considère comme étant LA meilleure BD), sans savoir que c’était lui. Des Lendemains sans nuages, c’est par feu super…
Edika est mort, et j’ai envie de lui rendre un bel hommage.
D’abord, il y a eu Gotlib. Celui qui m’a donné mes premiers vrais fous rires avec La Rubrique-à-Brac. Ensuite est arrivé Edika, avec son Homo-Sapiens Connarduss. Oui, vous avez bien lu le titre, bande d’Homo-Sapiens Connarduss !
C’est grâce à Gotlib — sans jamais l’avoir connu ni même vu — qu’Edika a décidé de devenir dessinateur. Alors il a pris sa valise et il est allé tout droit voir le maître, pour lui fourrer ses débauches sous le nez et lui demander des conseils.
Et la connerie humaine, ça vous connaît ? Et les crevettes ? Terme pas très gentil pour désigner certaines femmes, certes, mais c’est justement là que l’absurdité humaine s’imprègne dans cet album incroyablement bavard. Des femmes aux longues jambes, à la poitrine démesurée, aux visages pas toujours agréables à regarder… mais l’humour potache est là, partout.
Edika, c’est l’ironie de l’absurdité humaine. C’est la connerie pure et dure, celle qui nous fait plier en quatre. Edika, c’est aussi cet incroyable je-m’en-foutisme : des épisodes sans chute, des histoires racontées sans queue ni tête, sens dessus dessous, sans plan, sans structure. Et pourtant, ça fonctionne. Parce qu’Edika improvise. Il laisse passer ce qui lui traverse la tête.
Il met tout en ridicule : ses obsessions, ses peurs, ses angoisses. Même lui. C’est con, c’est assumé, c’est voulu. Et c’est précisément pour ça que c’est drôle.
Merci Edika.
37 albums.
Que de fous rires et de « kilékon » (hein Jim !
).
Edika était unique.
Ma lecture du jour concerne une nouvelle série : Les chants du chaos
Une histoire curieuse dont j’attends la suite. J’ai adoré les graphismes. Les textes et enluminures en tête de chapitre sont un plus.
ginevra
Il a tout dit, Monsieur Lainé. Vraiment, parce que ce qui est rigolo, c’est que j’ai ressenti un peu les mêmes choses que toi. Le démarrage a été un peu dur, avec cette profusion d’informations politiques, de personnages, de précision sur les écoles de combats… je ne connais pas du tout l’histoire du Japon, et ses spécificités en terme de dirigeants, et ça m’a un peu compliqué la tache. cela étant dit, ce livre est pour moi une sorte de chaînon manquant, puisque du peu que j’ai pu lire en manga…