COMICS : SEXE, RÉVÉLATIONS ET TWITTOS

Et pour la comptine elle-même, ils utilisent quel mot ?
Nigger, Indian ou autre chose ?

On en a un (« ça » ou « c’ »). La différence, c’est qu’en français, le neutre et le masculin sont assez proches.
De plus, en anglais, hormis les humains, presque tout est neutre (il y a quelques exceptions, comme les bateaux, par exemple), alors qu’en allemand, les trois genres existent (Tisch (table) est masculin, Haus (maison) est neutre et Straße (rue) est féminin).
Un autre truc, c’est qu’en allemand comme en anglais, le problème de l’accord des adjectifs ne se pose pas.

Je dirait même : Magnifique.

Tori.

Ce n’est pas tout à fait le titre original qui a été modifié : le titre britannique était Ten little Niggers… C’est en passant l’Atlantique qu’il a changé.

Tori.

Effectivement, c’est complètement différent. J’ai lu trop vite (et mal :sweat_smile:)…

Après les employeurs n’ont jamais attendu ce genre de révélations publiques, avérées ou non, pour se séparer de quelqu’un.

Il y a déjà 20 ans, en tant que conseiller du salarié ou défenseur dans des conseils de discipline, j’ai eu des dossiers de licenciements (la poste notamment), où rien n’était prouvé et où il n’y avait pas de décision de justice (ou même parfois aucune poursuite), pour rupture du contrat moral te liant à ton employeur.

En fait il y a deux versions, historiquement, de la comptine. Le « premier » titre fait référence à la comptine anglaise, qui date de 1869 (« Ten little nigger boys went out to dine… »). Mais c’est une adaptation d’une comptine américaine de 1868 (« Ten little Injuns standin’ in a line… »).

Oui, mais que ce soit Nigger ou Injun, c’est offensant, comme terme, non ?

Bon, après recherche rapide, il semble que ce soit désormais « Soldier boy »…

Tori.

L’essentiel est qu’il n’y ait aucun survivant… :smiling_imp:

C’est un pronom démonstratif. Classé comme neutre, certes, mais ce n’est ni un nom ni un pronom personnel. C’est la limite du genre, si j’ose dire.

Jim

Plus que le « it », la grande force des anglophones sur ce coup-là, c’est la souplesse d’utilisation du « they » qui peut s’employer au singulier. Le français n’a pas cette flexibilité…

Chaque anecdote…
Tu parles du topic de mes créations bien barrées où un personnage sur deux s’inspire d’un gogol que j’ai connu?

Ça et tes « petits malheurs », aussi.
Mais bon.

Tori.

Oui, ça, c’est un truc que j’ai mis des années à comprendre (j’ai l’impression que ce n’est pas enseigné à l’école) et que je n’arrive pas tellement à utiliser, pour ma part…

Jim

Aussi,il est vrai.

J’ai la même impression.
Je le comprends quand je le rencontre, mais je ne l’utilise pas tellement de moi-même.
Sinon, c’est expliqué sur wikipedia :

Tori.

Merci.
Rien que le mot « themself » me fait des nœuds à la tête.

(En revanche, j’ai rebondi sur la fiche de « l’hypothèse de Sapir-Whorf », et je trouve ça passionnant. Et zut, je sens que je vais passer une autre grande partie de cette fin d’après-midi à lire des trucs passionnants et à prendre du retard sur le boulot.)

Jim

Exactement.
Parce que telle entreprise ne veut pas être associée, même indirectement, à une activité illégale, que la morale publique du moment réprouve.

D’autant plus que nous sommes à une époque de la réaction individuelle publique immédiate, avec des accusations directes des membres de Twitter et autres envers telle entreprise pour le comportement de tel employé.

Je confirme, je n’ai jamais entendu parler du « they » utilisé au singulier… :astonished:

Je ne sais pas si j’avais déjà rencontré le « they » singulier… En revanche, le « their » et le « them » singuliers, oui.

Tori.

Non, mais là c’est pire et quand l’accusation est non fondé, tu perds ton travailles et surtout ta vie, car même si quand c’est faux, il est démontré que c’est faux, il y a toujours le doute.