Tu as encore le temps de te faire le cuir.
Tu n’as pas encore lu autant de comics de merde que nous !
Jim
Tu as encore le temps de te faire le cuir.
Tu n’as pas encore lu autant de comics de merde que nous !
Jim
Oh… Bendis, j’en ai lu… et j’ai perdu beaucoup de temps vu que j’ai fini par m’apercevoir qu’il y avait mieux que lui, pourtant, son nom est partout. Pas compris son succès. Mais bon après, les goûts et les couleurs. Les seuls trucs que j’ai aimé de Bendis, et ce sont les seuls : House of M, Alias, Jessica Jones et Defenders (oui, j’ai franchement bien aimé Defenders).
Pas ses dd ? Powers ?
T’es encore jeune.
Quitte à cité du bon Bendis, je dirais ces sup, et ses indés (Powers (même si il y a un gros ventre mou), Sam & Twich et torso ou encore Jinx).
Non j’ai eu ma dose… je préfère changer, je l’avais pris parce que son nom était partout !
PS: de Bendis, j’avais lu ses x-men, les gardiens de la galaxie, puis le vortex noir… tous pourris… ennuyeux… j’avais lu Spider-Woman, aussi… bof-bof. Secret War, Civil War II, Secret Invasion que je n’ai finalement rien retenu, tout oublié et The Pulse, quivetait moyen, entre les deux, ni bon, ni mauvais, passable…
Vil flatteur.
Tu n’auras pas mon corps aussi facilement.
Oui, mais en même temps, tu fais dans le haut niveau, là.
Le problème, c’est que Bendis se vend bien, je ne sais pas pourquoi. Il m’a été présenté comme un des plus grands scénaristes, donc j’ai voulu me rattraper de tous ces temps perdus de mes lectures « Marvel », sauf que plus de la moitié de ce que j’ai lu m’ont ennuyé (et par moment je le suis forcé à aller jusqu’au bout tel un maso…) - donc j’ai eu ma dose. Heureusement que je n’ai pu procuré ces comics dans des médiathèques, ceux que j’ai acheté sont mes coups de cœur : House of M, Alias et Defenders. Et là, suis passé à d’autres scénaristes que vous avez cités comme les bons.
Tu as commencé par ce qu il a fait de plus mauvais.
Malheureusement, pour ça que je suis venu ici.
Le Vortex Noir … c’est une chiantittude absolue.
Jim
En farfouinant dans un tri-tout solidaire (où j’ai déniché un album de Follet, un album de Mazan, un collectif de contes consacré à l’âne…), j’ai trouvé aussi, chose étonnante, Secrets of the Unknown #155, qui arbore une couverture de Jack Kirby provenant de sa période monster comics chez Atlas.
Sous ce titre valise (surtitré « Strange Tales of Suspense », autre mélange renvoyant à des séries américaines), on trouve un sommaire composé d’histoires courtes provenant d’Atlas (enfin précisément, un peu après la période Atlas), sous les crayons de Jack et Steve Ditko (donc, à la louche et sans tracer les histoires en question, on peut en conclure qu’il s’agit sans doute davantage de récits du début des années 1960 que de la fin des années 1950). Les récits sont publiés dans un format un poil plus petit que celui des comics d’origine (en fait, il m’évoque un peu les Aventures Fiction et les Sidéral de 1958) en noir et blanc (ce qui permet de savourer le trait des deux auteurs) sur un papier de qualité moyenne (ce qui n’est pas optimal pour savourer ledit trait des deux auteurs). Chose cool pour moi, ce numéro regroupe pas mal de récits que je connais mal. Je crois même que « It Fell from the Flying Saucer », un récit où Kirby exploite une idée fréquente chez lui, celle du dessinateur dont les illustrations prennent vie, je ne l’ai jamais lue.
Quant à ce Secrets of the Unknown #155 lui-même, il s’agit d’une publication anglaise, éditée par Alan Class & Co. Ltd. En revanche, bien malin celui qui en connaît la date précise, puisque l’ours figurant en quatrième de couv est d’une discrétion à nulle autre pareille concernant le dépôt légal. Le site mycomicshop estime la sortie à « circa 1975 », ce qui resserre un peu la fenêtre de tir, mais reste encore un peu flou.
En tout cas, bien content de trouver ce recueil, qui permet de lire quelques productions d’Atlas-Marvel dans le texte. Comment cette édition a pu atterrir dans un tri-tout saint-lois ? La proximité des îles anglo-normandes a-t-elle favorisé sa présence ?
Jim
Épatant.
C’est pour ce genre de trouvaille que j’aime la chine.
Ce sont des histoires parues en 1962 (dans des numéros datés de mai à septembre : Journey into Mystery 80 (05/62), Tales to Astonish 31 (05/62), Tales of Suspense 33 (09/62), Tales of Suspense 31 (07/62) et Amazing Adult Fantasy 13 (06/62).
Quant à la date de sortie, GCD indique circa 1975-1976, et précise : « Issue is undated. Estimated date based on analysis of brands and cover prices in the series. »
Tori.
Demain, vide-grenier (où en général c’est pas trop mal…). On verra ce que le destin réserve.
Jim
Ah, moi, demain, j’ai fête des mères…
Tori.
Je cumule !
Jim
Publié par Soleil dans un temps où l’éditeur sortait des comic books en grand format avec une couverture cartonné, cet elseworld (j’adore les elseworld) revisite l’univers de Batman dans un monde fantasy assez médiéval, qui y mêle un peu de modernité (les bandits usent de flingues et Alfred a un costume du XXème siècle).
J’ai adoré la manière dont Alan Grant intègre et adapte dans son récit les différents éléments classiques du Batverse. Tout sert pour son histoire, il n’y a pas vraiment de clin d’oeil qui ne serve que pour le clin d’œil. Le genre et la taille de l’épisode amène forcément à une construction classique de l’histoire, notamment dans son démarrage, mais, je dois dire que le titre VF n’est utilisé pour rien, et la fin est quand même sans concession (ce qui est loin d’être toujours le cas). Et comme j’aime bien le Démon et son phrasé, je suis plutôt bien servi.
Les dessins de Jim Murray sont sublimes. Peut être un peu poseurs par moment, mais vu le travail sur les décors et les costumes, ça mérite quand même qu’on s’y attarde de temps en temps. Certaines pleines pages font leur effet, et le dessinateur a l’intelligence de rester sage dans la composition des pages, de manière à éviter de surcharger inutilement par des effets inutiles les planches. Il y a suffisamment de densité, que ce soit dans les détails et les couleurs pour ne pas à avoir en rajouter.
Je remets l’avis du Doc qui semble rejoindre le mien.