Cool.
Y a plein de biopics qui ne sont pas « grand public », qui concernent des personnages historiques très particuliers. C’est peut-être lié à l’exercice.
Ça permet aussi de « tricher » un peu, de faire des bonds vers les périodes les plus intéressantes. De montrer clairement que l’on fait une sélection.
Comme je le dis dans les bonus, c’est une idée qui a jailli. Il a fallu ensuite un peu creuser pour voir si l’on pouvait en faire quelque chose.
J’en parle dans l’émission Tumatxa, un peu. Pour résumer, on s’est aperçus, hélas un peu tard, que le planning qu’on avait été faux, et que la fabrication attendait les planches plus tôt que prévu. Cela a conduit à revoir un peu la disposition du chapitre. Mais au final, je trouve que la partie sur les auditions sénatoriales fonctionne un peu à la manière d’un rouleau compresseur, le destin que l’on n’arrête pas. C’est un exercice de style un peu contraint par les impératifs dans les coulisses, mais je suis content du résultat.
C’est là qu’interviennent les bonus.
On a pensé, un temps, développer d’autres personnages, et puis on a pensé qu’on pouvait perdre les lecteurs, donc on a préféré se concentrer sur les deux zozos.
C’est typiquement ce que Thierry aime faire. J’imagine que c’est sa planche préférée.
Re-cool !
Jim