Non, mais c’était le dernier.
Je l’avais mis de côté pour moi, mais quand quelqu’un est venu demander si on l’avait, j’ai préféré lui vendre celui que j’avais sous la main plutôt que de lui dire qu’on ne l’avait pas !
Trois, dont le mien… Mais c’est une librairie spé manga.
Le truc amusant de ces deux journées de dédicaces, c’est qu’on a croisé des auteurs de BD. Le vendredi, on a signé un exemplaire pour Frédéric Bihel, qui vient de signer Malaurie chez Delcourt. Hier, on a signé un exemplaire pour Christophe Quet, dessinateur de la série Travis chez Delcourt, ainsi que pour Fabrice Lamy, qui avait illustré Adios Palomita ou Colt Walker (avant de s’éloigner de la BD). (Bon, je ne compte pas Julien Hugonnard-Bert, qui est un copain et avec qui on a déjeuné, dans un excellent petit restau hier midi).
Vachement sympas, toutes ces rencontres.
Alors ça se confirme un brin.
En gros, je devrais être présent au festival de Billère (et on me souffle dans l’oreillette qu’il s’agit d’une commune limitrophe de Pau) les 3, 4 et 5 avril prochains.
Les détails sont en train d’être finalisés. Il est question que j’y assure une conférence sur les comics, mais là aussi, on est en train de regarder comment ça va se danser.
J’en recause ici assez vite.
C’est toujours une question de choix, de ce qui sort aussi à la même période par exemple. Pourtant c’est aussi un sujet qui m’intéresse. Je me déciderai certainement un de ces quatre…maintenant que je n’achète quasiment plus rien en kiosque, c’est le bon moment pour se procurer plus d’albums…^^
Bon j’ai fini de le lire Hier midi, et c’est con à dire mais je n’avais jamais tilté que les 2 bougres opéraient sur la même période. Et du coup, c’est intéressant ce chassé croisé entre un auteur qui est complètement libéré sur ses idées (même si pleins de choses me dérangent chez Marston) -personne que je connais un peu plus- et Wertham qui a entrainé justement une période contrôlée par la suite (que je connaissais surtout à travers la séduction)
Excellente lecture pour ma part, qui m’a fait un peu réfléchir, d’une part sur Wertham, sur qui je me demande encore comment il a pu finir sur de telles conclusions même si là on a des pistes, mais aussi sur la réflexion où finalement le comic code authority n’a-t-il pas permis de créer quelque chose de plus grand ? Je me pose la question.
Seul petit retour, p’tet un peu court, j’aurais aimé qu’on s’attarde un peu plus longuement sur la période Wertham et ses autres travaux qui ne sont que brosser au final et le graphisme parfois perturbant, tant la froideur donne parfois un aspect horreur. Ca ne m’a pas déplu, au contraire même, mais c’était perturbant XD
Tant mieux, je dirais. Ce n’est pas toujours un personnage très « aimable ».
Je crois qu’on peut voir les super-héros (et les deux modèles principaux, le justicier scientifique à la DC et le justicier monstrueux à la Marvel) comme une réponse à la censure. C’est pour cela que mettre en avant les réflexions de Julius Schwartz sur la dimension « inoffensive » de Flash et consorts m’a semblé intéressant.
Le bougre survit à son « adversaire », de quelques longues années. Je n’avais pas envie de passer trop de temps avec un seul des deux compères, cela aurait peut-être déséquilibré l’ensemble… à mon goût en tout cas.
C’est marrant, parce que, en fait, l’album est prévu comme un one-shot. Sans suite. Nos autres projets nous emportent dans d’autres directions. Mais tu n’es pas le seul à poser la question, loin de là (journalistes, commentateurs, lecteurs…) et du coup on réfléchit à ce qu’on pourrait bien raconter. Même si d’autres ambitions nous taraudent.