heaven eleven vol.1 à vol.5 : hozukito est une petite île située dans le golfe de Setouchi. Il court une terrible légende à propos du football qui hante cette île et qui en interdit la pratique. Pour faire taire cette croyance, deux lycéens, Saigo et Okubo, décident de former un club de football dans leur lycée: pour cela, ils doivent trouver 9 joueurs qui accepterons de jouer malgré la malédiction.
ça, c’était pour la petite histoire.
mon avis : bah, c’est du grand n’importe quoi, avec des situations complètement improbables qui feraient passer olive et tom pour une encyclopédie hyper-réaliste du football.
beaucoup de scène bien drôles, des dessins ma foi bien sympathiques, des personnages tantôt bien classieux, tantôt bien ridicules, des actions de football bien foutues…
très sympa à lire, ça m’a bien éclaté.
si vous voulez du fun sans vous prendre la tête, foncez dessus!!!
Du grand n’importe quoi, c’est bien résumé, mais moi aussi je me suis éclaté pendant la lecture. Dans le même genre, il y a keishicho 24 (c’est sur un policier), ça pourrait te plaire aussi.
Yep, de plus Keishicho 24 et Heaven Eleven sont du même mangaka. De ce mangaka, il y a aussi le one-shot Panzer Princess Punie qui est assez barré (mais moins que les 2 autres d’après les dires). PP Punie a donné en anime Dai-maho Toge, qui est sorti chez Anima (et le manga est chez Kurokawa)
Sinon, l’anime Boogiepop phantom est tout simplement l’un des meilleurs animes que j’ai vus. En plus, il est ressorti la semaine dernière en intégrale slim pour 25€ (chez Dybex), avis aux amateurs
(je vais poster une video dans le topic dédié aux animes, parce que là ce n’est pas vraiment le sujet)
Heaven Eleven 1 à 5 : avec cette série, j’ai lu toutes les oeuvres de Hideki Owada.
Cette série est une réelle bonne surprise et est au moins du niveau de Keishicho 24. Enfin je retrouve le même plaisir de lecture et le même esprit de délire! (Crazy Beach était légèrement en dessous de ces 2 titres et Panzer Princess était un vrai flop).
Sans aucun doute une des séries les plus drôles que j’ai pu lire et peut-être la meilleure oeuvre de l’auteur.
Je ne peux que conseiller cette série (mais je suppose qu’il faut quand même adhérer à ce genre d’humour pour trouver ce manga génial; moi, c’est mon cas et je me suis régalé).
Personnellement je n’ai pas aimé cette série. La lecture du premier tome m’a laissé vraiment une mauvaise impression. L’humour présent ne me touche absolument pas, et les dessins sont vraiment moyens. A croire que je ne serai jamais fan des ouevres de Owada.
Bon, les amis, vous avez décidément une mauvaise influence sur moi.
Je suis passé dans une solderie et, après avoir pris deux trois trucs en franco-belgerie, je me suis arrêté au rayon manga… et j’ai trouvé à vil prix le tome 2 de Heaven Eleven.
Mes étagères, qui commencent à ployer, ne vous disent pas merci…
Ah ouais, total nawak !
Bon, j’ai pas lu le tome 1, mais ce n’est pas très compliqué à comprendre : en gros, il y a une interdiction de jouer au football, car cela pourrait réveiller la colère des dieux, menacer le temple, la ville, l’île, le pays ! Mais peu importe à notre héros qui rassemble une équipe de bras cassés (qui connaissent mieux les règles de ce sport que lui-même) et fait des pieds et des mains pour un match.
Le tome est articulé autour de deux parties, la première étant la mise en place du match proprement dit, la seconde étant les conséquences (la colère des dieux, le réveil d’une grande prêtresse qui reconnaît en notre héros l’élu du dieu du football et en son équipe les fameux « Onze Célestes » du titre, la fondation du club, les origines du héros à l’occasion d’un flash-back évocateur, et l’apparition d’un groupe - de motards ? - visiblement également béni par le même dieu du foot… alias Pelé !).
Donc ouais, n’importe quoi. Sujet oblige, j’ai été moins emporté que par Keishicho 24 (qui me semble, pour l’heure, un sommet du nawak), mais force est de reconnaître qu’il a des pleines pages ou des doubles pages complètement ébouriffantes, d’une énergie folle. Fatalement, j’ai pensé à Shaolin Soccer, ce film également nawakoïde avec lequel Heaven Eleven partage l’imagerie des buts atomiques qui détruisent tout sur leur passage.
En même temps, avec les oeuvres d’Ōwada, c’est souvent comme ça. On pose le cerveau à côté de soi avant d’entamer la lecture. Et ce n’est pas grave si on rate le début.
J’avoue que j’aimerais bien que le hasard de mes furetages en solderies me conduisent sur le chemin de certains de ses one-shots, pour savourer l’histoire dans son ensemble…