keishicho 24 vol.1 à vol.6 : Yamabuki Tetsunosuke, jeune homme mal dégrossi, débarque dans la capitale pour y devenir policier, comme son père. Mais entre un supérieur homosexuel qui le harcèle de ses avances, une erreur d’inscription qui l’amène à travailler costumé en chat pour la prévention routière, et des collègues mystérieux, notre jeune héros est plutôt déboussolé. Heureusement, il va très vite se rendre compte qu’il a malgré lui intégré « Les flics de la mort », une élite secrète de la police japonaise.
comme d’habitude avec owada, c’est du grand n’importe quoi, personnage principal qui finit systémtiquement à poil, pouvoirs de folie, endurance des personnages hors du commun, personnages très variés (un chef de police gay, un vieux, un policier masochiste, etc…), sans compter un final encore plus n’importe-quoi-esque.
bref c’est du délire, c’est de la folie, c’est complètement inutile et donc 100% indispensable.
si vous avez aimer heaven eleven et crazy beach, foncez dessus car c’est la meilleure série des 3.
Ce manga est bien qu’ai ce que je dis?? Il est génialissime!! Quel humour, on se prend pas la tête c’est du n’importe quoi mais le principal c’est que ça détent sans prise de tête!!! Il reste plus qu’à voir la suite et je jugerai ensuite Note:9/10
Fonce, pour moi c’est le meilleur des 3 que j’ai. Si tu as aimé les autres tu ne peux que passer un bon moment, 20éme degrés inside, trés bon pour décompresser.
Merci pour vos réponses, je pense que je vais le prendre très vite si je trouve le tome 1 (sinon je devrai le commander ça prendra + de temps). En fait la seule raison pour laquelle je l’ai pas encore c’est que je savais pas que c’était de lui ^^’ Apparemment il a l’air autant bien que les autres
Bah Keishicho 24 c’est le plus drôle de ce qui est sorti (le truc sur le volley est moyen quand même…), donc n’hesites pas. C’est vraiment débile. Dommage que ça n’ait pas duré quelques tomes de plus.
Pas pour moi, mais c’est peut-être parce que je connais Jeanne et Serge et je reconnaissais tous les clichés, c’est peut-être pas pareil si on l’a pas vu :s
Crazy Beach est pas mauvais, mais il n’est pas aussi drôle qu’un Keishicho, ni ne va assez à fond dans ses délires, et le fait qu’il ne fasse qu’un tome n’aide pas non plus. Je l’ai lu qu’une fois, depuis il a pas bougé de sa bibliothèque, alors que je suis le genre à lire, relire, rerelire, rererelire, rerererelire, rererererelire, rerererererelire, rererererererelire, rerererererererelire, rererererererererelire, rerererererererererelire…
Mais… mais… mais…
Mais qu’est-ce que c’est que ce truc ?
J’ai lu le premier tome, trouvé ce samedi à vil prix (bon, je fouinais dans des occaz de manga, c’était pas celui qui j’espérais trouver, j’espérais plutôt dénicher des one-shots…), et… c’est… c’est… c’est complètement nawak !
Donc, on suit l’arrivée d’une jeune recrue dans un commissariat où il est poursuivi par les avances de son supérieur, où ses collègues font de l’initiation à la sécurité routière, où il se retrouve à chaque épisode complètement à poil, où l’une des épreuves consiste à capturer le meilleur chat policier du monde…
Et je ne parle pas des origines de son père, de la Brigade de la Mort, de l’aspirant qui snobe tout le monde, du ministre… Vraiment, c’est complètement barré. Complètement. Y a pas de mots.
Bon, personnellement, je ne trouve pas ça très joli, en tout cas c’est assez irrégulier, mais ça reste un total ovni : un peu violent pour mon premier contact avec le travail d’Ohdawa… mais ça rend curieux, fatalement !
Étrange, étrange, étrange.
J’avais espéré tomber sur quelques one-shots que j’avais notés, entre ceux d’Ohwada (genre Crazy Beach ou Panzer Princess Punié) et ceux d’Osada (genre Magara ou Gear Rally), histoire de goûter aux trucs nawaks évoqués en ces colonnes, et il a fallu que je tombe sur un numéro un d’une série. Complot !