J ai ça pour la fin de Peepshow
Ou ça
Le Scarce 70 a été mon 1er Scarce. Pourquoi ? Je ne sais pas. Le sujet sûrement. Mais pourquoi est-ce que les titres indé m’attiraient ? Je pense que j’en lisais déjà un peu à l’époque mais ce numéro a été un catalyseur dans mes lectures (et dans la trombine de ma biblio).
J’ai vérifié vite fait et je n’ai pas vu de référence à Joe Matt dans ce Scarce. Mais je pense qu’il m’a incité à lorgner vers lui, Seth et Chester Brown. Les 3 amis du Canada.
J’ai lu pas mal de Brown, mais Joe Matt avait ma préférence (et j’en ai lu autant). Peut être plus bas du front, plus iconoclaste avec une vue sur lui-même assez dégradante qui m’a rappelé par moment Crumb, mais en encore plus autocritique. Il osait ecrire des choses qui me sidéraient à l’époque parce que tout était vrai et assez cru. Je croyais vraiment que ce qu’il disait étaient ses véritables pensées. C’etait cru mais pas dans le sens sexuel. Un cérébral d’un autre façon, mais avec une sorte de folie gai (ou de gaité folle). J’ai adoré et j’adore toujours.
Quand j’ai lu l’interview des 3 canadiens dans les Cahiers de la BD, j’ai pris un plaisir énorme à voir leur bonne humeur et leur complicité, telles que je les avais imaginées lors de mes lectures des bouquins Matt. J’ai ll’impression que c’était il y a 6 mois.
Donc ouais … ça me fait quelque chose aussi. Je suis triste pour ses amis ce soir.
Ça m a fichu un coup aussi.
Connais pas.
C est l edition française.
Éditions cambourakis.
Je n ai voyagé qu une fois, durant un mois, aux etats unis à mes 20 ans. J ai fait la cote est. Visite la journée et on dormait avec un pote dans les bus greyhound la nuit qui nous amenaient dans la ville suivante. 100% economie.
Bien sur, j ai fait autant de comicshop que possible.
Je cherchais absolument à mettre la main sur deux comics qu à mon grand plaisir j ai reussi à trouver dans un comicshop de Brooklyn: city of glass de Mazzucchelli et Peepshow de Joe Matt.
Merci d’avoir regardé, mais tu as pris les fins de « Strip-tease » :- )
Pour « Peepshow », j’ai :
(de cette édition de 2001 : )
Ça c est la fin de the poor bastard et j ai la même fin en vo.
Bill Sienkiewicz
Je suis allé chercher les trucs de Joe Matt dans Drawn & Quarterly, en plus des BD :
4ème de couv du #1 :
couverture du #3 :
Couverture et intérieur du #4 par Chester Brown :
4ème de couv du #4 :
4ème de couv du #6 :
Pub dans la #9 :
En 2015, pour les 25 ans de Drawn & Quarterly :
Tom Gauld is the author of Goliath and You’re All Just Jealous of My Jetpack
So many titles come to mind, but if I had to pick one favourite D&Q book it would have to be Joe Matt’s Peepshow series. I remember first reading it while going through a lot of teenage confusion, wondering how to express myself with confidence in the world. Peepshow helped me think more openly as a person. Joe Matt helped make me feel alright with being insane in my room alone, cultivating my own reality however I please. Suddenly I understood that it was alright to unapologetically alienate certain pathways of being in exchange for a more individuated approach.
Ah mince.
Pour moi, un génie qui n’a jamais vraiment eu la reconnaissance qu’il méritait
Oh bah merde
(Le lien ne fonctionne pas)
Merci.
Car Giffen c’était aussi ça (pas mentionné dans l’article étonnamment) :