INDIANS (Tiburce Oger / Gastine, Bertail, Labiano, Lauffray, Meynet, Jef, Blasco-Martinez, Rouge, Rossi, Armand, Blanc-Dumont, Derib, Toulhoat, Astier, Hirn, Bazin)

Quelques pages :

« La Nuit où les étoiles sont tombées », par Paul Gastine :

« Fer sacré », par Mathieu Lauffray :

« Tippecanoe », par Jef :

« La Danse du soleil », par Dimitri Armand :

« Mocassin agile », par Derib :

« Quand marchent les morts », par Laurent Astier :

« Lozen, la sœur de Victorio », par Laurent Hirn :

« Sauvageons », par Emmanuel Bazin :

Jim

Mathieu Lauffray sur Facebook :

Petite preview d’un Album collectif à venir, saurez vous deviner? 😃
Encrage au pinceau sur papier.

Jim

Mathieu Lauffray parle encrage :

Un autre indice afin de permettre la géolocalisation de la scène (C’est parce que ces arbres ne poussent qu’à un endroit bien précis)… Pour en revenir au papier, problème qui n’intéresse que 0,0000003% de la population, vous remarquerez les coups de pinceaux sur les cheveux de la demoiselle en bas à gauche. Et bien cet effet vient du papier à grain qui « assèche » le pinceau quand on va vite. C’est joli, mais ca oblige a respecter une allure de tracé… Sinon, on ne dépose plus assez d’encre et ça donne ça… Voir, plus de trait du tout quand on va à toute berzingue 🙂

Jim

Après Go West et Indians, Bamboo et Tiburce Oger préparent une troisième anthologie western. Les rumeurs couraient bon train sur les forums mais ce n’est que tout récemment qu’une première image a circulé.

Éric Hérenguel sur son compte Facebook le 26 juillet 2023 :

c’est mon mois du western. une courte de six pages dans le prochain Gowest #3 à venir en fin d’année.

juste la page une car on va pas spoiler le sujet.

Jim

Bon, voilà, il a dormi un an sur une pile, et c’est en lisant le tome suivant que je suis enfin venu à bout de celui-ci.
Plein de choses super.
Le fil rouge, c’est l’aigle, qui revêt des significations différentes selon que l’on est Indien ou colon, flottant sur toutes les histoires. Ses commentaires reviennent dans les petits textes d’accompagnement pour chaque nouvelle histoire.
Comme pour le tome consacré aux Gunmen, Paul Gastine se charge des pages d’introduction et de conclusion.
Beaucoup d’histoires se penchent sur la conquête du cheval par la nation indienne : celle de Hugues Labiano, par exemple, celle de Corentin Rouge (dans un style très deribien), celle de Derib, bien sûr…
Le récit illustré par Mathieu Lauffray, qui parle d’alliance et de mariage politique, est réalisé dans un style évoquant fortement Silvestri.
Signalons l’histoire dessinée par Christian Rossi, qui a un narrateur surprenant.
Mentions, aussi, aux chapitres de Dimitri Armand (évocation des rêves prophétiques) et de Ronan Toulhoat (là déjà mis en couleurs par Jack Manini, et ça fonctionne très bien).
Comme pour les autres tomes, une belle réussite avec un niveau excellent.

Jim