Depuis quand ça gène un studio de remplacer le réalisateur en cours de route ?
[quote=« artemus dada »]En lisant cette info, je me rends compte que décidément le traitement des super-héros par le cinéma me laisse froid.
Des quelques films que j’ai vus aucun ne m’a enthousiasmé, sauf peut-être le premier Spider-Man, Hellboy si on considère que c’est du super-héros, et le Fantôme ainsi que The Shadow mais là on n’est plus dans ce registre là.
Ou alors il s’agit de films « originaux » : Les Indestructibles, le premier Matrix.
Pourtant tout est là ; les effets spéciaux permettent de donner à voir du grand spectacle, mais les histoires ne sortent pas du lot.
Elle ne sont que des ersatz de celles qui ont déjà été faites en BD.
Marshall McLuhan aurait dit que « le message, c’est le médium », le cinéma nous prouve qu’il s’est bien trompé. [/quote]
Tu jettes le bébé avec l’eau du bain là.
Le Soldat de l’Hiver, Days of Future Past, ce sont d’excellentes adaptations.
Adapter ce qui constitue les moments forts de ces titres - des moments qui ont contribué à les rendre incontournables - ça semble assez élémentaire.
Le tout, c’est d’adapter avec intelligence.
Rien. Mais ce qu’il faut retenir c’est que le studio affirme que Zack Snyder commencera à tourner Justice League moins de deux semaines après la sortie de Batman v Superman en salle. On peut difficilement faire plus serré en terme de délai.
[quote=« sylvain cordurié »]
Tu jettes le bébé avec l’eau du bain là.[/quote]
Non, je ne crois pas.
J’en suis convaincu, pour ceux qui ont aimé ces films ça ne fait aucun doute j’imagine.
En ce qui me concerne, cette phrase, ne veut rien dire.
Je crois (en fait je sais) qu’en terme de culture il n’y a que des « goûts et des couleurs », et que c’est la seule chose dont on puisse parler, débattre.
Chacun argumentant (c’est-à-dire intellectualisant rétrospectivement quelque chose d’assez simple finalement : j’ai aimé ou pas) en faveur ou en défaveur de tel ou tel « oeuvre » (pour le dire vite).
Il n’y a pas de mètre étalon pour parler d’un film, d’une BD, etc…
La seule chose dont je puisse discuter honnêtement ce sont de mes goûts et de mes couleurs, le reste je ne vois pas ce que c’est.
À moins de réduire un film (ou une BD ou un roman), etc. à des gestes techniques : tant de travelling, de contre-plongées, qualité de telle ou telle perspective, nombre de cases par page, respect de l’anatomie, utilisation du participe passé, vocabulaire soutenu, etc., un film reste une affaire de goût(s).
Et de rencontre(s), comme je l’ai encore écrit récemment ailleurs, celle qui a lieu entre un spectateur (ici) et un film.
La qualité (soi-disant) objective d’un film (ou d’une adaptation) n’a rien à voir (ça n’existe pas pour moi), seul existe ce que je peux en dire et ce qu’en disent les autres ; et le cas échéant la confrontation de nos points de vue.
Zack Snyder et Jason Momoa (avec les costumes d’Aquaman et de Flash et un possible concept-art de Mera en arrière plan) :
[quote=« artemus dada »]
[quote=« sylvain cordurié »]
Tu jettes le bébé avec l’eau du bain là.[/quote]
Non, je ne crois pas.
J’en suis convaincu, pour ceux qui ont aimé ces films ça ne fait aucun doute j’imagine.
En ce qui me concerne, cette phrase, ne veut rien dire.
Je crois (en fait je sais) qu’en terme de culture il n’y a que des « goûts et des couleurs », et que c’est la seule chose dont on puisse parler, débattre.
Chacun argumentant (c’est-à-dire intellectualisant rétrospectivement quelque chose d’assez simple finalement : j’ai aimé ou pas) en faveur ou en défaveur de tel ou tel « oeuvre » (pour le dire vite).
Il n’y a pas de mètre étalon pour parler d’un film, d’une BD, etc…
La seule chose dont je puisse discuter honnêtement ce sont de mes goûts et de mes couleurs, le reste je ne vois pas ce que c’est.
À moins de réduire un film (ou une BD ou un roman), etc. à des gestes techniques : tant de travelling, de contre-plongées, qualité de telle ou telle perspective, nombre de cases par page, respect de l’anatomie, utilisation du participe passé, vocabulaire soutenu, etc., un film reste une affaire de goût(s).
Et de rencontre(s), comme je l’ai encore écrit récemment ailleurs, celle qui a lieu entre un spectateur (ici) et un film.
La qualité (soi-disant) objective d’un film (ou d’une adaptation) n’a rien à voir (ça n’existe pas pour moi), seul existe ce que je peux en dire et ce qu’en disent les autres ; et le cas échéant la confrontation de nos points de vue.
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Ah Artemus, j’aime te lire - je ne le dis pas pour t’amadouer - mais il y a des sujets sur lesquels on ne sera jamais d’accord.
Ce qui fait parfois la force d’une œuvre, c’est la qualité du verbe, la maestria d’une réalisation, la belle adéquation entre un message et le medium qui le porte. Et il y a la part émotionnelle, sensible de celle/celui/celles/ceux qui produisent l’œuvre et de celle/celui/celles/ceux qui la reçoivent. Ce sont deux choses distinctes mais qui s’entremêlent.
La cas Hannibal est par exemple particulièrement intéressant. Relis à l’occase les messages enthousiastes et argumentés de Photonik. Il y a énormément d’aspects techniques dans ses analyses, mais il exprime également un avis subjectif en diable, parce qu’il a été touché par la poésie tant visuelle que scénaristique de la série. J’arrive sans problème à définir les parts subjectives et objectives de ses billets.
Quant à l’intelligence, pareil. Pour rester dans le sujet - les adaptations - il n’est pas si compliqué de faire la différence entre un copier/coller fainéant et une approche plus travaillée, plus inspirée, et en phase avec son medium.
« L’intelligence d’écriture », comme concept et appliqué au quotidien dans mon métier, ça a du sens.
[quote=« sylvain cordurié »]…]
Ce qui fait parfois la force d’une œuvre, c’est la qualité du verbe, la maestria d’une réalisation, la belle adéquation entre un message et le medium qui le porte. Et il y a la part émotionnelle, sensible de celle/celui/celles/ceux qui produisent l’œuvre et de celle/celui/celles/ceux qui la reçoivent. Ce sont deux choses distinctes mais qui s’entremêlent.[/quote]
Pas de mon point de vue : * la qualité du verbe, la maestria d’une réalisation, la belle adéquation entre un message et le medium qui le porte *, tout ça est purement subjectif.
L’aspect technique, pour autant que chacun puisse en juger est tout aussi subjectif. Il ne peut s’exprimer que par rapport aux connaissances techniques de celui qui en parle, et à partir de ce qu’il aime ou pas dans ces techniques, en relation avec ce qu’il voit à l’écran. Ou crois voir.
Pour ma part je suis tout à fait incapable de distinguer entre un copier/coller fainéant et une approche plus travaillée, plus inspirée.
Par contre je peux dire que : d’après moi, mon sentiment est que …
Mais je ne connais pas l’investissement que tel ou tel scénariste/réalisateur a mis dans son film (par exemple).
Je ne peux que parler du résultat au travers de mon idiosyncrasie et échafauder des théories qui ne sont que des spéculations, sur ce que je vois et comment on a pu en arriver là.
Qui suis-je pour dire que ce n’est pas le cas ?
Et pourtant si je suis ton raisonnement je suis en droit de le faire, je peux dire que ton adaptation de tel ou tel personnage est un « copier/coller fainéant » alors que de ton côté tu peux non seulement me dire que non mais qu’en plus ce soit effectivement le cas et que tu as fait preuve d’une intelligence d’écriture.
Mon approche est totalement différente, elle laisse le travail des auteurs aux auteurs, je ne traite que de ce que je pense de son travail, et non pas de ce qu’il est ou censé être d’un point de vue objectif et donc indiscutable, au travers de ce que je suis, de ce que je connais et de l’humeur dans laquelle je suis lorsque j’en parle.
Maintenant, libre à chacun de voir les choses sous un autre angle.
[quote=« sylvain cordurié »]
Ah Artemus, j’aime te lire …][/quote]
Je suis touché, venant de quelqu’un dont le travail est de raconter des histoires c’est un bien gentil compliment que de dire qu’il aime lire quelqu’un d’autre.
Merci.
Sauf que là, tu te contentes de prendre en considération l’interprétation d’un personnage pour résumer l’intelligence d’écriture.
Je parle de la teneur d’un récit, de ce qui en fait la justesse. L’intelligence d’écriture, tu la vois dans la construction d’une histoire, dans la définition des personnages (issus de la littérature ou pas), dans la manière dont le dessinateur sert le scénario et le scénariste sert le dessinateur, etc.
Ça, ce sont des aspects techniques qu’un grand nombre de lecteurs est capable de percevoir de nos jours, parce qu’ils ont la culture pour le faire.
Et puisque tu parles de ma prod - ce qui m’arrange moyen parce que pour le coup, tu pourrais non seulement me taxer de subjectivité et de parti-pris - tout auteur que je suis, j’ai un peu de recul sur mon taff. Je sais quand j’ai fait un boulot honnête et quand j’ai fait du caca. Zéro subjectivité là-dedans. Juste un peu d’honnêteté. Je peux dire sans problème et techniquement pourquoi je me suis planté.
Et je ne dis pas que mes BDs traduisent une intelligence d’écriture manifeste. En revanche, je me pose la question quand j’écris. Est-ce que je maîtrise mon récit ? Est-ce que je m’accorde des facilités ou pas ? Parallèlement, je compose aussi avec avec mes limites.
[quote=« artemus dada »]Je suis touché, venant de quelqu’un dont le travail est de raconter des histoires c’est un bien gentil compliment que de dire qu’il aime lire quelqu’un d’autre.
Merci.
[/quote]
Ne t’enflamme pas. C’est un avis très subjectif.
si tu le sais alors il y a au moins une assertion objective pour toi en terme de culture à savoir « en terme de culture, il n’y a que du subjectif ».
non ?
et il existe au moins une science galiléenne sans mesure : la linguistique. Ce qui tendrait à prouver que ce qui fait la science galiléenne n’est pas la mesure (pas d’étalon commun) et que donc on peut bien asserter objectivement sans étalon commun.
Cela fait de l’objectivité un fait de discours soit très précisément ce que tu que tu considère comme annulant l’objectivité ?
j’arrive pas à voir comment tu peux t’en sortir logiquement en faisant ainsi de l’objectivité un tel absolu.
On le sait bien pourtant aujourd’hui que l’acte de mesure modifie ce qui est mesuré.
Ce n’est pas parce que quelque chose est singulier, à lui même sa propre mesure, qu’on ne peut en parler objectivement. Ce n’est plus l’objectivité du savoir divin, totalisante, mais ce n’est pas que subjectif.
Pourquoi ne pas dire que l’œuvre d’art crée elle même sa propre mesure : autant de monde, autant d’objectivité que d’artistes ? L’oeuvre ne dévoilerait plus la vérité parce qu’elle dévoilerait (donnerait la réponse) à un mystère, mais serait une vérité en produisant un mystère de son cru.
Et je ne suis pas d’accord non plus sur le fait que le commentaire artistique, ce ramène simplement à un « j’aime/j’aime pas ».
Il m’arrive d’aimer des choses que je trouve très mauvaise. On peut aimer de la merde aussi, on peut aimer quelque chose que l’on sait et que l’on trouve être très mauvais. Non, je ne trouve pas que ce soit réductible au j’aime/j’aime pas. Non, décidément, mon rapport à l’œuvre esthétique ne se laisse pas réduire à une opposition stricte du subjectif et de l’objectif, opposition stricte qui n’est plus valide en science non plus si elle le fut jamais.
[quote=« sylvain cordurié »]…]
[quote=« artemus dada »]Je suis touché, venant de quelqu’un dont le travail est de raconter des histoires c’est un bien gentil compliment que de dire qu’il aime lire quelqu’un d’autre.
Merci.
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Ne t’enflamme pas. C’est un avis très subjectif. [/quote]
C’est ce qui en fait sa valeur.
Bien sûr, mais chaque lecteur ne voit tout cela qu’au travers de ce qu’il connait, de son expérience, de ses goûts, ça ne tombe pas du ciel, ça ne vient d’un espace des idées.
Et je le répète de son humeur du moment.
Une culture qui est individuelle, chaque individu à sa propre culture et si nous partageons un terreau commun (évidemment) nous ne l’apprécions pas de la même manière.
Et ce que nous faisons de cette culture nous est propre.
Notre discussion est bien la preuve que malgré notre culture commune (du moins une partie que je crois que nous partageons) nous ne voyons pas les choses de la même manière.
Mais j’en suis persuadé, et je ne remets pas ça en cause.
Mais moi en tant que lecteur je ne vais pas forcément voir ça de la même manière que toi.
Il n’est justement pas question de remettre en cause le travail de celui qui l’accomplit mais de partager un moment, une situation.
Celui de voir un film ou de lire une BD, et de dire ce que j’en pense. Et ce que j’en pense ne remet pas en cause le travail de l’auteur.
Et je t’en sais gré, mais alors pourquoi envisager que les autres ne le font pas aussi ?
Qu’est-ce qui te permets de dire que Tartempion n’a pas eu le même investissement que toi, tu l’as vu faire ?
Il te la dit ?
Ou tu le déduis du résultat final ?
Il me semble plus honnête (c’est en tout cas ma démarche) de dire que ce dont je parle passe par le filtre de mes goûts et de mes couleurs.
Ça n’enlève rien à la pertinence du propos, et surtout ça n’ajoute rien qui ne soit de l’ordre de l’Absolu ou de l’objectivité.
Absolu et objectivité qui ne peuvent être remis en question de par leur nature.
Ainsi celui qui se targe d’objectivité ou d’absolu a forcément « raison ».
Au même titre, mais beaucoup plus modestement en ce qui me concerne, que l’artiste qui propose son oeuvre au jugement du public, je propose mon avis et rien d’autre à l’appréciation de mes contemporains (s’ils ont la gentillesse de me lire).
[quote=« artemus dada »]
Et je t’en sais gré, mais alors pourquoi envisager que les autres ne le font pas aussi ?
Qu’est-ce qui te permets de dire que Tartempion n’a pas eu le même investissement que toi, tu l’as vu faire ?
Il te la dit ?
Ou tu le déduis du résultat final ?[/quote]
Du résultat final, fatalement.
Mais là encore, quand l’auteur a un parcours derrière lui, il y a une matière sur laquelle fonder son analyse. Je ne crache pas sur un dessinateur ou un scénariste juste parce que je suis un petit être teigneux en mal de défouloir. D’un autre côté, si j’ai le sentiment qu’il se fout un peu de ma gueule, je ne vais pas non plus lui passer la brosse à reluire.
[quote=« artemus dada »]Il me semble plus honnête (c’est en tout cas ma démarche) de dire que ce dont je parle passe par le filtre de mes goûts et de mes couleurs.
Ça n’enlève rien à la pertinence du propos, et surtout ça n’ajoute rien qui ne soit de l’ordre de l’Absolu ou de l’objectivité.
Absolu et objectivité qui ne peuvent être remis en question de par leur nature.
Ainsi celui qui se targe d’objectivité ou d’absolu a forcément « raison ».
Au même titre, mais beaucoup plus modestement en ce qui me concerne, que l’artiste qui propose son oeuvre au jugement du public, je propose mon avis et rien d’autre à l’appréciation de mes contemporains (s’ils ont la gentillesse de me lire).
[/quote]
Un avis, tout le monde en a un.
Un envie pertinent, teinté de culture et de sens commun, qui éclaire son lecteur, c’est un peu plus que cela.
Et - je le dis souvent - c’est ce que je trouve ici, même quand je ne suis pas d’accord avec certains.
c’est peut être plus honnête quoique ça se discute (cela relève pour moi de la politesse et c’est très bien la politesse), mais c’est contradictoire avec le fait d’affirmer que ce n’est que subjectif puisque ça, c’est une affirmation de savoir objectif. A la limite tu pourrais dire que subjectivement pour toi c’est subjectif, mais alors tu ne peux affirmer que tu le sais.
que fais tu de ceux qui affirment que il y a de l’objectivité aussi dans la critique des œuvres d’art, ? tu leur dis quoi ? qu’ils se trompent ? Mais alors tu leur dénies leur propre subjectivité que tu affirmais pourtant reconnaitre par honnêteté. etc etc
Si tu parles de filtre, tu ne dis déjà plus que ce n’est que subjectif, puisqu’il y a un bien un objet à la base qui est filtré. Si y a objet, alors y a objectivité. si y a filtre y a aussi possibilité d’objectivité sur le filtre lui même. etc etc.
C’est juste de la logique. On ne peut s’engager dans la parole sans accepter cette subversion du binaire dans la parole elle même. Enfin on le peut. ça arrive tout le temps, par honnêteté même parfois^^
enfin bref.
[quote=« sylvain cordurié »]
Du résultat final, fatalement.
Mais là encore, quand l’auteur a un parcours derrière lui, il y a une matière sur laquelle fonder son analyse. Je ne crache pas sur un dessinateur ou un scénariste juste parce que je suis un petit être teigneux en mal de défouloir. D’un autre côté, si j’ai le sentiment qu’il se fout un peu de ma gueule, je ne vais pas non plus lui passer la brosse à reluire.[/quote]
Je n’ai pas dit que tu étais un « petit teigneux », non ce que je dis et tu l’exprime toi-même dans cet extrait du commentaire : « si j’ai le sentiment ». L’analyse que l’on fait, et pas seulement d’un film passe toujours par nous.
C’est uniquement ce que je dis.
[quote]Un avis, tout le monde en a un.
Un envie pertinent, teinté de culture et de sens commun, qui éclaire son lecteur, c’est un peu plus que cela.
Et - je le dis souvent - c’est ce que je trouve ici, même quand je ne suis pas d’accord avec certains.[/quote]
Voilà, mais ce sens commun, cette culture sont relative à celui qui les exprime, ils sont subjectifs.
http://imageshack.com/a/img922/8112/nNdMNd.jpg
Non, le commissaire Gordon ne sera pas dans Batman v Superman : l’aube de la Justice. Comment on le sait ? Parce que Warner Bros. vient de révéler que l’acteur J.K. Simmons (OZ, J. Jonah Jameson dans la trilogie Spider-Man) a été engagé pour incarner le célèbre chef de la police de Gotham dans Justice League - Partie 1.
Le tournage du film commence en avril sous la caméra de Zack Snyder.
Ah ben voilà une bonne news.
Oui, très bonne nouvelle.
Jim
Il était tellement bon en J. Jonah Jameson … et dans Whiplash !
Tu devrais le voir dans la série Oz si ce n’est pas le cas. Son meilleur rôle à ce jour pour moi. Sinon dans Juno dans le rôle du père aimant et compréhensif. Ce mec sait tout jouer et avec brio.
Vu que ma copine a le dvd,je vais me le mater.